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Le poids plume Macron cherche à peser dans le combat des lourds Trump-Poutine

Les événements nous échappent, disait Cocteau, feignons d’en être les organisateurs. L’homosexuel le plus célèbre du XXe siècle avait, juste avant de mourir en 1963, parfaitement défini le Macron qui allait naître en 1977.

 

 

Le 13 août 2025, un Président fantoche, vidé de toutes crédibilité, de toute popularité, de toute autorité, continue à jouer, de son bac à sable au Château, au président-qui-aurait-du-poids dans le monde, du moins au président de l’Europe.

La rencontre Trump-Poutine approche, et qui entend-on donner ses directives ? On vous le donne en mille : Manu l’incruste. Dans le genre, on avait déjà BHL qui mettait son nez partout, dès qu’il s’agissait de créer une guerre qui profite à Israël, et coûte à la France.

Macron, une terreur à l’international

France Info, à la botte du Président, sans le moindre gramme d’esprit critique, nous présente le programme de ce troisième grand-de-ce-monde :

« Le président Trump a été très clair sur le fait que la volonté américaine était d’obtenir un cessez-le-feu » en Ukraine lors du sommet en Alaska, prévu vendredi entre Vladimir Poutine et Donald Trump, a affirmé, mercredi 13 août, Emmanuel Macron, depuis le fort de Brégançon (Var). Le président russe et le président américain se retrouvent vendredi à Anchorage, en Alaska, pour un tête-à-tête déjà historique, mais en l’absence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Selon Emmanuel Macron, Donald Trump « va se battre » pour organiser une réunion entre les États-Unis, la Russie et l’Ukraine. « Nous souhaitons qu’elle puisse se tenir en Europe, dans un pays neutre », a souligné le président français, au nom des Européens.

Tout est grotesque dans ce paragraphe qui tente de cacher et l’impuissance française et l’impuissance européenne, l’UE et la France ayant tout faux depuis qu’elles ont choisi la guerre, via l’OTAN, contre la Russie. Si Trump veut un cessez-le-feu, il faudra qu’il entérine la nouvelle Russie, qui inclut le Donbass.

 

 

Pendant que le petit garçon de l’Élysée joue au grand et au dur, les soldats russes viennent de percer autour de Pokrovsk, coupant le front défensif ukrainien dans la région de Donetsk en deux. Il y a le fantasme du châtelain, et la réalité du terrain. Le Monde ravale sa salive et est obligé d’avaler ça :

Si l’on n’est pas trop paresseux, en lisant l’article, on apprend même que cette percée, qui est en réalité « une double avancée en forme d’oreilles de lapin », atteint 17 kilomètres dans la profondeur...

L’intention stratégique de cette percée consiste probablement à former un coin visant à couper en deux les forces armées ukrainiennes dans la région. La route logistique cruciale T0514 reliant Dobropillia à Kramatorsk serait déjà atteinte, et même franchie, selon Deepstatemap.live. Or, la « nouvelle ligne de défense », sorte de seconde ligne construite depuis plusieurs mois par les Ukrainiens pour prévenir toute brèche, longe la T0514.

Quelles que soient les annonces publicitaires et surréalistes de Zelensky, qui ne veut pas céder un pouce d’une Ukraine qui a déjà « cédé » 20 % de son territoire russophone à la Russie, et de Macron, qui jure que Zelensky (et lui-même) a son mot à dire aux deux grands, qui ne pourront pas négocier sans lui, la réalité géopolitique et la réalité du terrain s’imposent.

Le Monde, ce journal indépendant qui suit la ligne de l’OTAN, est obligé de relayer la mauvaise nouvelle qui angoisse l’Ukraine :

Dès que la mauvaise nouvelle a été rendue publique, plusieurs commentateurs ukrainiens ont choisi de vider leur sac, en critiquant l’état-major. Sur X, le lieutenant-colonel Bohdan Krotevych, commandant de la brigade Azov, parle d’ores et déjà de « véritable désastre qui s’aggrave de jour en jour » au sujet de la ligne de défense Pokrovsk-Kostiantynivka. Il affirme que « Pokrovsk et Myrnohrad sont presque encerclées. Kostiantynivka est à moitié encerclée ». Pour lui, il s’agit d’un « problème systémique » dû « à l’élimination des réserves, à la fragmentation massive des unités sur toute la ligne de front, aux rapports trompeurs sur tel “village capturé”, présentés comme une victoire sur fond d’échecs dans de larges portions du front, à la distribution des ressources de mobilisation à des “parrains”, ainsi qu’au manque absolu de vision stratégique et même opérationnelle du théâtre d’opérations chez certains dirigeants militaires ».

Parfois, le Président ferait bien de lire Le Monde. Heureusement, il peut compter sur LCI, la chaîne de l’OTAN, qui reste optimiste :

« S’il n’y a pas de troupes derrière, cette avancée n’aura que la durée de vie des combattants déployés. »

On se doutait bien qu’il s’agissait d’une percée publicitaire, deux jours avant le combat des chefs en Alaska.

