Une fois de plus, un monstre, homosexuel, a gâché la fête ! À Manchester, Reynard Sinaga, un Indonésien de 36 ans qui aurait dû inspirer la défiance, cheveux de jais, teint jaunâtre, s’en prenait à... des hétérosexuels alcoolisés.
Le pervers isolait ses proies au sortir des discothèques. Il jouait alors les bons samaritains et se proposait de guider les jeunes gens titubants.... « Et pourquoi pas se poser chez moi ? J’habite à deux pas ! Je vous appellerai un taxi. » En fait de taxi, c’était sédatif et sodomie all night long... L’effet du GHB s’atténuant, les victimes, environ 170 au total, abandonnées sur un trottoir, reprenaient, complètement amnésiques, le cours de leur vie. Pourtant certains d’entre eux avaient été enfilés jusqu’à huit heures d’affilée...
Reynard Sinaga était obsédé par le désir d’agresser et de souiller des hétérosexuels. Après avoir violé un jeune homme de 21 ans, il a posté sur un forum un commentaire où il se vantait d’avoir élaboré un élixir qui rendait amoureux les hommes straight ! Lors du réveillon du Nouvel An 2015, il a textoté à propos d’une nouvelle victime :
« Il était hétéro en 2014. 2015, il passe dans le monde gay, ahaha ! »
La dimension d’hétérophobie du maniaque a été intégralement escamotée par la presse française. Pourtant, oui, des « gays » attaquent des hommes hétérosexuels uniquement à cause de leur orientation de genre.
- Reynard Sinaga, tout en violant à tours de bras, finalisait une thèse universitaire : Sexualité et transnationalisme chez les gays et les bisexuels d’Asie du Sud
L’ancien Nord industriel anglais, ravagé par l’incompréhension entre les « races » et le chômage à vie, conserve envers et contre tout une tradition de virilité machiste et festive. Sinaga, de toute évidence hétérophobe au dernier degré, jouissait de souiller la « suprématie » (blanche, forcément blanche) des lads, les « mecs » en jargon mancunien. En clair, il s’acharnait sur un genre qu’il haïssait. Et pas avec un nem au poulet.
Souhaitons que l’autofilmage (des centaines d’heures...) des viols réalisé par l’asiate pédéraste, enfin condamné à perpétuité, ne finisse pas en matériau pour des clips branchés.
L’affaire Sinaga le démontre une fois de plus : les communautés homosexuelles fournissent de belles brochettes de tarés. Mais trop souvent la presse mainstream, gay friendly à 100 %, s’empresse de titrer, par exemple : Un tueur d’homosexuels rôde.... En oubliant de préciser que l’ignoble meurtrier est d’abord un fleuron de ces milieux.
Comment oublier Thierry Paulin, gnome martiniquais des nuits parisiennes interlopes qui, dans les années 80, se trémoussait sur la piste de danse du Palace autant que sur sur la tête de douces mamies ?
L’euphémisation pratiquée par des journalistes anti-hétérosexuels accrédite trop souvent l’idée d’une violence « homophobe » en plein essor.
Non, ils se tuent entre eux.
Les conseils du major Gérald pour protéger vos arrières à la sortie du Macumba ou d’une rave party :
Les victimes de Sinaga boitent peut-être, mais elles vivent. D’autres innocents ayant croisé la route de joyeux détraqués ne sont plus en état d’épeler le sigle LGBT. La liste des invertis déviants adeptes de la violence aveugle est trop longue pour une revue de détails. Lorsqu’on sera agacé par la notion inexplicable d’« homophobie », on consultera le travail documenté du célèbre zoologiste et lanceur d’alerte Hervé Ryssen [1]. Son étude met en évidence que ceux qui habitent chez maman dans un très vieil appartement n’ont pas fait que du bien aux cisgenres masculins et féminins attirés les uns par les autres. Village People, groupe phare du mouvement gay disco ou plus récemment – mais pas moins mauvais – Eddie de Pretto occultent dans l’imaginaire du Français moyen une réalité effrayante : le talent destructeur et la cruauté déjantée de quelques explorateurs de backrooms sont illimités.
- La longue dérive du monde homo : des goûts vestimentaires en roue libre, des phallus mis en danger et une hétérophobie à peine voilée
Voici une sélection de cas distrayants : tous des bougres qui se déchaînent sur leurs semblables. En gros, car, pris de frénésie amoureuse, ils ne prennent pas toujours le temps de s’enquérir de l’orientation de genre de l’objet de leur tendresse. Et quelques erreurs peuvent se glisser dans leurs massacres.
Quand ils ne s’adonnent pas aux drogues où à l’obésité lubrique (les bears, des gros effrayants...), certains gays entretiennent leur corps. C’était le cas de Jeffrey Dahmer qui, en 1994, pratiquait la musculation depuis son arrestation par la police de Milwaukee. Auparavant, il avait torturé et dévoré (en mettant les restes au frigo) dix-sept victimes masculines. Ce cannibale sportif périra, l’occiput éclaté à grands coups d’haltères par un codétenu fâché.
