L’enfant n’a pas à choisir sa famille d’accueil. Admettre cela c’est mettre le doigt dans l’engrenage et finir par tout accepter jusqu’à l’ultime "l’enfant a le droit à la sexualité et de choisir de se faire enculer en douceur par son gentil voisin sexagénaire contre un iphone...une petite fille de 11 ans peut choisir de d’emménager et de vivre en couple avec un trentenaire...et les parents n’ont pas le droit de s’y opposer..."
Si l’enfant intuitivement par instinct sait distinguer le sain du malsain, le normal de l’anormal...il est toutefois aussi vulnérables aux manipulations que certains pervers sont capables de mettre en oeuvre pour piéger et corrompre les êtres immatures.
Ce sont les adultes d’une société qui doivent protéger les enfants de ce genre d’aberration et non pas les enfants.

Je sais pas... Faudrait essayer.

D’ailleurs au nom de l’égalité on ne devrait jamais parler de parent 1 et parent 2 mais de parents quantiques dont l’état n’est pas défini tant que l’on ne l’a pas mesuré. Quand même !

Oui ils l’ont, mais pas par les mêmes organes. En Russie c’est par la prédominance non pas du B’nai B’rith mais de l’ordre Chabad Loubavitch, avec lequel Poutine est obligé de composer comme si c’était le premier clergé en importance de son pays. Poutine a réussi à remettre la Russie cahin-caha sur pied après l’écrasement absolu aux mains des oligarques sionistes criminalisés de l’ère Yeltsine mais il ne faut pas croire que le règne de cette oligarchie soit terminé : en fait depuis la révolution de 1917, dont c’était le but, la Russie est un état résolument aligné sur le camp judaïque, et l’est resté.

La différence c’est que seul le côté ultra-conservateur du judaïsme sioniste y est mis de l’avant (paléo-conservateur, non pas néo) pour lequel la sécurité des juifs dans le monde va de pair avec la préservation des autres cultures traditionnelles dans le monde et d’une alliance avec leurs élites les plus immobilistes les mieux à même de garder un maximum de gens satisfait de leur condition précaire au plus grand avantage des activités tradionnelles de la communauté organisée (non seulement l’usure et l’exploitation des vices des peuples maintenus pauvres mais aussi le monopole des savoirs très qualifiés, ce qu’elle avait toujours fait par le long passé pré-révolutionnaire), politique que déjà Staline et ses proches associés juifs tenaient à mette en oeuvre, et non pas leur destruction, du genre que recherchaient les Trotskystes.

Poutine est un nationaliste qui a à coeur non pas de changer l’ordre du monde mais de donner la place de choix à la Russie dans le monde tel qu’il est et si ce monde doit être sioniste il faudra faire avec. Autant Staline militait pour le socialisme dans un seul grand pays, avec quelques satellites tout au plus, autant Poutine milite pour le retour au paléo-conservatisme européen et à ses valeurs de décence morale protégées par l’état et garantissant un minimum de prospérité générale dans un seul grand pays : le reste du monde peut s’écrouler en attendant.

Après tout l’Amérique d’avant sa démolition contrôlée actuelle soutint tant qu’elle le put, jusqu’à l’ère Kennedy-Johson où fut mis au point le concept de guerre humanitaire et de Nouvelle Frontière, la thèse de la démocratie et de la prospérité capitalistes dans un seul pays, pour s’en réserver l’usufruit par brevet d’exclusivité : il valait mieux ailleurs dans le monde selon Roosevelt et ses prédécesseurs soutenir partout des régimes totalitaires criminalisés amis.