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Le secret des substances chimiques associées à la fracturation hydraulique

Alors que la campagne médiatique en faveur de l’exploitation des gaz de schistes se poursuit dans le monde anglo-saxon et ses alliés, un rapport parlementaire états-unien de 2011, tenu secret jusqu’à aujourd’hui, révèle les prétendus « secrets commerciaux » et autres « produits exclusifs » de la fracturation hydraulique. Il s’agit en réalité de substances cancérigènes ou polluantes, presque toutes interdites.

Toute l’industrie pétrolière et gazière des États-Unis s’est lancée dans une colossale campagne publicitaire visant à vanter les prétendus avantages de la fracturation hydraulique, une technique susceptible de faire de la Roumanie « l’Arabie saoudite du XXIe siècle ».

Ainsi, la récente livraison de la revue bimestrielle Foreign Affairs, porte-parole du très influent Council on Foreign Relations (Conseil des relations étrangères, CFR en anglais), considère sans détour la très controversée technique de la fracturation hydraulique comme la nouvelle arme énergétique et géostratégique des États-Unis.

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16 Commentaires

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  • Pourquoi lorsque l’on fore un puits de pétrole, le pétrole remontant ne pollue pas les nappes phréatiques ? Parce ce que l’on fore dans un puits d’acier indispensable pour que les parois naturelles du puits ne le bouche en s’effritant, et du reste c’est le "Colonel" Drake qui a fait cette invention - qu’il a oublié de faire breveter , ce qui l’aurait rendu très riche... Pourquoi dans ces conditions le gaz - ou le pétrole - de schiste remontant dans son tuyau d’acier polluerait-il plus que le pétrole ? A mon avis ce sont les USsionistes qui interdisent au gouvernement Français l’extraction du gaz et du pétrole de schiste, pour garder le pactole pour eux . Ils comptent sur l’action de "nos" meilleurs traitres, les "écolos-sionistes" genre Placé . Comme ce sont également les sionistes qui ont empèché les Français de développer des drones, qui sont l’avenir de l’aviation - pour en réserver le marché, potentiellement gigantesque, à Israel, mais ceci est une autre histoire .

     

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    • Parceque la technique d’extraction n’a rien à voir. Pour extraire le gaz de schiste il faut fracturer la roche, c’est à dire la casser et injecter je ne sais plus quels produits dedans.
      Et en fait après je crois qu’aprs on fait passer de l’eau dans cette roche fracturée, qui récupère le pétrole, ou un truc du genre.
      Mais pour que la roche reste poreuse et permette le passage du liquide il faut injecter des saloperies dedans il me semble.
      Et c’est quelque chose qui se fait à l’horizontale.
      Donc ça pollue toutes les nappes phréatiques et le sol pour des décennies, rendant la consommation d’eau avec un puit ou un forage impropre dans ces coins là.

      Ca ne m’étonne pas qu’ils veuillent le faire en roumanie d’ailleurs ces salopards...
      Quand il n’y aura plus de gaz de schiste non plus, on fera quoi ??

       
    • Bonjour ,

      C’est la fracture de la roche qui pose un problème. Car cela peut lier le lieu du forage à des nappes.

      Voyez ce qu’il arrive a des habitants paisibles aux états-unis qui ne peuvent même plus boire l’eau de leurs puits.

      Ce n’est nullement un problème lié aux tuyaux.

      Bonne soirée à vous.
      Cordialement.

       
    • Si le schiste à fracturer se trouve à trois mille mètres de profondeur il n’y a pas de pollution à redouter pour la nappe phréatique qui est beaucoup moins profonde .

       
  • #850575

    Dire que l’Algérie a accepté de laisser la France expérimenter des méthodes de fracturation hydraulique soit disant moins polluantes, on sait à présent que ça n’existe pas et que ces pourris d’américains avides de profits sont prêt à détruire l’environnement de populations qui n’ont rien demandé, j’espère que les algériens ne se laisseront pas faire.

     

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    • Et tu veux qu(’il fasse les Algeriens pauvre tâches ! Des manifestation ont eclater contre ces methodesjugé extrenement dangeureuses. Des petitions ont était signé, mais rien n’a y faire.

       
    • #866057

      Je crois qu’ils se servent de l’Algérie pour tester leur fameuse fracturation par arc électrique, avec beaucoup moins de produit chimique donc. Mais il reste le problème du méthane qui sort de la roche jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus et continue à migrer dans la nappe phréatique bien après la fin de l’exploitation.
      C’est vrai qu’en Algérie, la nappe est une nappe fossile, elle ne se renouvelle pas, c’est pourquoi il faudrait mieux y faire très attention.