Bruce McArthur, aucun lien de parenté avec le général. Ses faits d’armes, huit meurtres au moins, relèvent plutôt d’un trop plein de passion pour le même sexe. Juqu’à son arrestation en janvier 2018, ce grand-père était paysagiste. Il s’adonnait à des séances de sévices entre adultes consentants. Puis il massacrait ses camarades, les démembrait et les enterrait dans des jardinières fleuries qu’il installait sous les fenêtres de ses clients ! Bruce avait tout pour réussir à l’heure du féminisme décadent : une fraîcheur de lavandière et une profonde attirance pour la diversité bronzée. Il s’est, entre autres, bien acharné sur deux Srilankais, un Iranien et un Turc.
- Bruce Mac Arthur sur le site emblématique des couples de jeunes mariés hétéros, les chutes du Niagara
À l’inverse, Gary Ray Bowles écourtait des vies par pure homophobie. Certes, dans un premier temps, il avait dédié son existence à la prostitution masculine et à ses pratiques féodales. Mais, s’extirpant du cloaque et des ignominies, il avait – hourra ! – engrossé une... une femme ! Cette vie normale lui éclata au nez telle une bulle de savon sur un membre actif dans un sauna. Sa compagne découvrit le passé ignominieux. Comment garder le fruit d’une créature si dépravée ? Non à la gestation pour les dénaturés ! Elle avorta. Un désenchantement zemmourien s’empara alors de Gary. Sa contribution à la natalité occidentale avait été méprisée... Il se passa les nerfs sur six gibiers de hasard, tous invertis et tous en quête de basses faveurs.
Lorsque les forces de l’ordre et de la morale l’extirpèrent de sa cellule pour le finir à la seringue, le « tueur de l’autoroute 51 » s’infligeait une « thérapie de conversion » pour abjurer sa nature mauvaise. La preuve, son dernier repas : il avait commandé un simple menu de routier, un cheeseburger et des frites. C’était un message d’espoir. Il rejetait sa « signature » raffinée : des sex-toys (ou du papier toilette) enfoncés dans la gorge de ses victimes.
- Dans certains cas graves, traités tardivement, les thérapies de conversion (retour à l’hétérosexualité) sont inefficaces
Le territoire français n’a pas été épargné par ces créatures qui hantent les toilettes des centres commerciaux en quête de frissons criminels. L’adjudant Chanal et sa pelle-bêche magique ont été reliés après enquête à une dizaine de soldats du contingent manquant à l’appel. Le patriote a préféré s’égorger plutôt que d’avouer un penchant infâme. L’auto-stoppeur, présenté comme « l’unique survivant », qui faisait la sieste menotté et cul nu à l’arrière du van sans vitres de Pierre, était-il antimilitariste ? N’a-t-il pas un peu noirci le tableau ? De nombreuse questions restent en suspens.
- Parachutisme entre copains : ses élèves gardent de "Pierrot", l’adjudant Chanal (short blanc), le souvenir d’un initiateur inventif
Concluons le premier volet de cette investigation sur la criminalité et l’homosexualité par un coup de chapeau au mage Nathaniel.
À la fin des années 80, Richard Duquesnoy s’était inventé un don pour la divination. Son sado-masochisme uraniste et son manque intégral de scrupules ont-ils favorisé un parcours ascendant dans l’audiovisuel français ? Mystère ! En tout cas, le mage Nathaniel menait ses projets tambour battant. L’un d’entre eux aurait été la diffusion de son SIDA. Le gars sympa, quoi ! Le commandant Dominique Kirsh, de la brigade criminelle de Paris, se souvient :
« Nathaniel aurait appris qu’il était séropositif et il s’était vanté d’avoir transmis cette maladie, enfin le virus... »
Pendant que « Nath » (pour les intimes) vivait sa différence, la France le découvrait, affublé d’une longue cape rouge. Il animait une rubrique, Astro Vacances, dans une émission quotidienne à succès. Le service public, comme à son habitude, diffusait un mythomane à une heure de grande écoute. Popu et jovial par devant, le mage dirigeait dans l’ombre une entreprise de voyance par Minitel et vendait des caisses de livres pour ménagères. Mais par derrière, ça sentait plus le cuir et latex que l’accordéon... Nathaniel est emblématique des hommes publics français qui, depuis cette époque, n’ont cessé de proliférer sur tous les écrans.
22 octobre 1990, Nathaniel met ses dons de voyance en veilleuse pour la soirée. Il allume son Minitel chéri. Quelques minutes plus tard « Coralie » (Nathaniel) invite un inconnu, « Homme Poilu à Soumettre », à le rejoindre dans son pavillon de Champigny-sur-Marne. Mais ce poilu-là, Rémy Roy, n’est pas un héros de la Grande Guerre. Atteint de troubles de l’identité, se rêvant sodomite à ses heures perdues, notre homme est chaud. La semaine passée, dans un lieu public familial, il a mis en laisse les testicules d’un certain Paul Bernard. Puis, outrepassant le programme des réjouissances, lui a explosé la face à coups de moellon.
On imagine la scène ultime : « Homme Poilu à Soumettre » joue avec entrain de son marteau de charpentier. Le mage Nathaniel, s’effondre sur sa valise pleine de godemichets. Soudain, alors qu’une partie de son crane se désolidarise de l’autre, ses yeux s’illuminent au travers de la cagoule en cuir : « Mais ? Mais ? Je suis vraiment voyant ! » Son regard vient de se figer à tout jamais sur un exemplaire de son chef-d’œuvre publié en 1989 : Ma boule a perdu la tête. Au-dessus de lui Rémy Roy met les bouchées doubles.