@ Pierre le loup, Ce qui importe dans l’article en question, ça n’est jamais l’africain quel qu’il soit, mais seulement que le salarié français subit sur le fond les mêmes traitements pour les mêmes raisons. On veut donc croire que votre commentaire prenant le Zimbabwe en exemple général africain, serait plus d’ordre d’ignorance et d’absence de compréhension, que de mauvaise foi.
Le Zimbabwe fut, globalement, une copropriété de personnes physiques dans laquelle la réglementation interdisait l’accès à l’existence administrative des autochtones. Par conséquent, sans aborder l’aspect financier, après 3 siècles de colonisation lesdits autochtones n’avaient pas de possibilité d’accès administratif à la propriété jusque l’indépendance en 1992.
C’est par exemple pourquoi, l’athlète Francky Frederik ne couru pour son pays d’origine qu’en fin de carrière. Entendez qu’autochtone, il ne disposait pas dans son pays d’existence administrative lui permettant l’accès au passeport donc à la nationalité.
À l’indépendance, acquise 30 ans après les autres pays africains, 90% de la population du pays existait pour la première fois dans l’histoire administrative du pays. Dès lors il fallait donner des terres à ces populations analphabètes et atteintes à 90% par le virus du sida, afin qu’elles se nourrissent par elles mêmes. Les propriétaires, exclusivement européens défendirent alors leurs droits de propriétés par les armes. Ceci entendu qu’ils étaient plus puissants que l’État naissant... L’épisode fit quelques centaines de milliers de victimes parmi les autochtones.
La Rodhésie du nord (actuelle Zambie) fut aussi un exemple d’État propriété privé qui à cette époque, appliquait l’apartheid comparable au Zimbabwé. De nos jours, l’Arabie Saoudite est je crois, la dernière propriété privé à recevoir la reconnaissance d’un État à l’Onu.
Quoi qu’il en soit, faire comme dans le cas de votre exemple, de l’exception rare, la règle générale, est de l’ordre de la malhonnêteté circulant couramment sur d’autres médias. ici Faut-il s’y accoutumer ?
Car la démarche de ceux qui mangent sur nos têtes est chaque jour nourrie d’arguments dilatoires de nature fonctionnelle identique à celle que vos portez ici.
À bien entendre votre propos, les actionnaires du CAC40 auraient droits à bazarder le salariats pour gagner plus en travaillant d’usines de sa terre France alors que ces abrutis de Gaulois....
Misères, misères...
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