       
  • #850759

    Evidemment que c’est un procédé sournois et hautement toxique pour tout ce qui constitue la terre et l’eau, donc la vie (ou la survie) de tout ce qui est d’origine végétale ou animale (dont nous).

    Ca détruit tous les sous-sols, qui deviennent inexploitable pour le reste, y compris les nappes phréatiques. Ils ne balancent pas de l’eau aromatisée au sirop de grenadine sous pression pour fracturer les roches...

    Ces gens-là, ceux qui autorisent et ceux qui ordonnent devraient être sous les verrous tant c’est criminel.

     

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    • #850997

      "Ca détruit tous les sous-sols, qui deviennent inexploitable pour le reste, y compris les nappes phréatiques."



      Des milliers de Tchernobyl souterrain ?

      Mais tout va bien, tout est sous contrôle.... dormez brave gens.....votrez UMPS-EELV

       
  • #850929

    Les nappes phréatiques sont situées à quelques dizaines de mètres de profondeur, le gaz de schiste est extrait dans des puits de 3 ou 4000 mètres de profondeur, comment voulez vous que les nappes soient polluées, le gaz et le pétrole de schiste remontant, comme le gaz naturel et le pétrole, par des puits étanches formés de tubes d’acier ?

     

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  • #850961
    Le 8 juin 2014 à 11:52 par Philippe de Macédoine
    Le secret des substances chimiques associés à la fracturation (...)

    La nocivité des produits et les risques liés à la fracturation hydraulique, réels ou surestimés, sont de la poudre aux yeux. Ce sont des arguments pour différer l’extraction des gaz de schistes car le débat continue de faire rage aux Etats Unis. En France, pays où l’Etat a encore son mot à dire, décision a été prise de différer la reprise pour le temps où celle-ci sera rentable économiquement, c’est à dire quand le prix du gaz qatari ou russe sera trop élevé pour quelque raison que ce soit (spéculation, transport extraction) et qu’il faudra "relocaliser la production".

    Cela dit, les Américains poussent à l’extraction pour des raisons qui sont claires :
    - Raison purement commerciale : ils disposent de la technologie et comptent la vendre à prix d’or sous forme de patentes ou de baux d’exploitation - exemple Chevron en Ukraine.
    - Raison géopolitique  : en poussant l’Europe à être moins dépendante de l’importation du gaz, les Etats Unis maintiennent leur plan d’isolement de la Russie et du Moyen Orient.

    Ce qui est moins clair est la raison pour laquelle ils ont décidé de s’attaquer prématurément à leur sous-sol et vider leurs réserves ultimes au risque de ne rien laisser aux futures générations. J’ai quelques pistes :
    - le gaz de schiste a été choisi comme voie de R&D pour relancer la machine économique pendant la crise. C’est un pari sur l’avenir comme tout le monde a fait le pari de l’automobile, de l’électroménager et du nucléaire en 1945 puis du numérique (les autoroutes de l’information) dans les années Clinton.
    - il y a un phénomène de fuite en avant. De plus en plus de puits s’avèrent extrêmement peu rentables. Le projet ne marche pas mais personne ne le dira. Par contre, si on peut partager le désastre avec le couillon du XXIe siècle qu’est l’Union Européenne, pourquoi s’en priver ?
    - les entreprises du secteur, souvent des start-ups d’ailleurs, ont été l’objet d’une spéculation impensable. M. Delamarche a récemment parlé d’une de ces start-ups capitalisée à plusieurs dizaines de milliards de dollars alors qu’elle ne produit rien. Nous sommes face à une bulle spéculative qui ne dit pas son nom et les Américains ont peur qu’elle leur saute à la figure.

    Le sujet est explosif.

    Personnellement je suis contre l’extraction tout simplement parce que nous n’avons pas besoin de ce gaz actuellement.

     

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    • #859285
      Le Juin 2014 à 23:43 par DGSI = traîtres à la France et collabos du jihadisme
      Le secret des substances chimiques associés à la fracturation (...)

      Bonjour monsieur,

      je ne regrette pas d’avoir pris le temps de vous lire.
      Pas de faute d’orthographe et un français léger à lire
      Etant donné que je ne pense pas être l’imbécile dans la comparaison chinoise avec le sage et l’imbécile qui montre le doigt, je parlerais aussi du contenu de votre message que je trouve très intéressant :

      il y a quelque chose que je ne comprends pas et que j’ai entendu plusieurs fois :

      - qu’est-ce-que c’est une bulle spéculative ?

