Après avoir repéré les leaders des minorités noires et musulmanes, le département d’État leur finance des séjours pour les convertir aux valeurs américaines.
Il est loin, le temps où « l’Amérique des ghettos » faisait figure de repoussoir en France. Désormais, les États-Unis exercent une véritable fascination chez certains leaders des minorités. Qui vont se former au lobbying communautaire outre-Atlantique, avec l’aide du département d’État américain. Blacks, Beurs, musulmans, la trentaine dynamique, ils sont désormais les chouchous de l’ambassade américaine à Paris, dès lors qu’ils occupent une position d’influence dans la vie associative, les médias ou la politique. Les attentats du 11 Septembre, tout comme les émeutes qui ont embrasé les banlieues françaises en 2005, ont cristallisé la crainte de voir les fils d’immigrés se radicaliser. Depuis, le gouvernement des États-Unis cherche à tisser des « liens étroits avec les minorités musulmanes en Europe ».
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Il est loin, le temps où « l’Amérique des ghettos » faisait figure de repoussoir en France. Désormais, les États-Unis exercent une véritable fascination chez certains leaders des minorités. Qui vont se former au lobbying communautaire outre-Atlantique, avec l’aide du département d’État américain. Blacks, Beurs, musulmans, la trentaine dynamique, ils sont désormais les chouchous de l’ambassade américaine à Paris, dès lors qu’ils occupent une position d’influence dans la vie associative, les médias ou la politique. Les attentats du 11 Septembre, tout comme les émeutes qui ont embrasé les banlieues françaises en 2005, ont cristallisé la crainte de voir les fils d’immigrés se radicaliser. Depuis, le gouvernement des États-Unis cherche à tisser des « liens étroits avec les minorités musulmanes en Europe ».
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