Sud Radio reprend L’Académie des neuf
et se place en concurrent de LCI

 

Les dernières nouvelles du front avec le capitaine Moreau

 






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32 Commentaires

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  • #3553215

    La volonté de Trump qu’il n’y ait pas Zelensky est en réalité une ruse afin d’obtenir non pas un traité de paix et une capitulation mais un simple cessez-le-feu/armistice. Déjà que même pour la signature d’un armistice l’absence du chef d’Etat d’une des deux parties est une anomalie, même une aberration, ce qui par ailleurs si cela se produisait vraiment cela rendrait tout armistice nul d’un point de vue du droit international. Un cessez-le-feu est un piège car cela pérennise un conflit latent pour l’éternité exactement comme entre la Corée du Nord et la Corée du Sud ! Et c’est exactement l’objectif de l’Etat profond auquel Trump est obligé de se soumettre partiellement. Un cessez-le-feu fera de l’Ukraine une métastase cancéreuse otanesque menaçant constamment la Russie à ses frontières tout comme la Corée du Sud est une menace permanente pour la Corée du Nord. En fait ce que l’état profond cherche à obtenir c’est une situation à la péninsule coréenne...
    NB : précisons la différence entre cessez-le-feu/armistice et le traité de paix. Dans le premier cas il s’agit d’un arrêt temporaire des hostilités pour une durée déterminée ou indéterminée. Dans le second c’est l’arrêt de la guerre. Grosse différence !

     

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  • Hahaha, toute ligne de défense récente en Ukraine ne peut être qu’un pansement sur une jambe de bois. Pour rappel, les trois lignes de défense du Donbas ont été fortifiées comme sans doute jamais dans l’Histoire (et ceci depuis plus de dix ans !). La dernière est justement entrain de craquer de partout, cet article fantasmatique tente juste de minimiser la situation et de faire croire que nous autres Européens avons encore voix au chapitre… À moins d’un miracle qui pourrait survenir lors de la réunion à venir en Alaska, et uniquement pour des intérêts financiers, il n’y aura pas de lignes Surovikin inversées. C’est plié comme disent les djeunz. Par ailleurs aucun pays de l’OTAN ne peut être considéré comme neutre aux yeux des Russes. Macron ferait mieux de faire profil bas, et profiter de ses vacances au Fort. À nos frais…

     

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  • #3553234

    Macron c’est la souris qui marche, dans le désert, à côté de l’éléphant Trump et qui lui dit : "T’as vu toute la poussière qu’on soulève ?"

     

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  • #3553287

    Trump et Poutine, en évinçant Zelenskiki et Macron, ont simplement évincés le gang Rothshild.

     

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  • #3553312

    Avant d’écrire un texte faut une filiations d’un suivis
    Des références
    e@r fait ce job de mémoire.
    Mais l’Islam aussi
    Au début dans la bible il avait cette idée de la transmission de la maison de père en fils et de la boutique.
    Par la suite il y à eu transfiguration .

    Autant inviter un lézard de sang froid

     

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  • à priori, ce sommet en Alaska devrait permettre à Trump de faire comme Ponce Pilate, et de se laver les mains du problème Ukrainien, en achevant d’en faire un problème uniquement Européen. J’imagine que l’on va avoir droit à une séquence similaire à celle du désengagement américain au Viêt-Nam ou la responsabilité de la défaite fut rejetée sur le gouvernement fantôche Sud-Vietnamien.
    Zelensky peut se préparer à devenir le prochain Ngo Dinh Diêm, et sera peut-être lui aussi suicidé à l’arrière d’un transport de troupe blindé lorsque la Junte bandériste pensera son remplacement nécessaire.

     

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  • #3553344
    Le 14 août à 15:04 par IGGY POP l’iguane
    Le poids plume Macron cherche à peser dans le combat des lourds (...)

    macron est le représentant de notre époque pourrave, décadente (dans le mauvais sens du terme).........
    Il piétinne les valeurs, la culture alors qu’il fut un enfant d ela bourgeoisie cultivé.
    Ces enflures sont les pires, comme la bourgeoisie de gauche ,ceux qui habitent le 5 de paname.
    Car le naze basique qui habite en banlieue et qui bande que sur sa bagnolle, le foot et le PMU........il est né dans un milieu ras la moquette, mais la catin qui fut élevé,grandit dans une france de sachant, n’a aucune excuse, c’est un putain de fossoyeur comme l’est macron le dindon de la farçe qui détruit la France.

     

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  • certains attaquent trump sur, malgré ses discours de paix et désengagement, ses inaction et incapacité en ukraine.....
    m’est avis que poutine lui a promis un joli rôle, voire des compensations économiques sur le dos de l’ukraine, mais le moment venu,
    après que la russie contrôle tout l’est ukrainien, voire jusqu’au dniepr,
    et en tout cas, tout le sud, jusqu’à odessa, soit la mer noire.....
    en attendant, don, sois gentil, illusionne, fais traîner.....
    .
    enfin, en parlant de couper des fronts en deux,
    le ministre des finances israélien officialise la construction de 3400 logements coupant en deux la palestine, projet voué aux gémonies internationales et bloqué depuis 20 ans, rendant impossible un état palestinien viable.....

     

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  • Un simple "cessez le feu", c’est à dire un statut quo qui règle rien, vous appelez ça un combat de lourds ? Pendant ce temps on s’occupe pas de Gaza... à part Israël !

     

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  • Chers amis,le mafieux joueur avec sa bite nest plus président depuis mai 2024 alors Trump et Poutine le savent ils vont se démerder pour mettre en fuite le joueur de bites et ils mettront un président élu avec lequel ils scelleront les décisions prises.

     

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