      - Et qu’est-ce-que vous entendez dans le contexte présent par bulle spéculative ?

      Merci bien pour votre éclairage détaillé

       
    • #866099

      Une bulle spéculative, c’est comme une bulle de savon financière : les boursicoteurs professionnel achètent massivement les actions d’une société récemment coté en bourse, ça fait monter le prix des actions, les pro gagnent énormément d’argent en faisant gonfler la bulle au-delà du raisonnable alors le phénomène finit par attirer des particuliers conseillés par des escrocs ou par les journaux économique de l’oligarchie ploutocratique, les pro leur refilent toutes leurs actions à prix d’or et s’en vont vite fait avant que la bulle virtuelle désormais totalement déconnecté de la réalité éclate et ruine des innocents.

      Dans le cas présent il s’agit bien sur de la différence entre le prix de vente du gaz et le cout d’extraction : ça coute plus cher de sortir un mètre cube que ça rapporte de le revendre. Si une solution n’est pas rapidement trouvée, les gens vont comprendre que l’activité s’effectue à perte et toute les sociétés du secteur feront faillites. Le seul moyen, attendu que de nouveaux puits doivent constamment être forés pour continuer à extraire la même quantité et qu’il est impossible de faire baisser le cout d’extraction, c’est de provoquer une rareté sur le marché américains où l’offre de gaz est désormais supérieure à la demande et pour ça il faut exporter du gaz, quelque soit la zone géographique : Amérique du Sud, Asie-Pacifique ou Europe. Sinon on peut aussi réduire le rythme de forage pour réduire la quantité produite et faire monter les prix par diminution de l’offre... mais vous connaissez les Américains !

       
  • #851052

    Grace au gaz de schiste, le prix du gaz a baissé de... 80% aux USA ! Ce qui contribue à relancer l’économie ; Seulement les US interdisent aux Français d’exploiter le leur, ils n’ont pas le droit de gouter au plat, et ils l’interdisent par l’intermédiaire de ces merdes d’"écolo-sionistes" menés par le poussah Placé . Bientôt on va acheter du gaz de schiste US, du pétrole de schiste US, sans parler des hydrocarbures de schistes que l’on va acheter à... Israel... Se chauffer grace au gaz Israélien, quel bonheur inoui, nos maisons, miracle juif ! vont se mettre à parler (oui !) pour nous faire connaitre leur satisfaction, quelle reconnaissance pour ces éternels Sauveurs (comme Jésus !) de l’Humanité !

     

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    • #866076

      Renseignez vous bande d’abrutis vous parlez avec une totale ignorance du sujet.
      La où il y a les plus grosses réserves de France, il y a aussi la plus forte concentration de population nationale, 12 millions de personne. Et les nappes phréatiques qui alimentent ces gens sont déjà partiellement impropre à la consommation vous voulez les finir ?

      Il faut réfléchir un minimum : quand le traiter transatlantique sera voté, et il le sera (rien ni personne ne pourra l’en empêcher !), alors les sociétés pétrolifères texanes attaqueront l’état Français les unes après les autres pour qu’il fasse sauter sa loi moratoire controversée puis ensuite qu’il leur refilent les consessions pour lesquels elle avait postulé massivement quand on bêtement commencé à parler publiquement d’estimation allant 60 à 100 milliards de barils d’huile de schiste dans le bassin parisien. La santé des gens qui vivent dans la 3eme mégapole européenne, elles s’en fichent.

      Dans le bassin parisien, il y a aussi du pétrole conventionnel extra-lourd en grande profondeur, mais l’état en fait une exploitation minimal en prétextant le cout de production mais en réalité pour économiser les réserves dont il cache l’ampleur. L’extraction coute cher mais elle est propre. Il y a aussi du pétrole off-shore dans les DOM qui n’est pas exploité non plus et on a vu toutes les ONG anglo-saxonne manifesté quand on a parlé de démarrer l’exploitation, pourquoi ?

      La raison de la volonté d’exportation des américains est simple, en plus de leur géopolitique eurasiatique anti-russe, ils ont besoin de faire remonter les prix du marché chez eux en créant une rareté parce que l’exploitation actuellement est non-rentable, ils perdent du fric en plus de niquer leur espace habitable !

       
  • c’est un argument de vente « l’Arabie saoudite du XXIe siècle » ? moi je partirais en courant...

     

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