L’économie mondiale est entrée dans une « phase nouvelle et plus dangereuse », estime ce samedi le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, dans une interview en forme d’avertissement publiée par l’hebdomadaire australien Weekend Australian.
L’Américain, en poste depuis quatre ans, s’inquiète plus de la crise de la dette des pays européens que de la dégradation de la note américaine : avec la Grèce et le Portugal assommés par leur dette et d’autres pays menacés, et sans possibilité de dévaluation, c’est en effet non seulement l’économie de la zone euro qui est menacée, mais l’existence même de la monnaie européenne, estime-t-il.
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