Alors que s’ouvre aujourd’hui le procès Zemmour, le Cran déploie une stratégie non judiciaire en choisissant de s’insérer dans tous les réseaux politiques ou économiques. Quitte à faire jouer ses propres intérêts au détriment de la cause que ses responsables prétendent défendre.
On savait déjà que les anti-racistes avaient depuis longtemps déplacé leur militantisme dans les prétoires. A tort ou à raison, plusieurs personnalités de Brice Hortefeux à Eric Zemmour (dont le procès est prévu le 11 janvier), ont eu faire face à la justice suite à la plainte d’une association.
Lire la suite de l’article : Marianne2.fr