Chère Marion,
La problématique d’attaquer ces sujets en qualifiant de sataniques des éléments (êtres humains) prédateurs sur lesquels nous pouvons mettre le doigt (et même dessus, la main) me semble absurde, pour féconder de ces vérités les esprits d’aujourd’hui : en effet, sauf encore pour mes grands-parents, mes parents et moi-même (pour vous offrir les strates - nous avons tous pratiqué ou subi la guerre) il n’est plus, pour ceux qui nous suivent, de valeur « sacrée » pour le pain en cela que, malgré la répétition, malgré l’éducation, ce sens s’évapore et de notr epropre transmission et de l’insconscient collectif : rares sont les jeunes qui mangent du pain rassis, le pain perdu est un délice de quelques restaurateurs, la fondue savoyarde un plat typique, la soupe à l’oignon un tradition de rentrée de boîte et puis, il y a le pain de mie, les biscottes, le pain grillé, l’on passe et l’on repasse sur la tartine que nous pourrions évoquer à faire exploser le compteurs de caractères ci-dessous.
Je crois, pour ma part, à la neutralité (politique et confessionnelle) de l’Histoire pour lesquels ces deux systèmes sont des contextes temporels à adjoindre - en dernier ressort - à la structure de faits, sans que cela puisse représenter une forme de parti pris.
Un prof l’exactitude bossait un peu comme cela sur l’étude des textes (et autres éléments).
Car au-delà de l’ordonnance de de L’Averdy, des famines, des éruptions volcaniques, du libre accès laissé aux marchés de l’époque aux « marchands » (les fumeux capitalistes à venir), peu de jeunes ont conscience que les marchés de l’époque étaient sous la protection des décrets du roi (assurément pour ce qui concerne le pain) puisqu’ils achètent dans nos marché modernes leurs coques de téléphones et autres gadgets durant les vacances. Aujourd’hui, aucun ne connaît ce que signifie gagner son pain, sa croute, ni pourquoi il ne faut pas le laisser à l’envers : ah peut-être le sait-il pour l’entendre ? Mais il ne connaît pas.
Aussi, envoyer du Dieu et du Diable aux collégiens et lycéens (athés, polythéistes, animistes, déistes...) ne me semble pas une piste judicieuse, même si je saisis l’esprit que vous désirez insuffler à l’importante chose.
Bonne chance pour vos opus !
Répondre à ce message