À travers la dénonciation du « suprémacisme blanc », qui est résiduel, il faut comprendre la lutte contre toute résistance nationale aux chocs migratoires massifs imposés aux pays occidentaux ou prévus pour eux.
Là, les choses deviennent subitement plus claires. Les pays qui ne voudront pas du grand métissage ou du Great Reset seront considérés comme terroristes et rejetés par la communauté internationale. Une guerre contre les nations, voilà ce que veut dire ce pauvre Guterres, qui devrait battre sa coulpe d’être blanc.
On comprend aussi en creux, derrière son discours désinformateur, que la Trump Nation fait peur à toutes les autorités mondialistes qui, on le rappelle en passant, n’ont jamais été élues que par elles-mêmes. Ce problème de légitimité se verra de plus en plus dans les années qui viennent. Des ordres viendront d’organisations à la façade humaniste mais beaucoup plus nébuleuses dans leur composition et leurs buts.
Complètement schizophrène, l’ONU, dans la même session, est capable de dire que les gouvernements ont profité de la pandémie pour restreindre les libertés publiques. Il n’y a qu’une façon de lever cette contradiction, c’est de montrer que les États ou les nations ont été vilains, mais que les organisations supranationales veillent, elles, sur les libertés. Toujours ce plan de gouvernement mondial cher à Attali et ses amis...
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a averti lundi sur les risques portés par le suprémacisme blanc et les mouvements néo-nazis qui deviennent « une menace transnationale ».
Dans un message vidéo pré-enregistré, à l’occasion de l’ouverture de la 46e session du Conseil des Droits de l’Homme, qui pour la première fois de son histoire se déroulera entièrement en ligne, le secrétaire a appelé à se méfier de ces groupes motivés par la haine qui ont profité de la pandémie pour se renforcer.
Pour lui, « la suprématie blanche et les mouvements néo-nazis sont plus que des menaces terroristes nationales » et sont donc un danger international qui représente « la première menace à la sécurité intérieure dans plusieurs pays », a rapporté Reuters. Il n’a cependant pas mentionné les États en question.
The rot of racism eats away at institutions, social structures & everyday life — often invisibly & insidiously.
I welcome the new awakening in the global fight for racial justice, a surge of resistance against being reduced or ignored — often led by women & young people.— António Guterres (@antonioguterres) February 22, 2021
Antonio Guterres a notamment appelé à « intensifier la lutte contre la résurgence du néonazisme, de la suprématie blanche et du terrorisme à motivation raciale et ethnique ».
Il souhaite « une action coordonnée au niveau mondial pour vaincre ce danger grave et croissant ». Il a ajouté que « trop souvent, ces groupes haineux sont encouragés, par des personnes occupants des postes de responsabilité, d’une manière qui était jugée inimaginable il n’y a pas longtemps ».
Le secrétaire général de l’ONU a déclaré qu’il souhaitait la mise en place une action concertée à l’échelle mondiale pour mettre fin à cette « menace sérieuse et croissante ».
La Haute-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a également dénoncé « les restrictions illégitimes des libertés publiques (et) l’utilisation excessive des pouvoirs d’urgence » dans le cadre de l’épidémie.
Social justice and social protection are closely linked. Girls and boys, women and men, EVERYWHERE, must have :
✅ Equal conditions
✅ Equal opportunities
✅ EQUAL RIGHTS#SocialJusticeDay— Michelle Bachelet (@mbachelet) February 20, 2021
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