On nous a toujours menti et manipulé à propos de ce qu’était réellement le Front Nationale !
On nous a dit tout et n’importe quoi, on nous a fait honte d’être français, fait croire qu’il était honteux de voter FN, que l’on trahissait la démocratie et ses valeurs, et on a cru, tellement cru, que devenus autiste nous n’avons rien écouté des discours et des idées de ce partie.
J’en veux à l’industrie du divertissement et ses soldats dociles, les bobos du show-business, ainsi que la scène dite "alternatives", genre Béruriers Noirs, Mano Negra-Manu Chao et autres rappeurs ou chanteurs à la "marge"(bobos eux aussi mais non-assumés), qui nous on fait chanter en coeur, comme des couillons qu’on était, "la jeunesse emmerde le Front Nationale", pendant que la jeunesse se faisait effectivement enculer par le pouvoir en place !
Un type comme Manu Chao, avec les ventes qu’il fait et les fonds qu’il engrange, est plus proche du Capital et de la banque que de ses clients, on comprend donc les positions qu’il a toujours eu sur le Fn, de plus, s’il veut continuer à être distribué il faut qu’il parle la langue de l’empire...En attendant, pendant que ses couillons de clients se lèvent chaque matin pour aller bosser, notre bourgeois Manu promène son oisiveté ses pantacourts dans l’amérique latine profonde et se prend des grosses cuites chaque soirs pour oublier qu’il est à des années lumières des demis-idées tièdes qu’il véhicule dans ses "chansons" .
Doit on parler des NTM ou autres pourfendeurs rappeux du show-bizz, de cet enfant gâté qu’est Joey Starr, de l’ascension rapide, très rapide, curieusement rapide de ce groupe, imposé par l’industrie du divertissement, qui depuis à gagné beaucoup d’argent...
Quand à Debbouze, Lieutenant Collabeur, il aura aussi quelques conseils à donner au peuple, depuis son 400 m2 du boulevard Saint Germain à Paris, mais y’aura toujours quatre couillons pour penser qu’il parle au nom des "banlieusard" ou de la "réussite" d’un gars parti de rien et qui devrait toujours être rien, si on remet l’Art à sa place, dans ce monde contemporain décadent ou mettre sa merde en boîte constitue un acte révolutionnaire artistique et ou une chansonnette griffonnée au hasard d’une cuite sur un sous-bock tient la dragée haute à n’importe quel monument de la musique classique.
Pour reprendre Coluche, la vie, le train de vie de Debbouze n’est pas très éloigné des envies, des désirs de ses clients, qui eux se lèvent à 6h00 du mat pour prendre des trains de banlieue pour aller bosser pour un salaire de misère. Grâce à eux, ses "admirateurs", Debbouze à déjà accumulé plusieurs vies de salaire d’un ouvrier français issu de l’immigration...
On va les revoir en 2012, toute la clique des commerçants de la chanson, du cinéma, ces industriels de la ritournelle et de l’image, ces bourgeois lénifiés, craignant pour leur acquis, pour leurs ventes, pour la légitimité de leur "art" et criant au fascisme sur tout les toits.
Ces gens ne sont pas des artistes, mais bien plutôt des décorateurs, les décos de l’Empire, pour nous donner l’illusion que nos vies sont supportables, pour que l’on continu à se lever le matin pour faire tourner la boutique... Que l’on oublie l’absurdité de la vie qu’on mène... Quand ils n’incitent pas à la consommation d’alcool, de cannabis ou autre
Pour terminer, il est intéressant de se pencher sur l’histoire et voir ce qu’ont fait les "vedettes" du show-business à l’époque 39-45, tous planqués aux USA dans de grasses conditions, des Gabin aux Chevalliers et pour ceux qui sont restés ici, des collabos soumis à l’ennemi, de Piaf à Guitry, ces professions de bourgeois ont toujours trahi leurs clients, le peuple.
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