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Le Monde fait l’hypothèse – complotiste – de la fuite du virus du laboratoire de Wuhan

L’hypothèse d’un accident de laboratoire comme origine possible de la pandémie de Covid-19 n’est ni majoritaire ni la plus probable, mais elle n’est pas une théorie complotiste : dans une correspondance publiée jeudi 13 mai par la revue Science, une vingtaine de scientifiques de haut niveau appellent à examiner cette possibilité au même titre que celle du « débordement zoonotique » naturel. Ce bref article ne pouvait mieux tomber. Quelques heures avant sa publication, trois travaux universitaires (une thèse de doctorat et deux mémoires de master) menés ces dernières années à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient divulgués sur Twitter, par le compte d’un scientifique anonyme, coutumier des révélations fracassantes.

Les bras nous en sont tombés, notre mâchoire s’est décrochée, et nous sommes tombés de notre chaise Ikea premier prix : Le Monde, le prestigieux porte-drapeau de la propagande LGBTo-socialo-sioniste, phare de la pensée unique française sous pavillon mondialiste, vient de suggérer que le virus Covid-19 se serait échappé – oh, accidentellement, bien sûr – du fameux laboratoire P4 de Wuhan.

 

Ce que les complotistes – cette appellation issue des agents sionistes des médias mainstream – disent depuis quasiment le premier jour de la psychose entretenue par la triple alliance entre élites politiques, sanitaires et médiatiques. Un an plus tard, voici que Le Monde se fait une raison. Avec des pincettes.

 

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Bernard Cazeneuve à l’inauguration du laboratoire de Wuhan le 23 février 2017
(Photo Mediapart)

 

Ceux qui se sont intéressés à l’historique de ce laboratoire un peu spécial savent qu’il a été construit par un pool franco-chinois, sous la houlette du directeur de l’INSRRM de l’époque, Yves Lévy, mari à la ville de l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, aujourd’hui réfugiée en Suisse et travaillant avec la Fondation Bill Gates. Une Buzyn qui aura pris soin – Big Pharma oblige – d’interdire l’usage de l’hydroxychloroquine et la prise en charge des malades par les médecins de ville avant de partir.

Tous ceux qui feraient des rapprochements hasardeux ne seraient que vils crétins complotistes conspirationnistes paranoïaques (CCCP).

Mediapart (le 28 mai 2020) a relaté dans un long article ce rapprochement franco-chinois, qui date de l’ère Chirac.

La France pouvait-elle garantir la fiabilité de l’outil si les règles de fonctionnement n’y étaient pas les mêmes et la formation insuffisante ?

Malgré toutes ces craintes, le projet a été porté au plus haut niveau des priorités entre la France et la Chine depuis 2004, à l’origine par le président Chirac. Mais il s’agit avant tout du projet d’Alain Mérieux, le président de l’Institut Mérieux – la maison mère de bioMérieux. Le P4 de Wuhan est en effet la réplique du laboratoire P4 construit à Lyon par la fondation Mérieux, aujourd’hui entre les mains de l’Inserm.

Nommé en 2008 co-président du comité de pilotage de l’accord franco-chinois, Mérieux s’est fait durant quinze ans le porte-parole des autorités chinoises pour que la France ferme autant que possible les yeux sur les garanties juridiques qu’elle avait posées et se hâte de construire.

Selon un haut fonctionnaire joint par Mediapart, les pressions chinoises se sont poursuivies dès la fin des travaux en 2015 pour obtenir de la France « un transfert de souches pathogènes » du P4 Jean Mérieux à celui de Wuhan. Les autorités de défense comme les autorités de santé françaises s’y sont opposées, la France ayant « perdu totalement la main » sur le laboratoire, depuis l’accréditation de l’installation par les seules autorités chinoises.

Heureusement, Mediapart ne franchira pas la ligne jaune :

Les milieux scientifiques ont fermement démenti l’éventualité d’une création de ce virus en laboratoire – une thèse complotiste formulée le 20 avril par Donald Trump –, mais la pression internationale reste forte pour que soient clarifiées les conditions de survenue du virus à Wuhan, et la gestion de la crise par Pékin.

Sans entrer dans les détails techniques, on commence aujourd’hui à parler de « virus chimériques », autrement dit des créations humaines, soit exactement ce qu’avait prédit Luc Montagnier à l’époque, et toute la presse servile lui était tombée dessus. Le Monde écrit :

Des trois mémoires, la thèse de doctorat de 2017 présente le travail le plus pointu ; il met à profit des techniques de construction de virus chimériques, sorte de « copier-coller », explique en substance M. Decroly. L’un des objectifs des chercheurs chinois était de tester l’infectivité de différents coronavirus sur plusieurs types de cellules d’humains ou d’animaux, en fonction du spicule greffé sur un même squelette viral.

24 à 28 milliards d’euros, le contrat du siècle pour Pfizer sur le dos des Européens !

 

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Grâce à tout cet argent, le PDG de Pfizer Albert Bourla pourra passer de la bougie à l’électricité !

 

Certes, l’objectif du Monde et de la communauté scientifique qui étudie le problème n’est pas de dire que le Covid a fuité volontairement du labo pour contaminer le monde entier et remettre en selle des gouvernements mal partis, tout en faisant gagner des milliards à Pfizer (qui vient encore de refourguer au prix fort – 15,50 euros la dose, mais à tarif dégressif – 1,8 milliard de doses, soit 27,9 milliards d’euros, à l’Union européenne, sans même que les peuples donnent leur avis ! Pour info, AstraZeneca renonçait au profit en vendant sa dose à 2 euros) mais de mettre la pression sur le nouveau Satan du monde occidental : les Chinois.

La divulgation de ces trois mémoires devrait accentuer la pression sur les autorités chinoises. « Il est grand temps que le WIV ouvre ses bases de données à l’ensemble de la communauté scientifique », estime Étienne Decroly. Dans leur lettre publiée le 13 mai par Science, la vingtaine de chercheurs américains ne disent pas autre chose. « Les agences de santé publique comme les laboratoires de recherche doivent ouvrir leurs archives au public, estiment le microbiologiste David Relman (université Stanford), le virologue Jesse Bloom (université de Washington) et leurs seize coauteurs. Des enquêteurs doivent pouvoir documenter la véracité et la provenance des données à partir desquelles les analyses sont effectuées et les conclusions tirées. »

On n’est ici pas dans le complotisme mais bien dans la politique. Le but de ces chercheurs, en majorité américains (hum, hum) est de lancer « une enquête rigoureuse sur l’hypothèse de l’accident de laboratoire ». On espère, nous Français, si elle a lieu, qu’on ne remontera pas jusque Yves Lévy et Bernard Cazeneuve, qui avaient inauguré le centre de recherches un peu spéciales de Wuhan ! Allons, nous plaisantons.

Pour finir, on va parler de Ralpha Baric, l’homme qui a travaillé sur ce virus chimérique avant tout le monde :

La présence, parmi les signataires, du microbiologiste Ralph Baric (université de Caroline du Nord à Chapel Hill) est à cet égard notable. Non seulement M. Baric compte parmi les spécialistes les plus réputés au monde des coronavirus et des mécanismes de franchissement des barrières d’espèces, mais il a déjà étroitement collaboré avec le WIV [L’institut de virologie de Wuhan, NDLR]. En 2015, il avait copublié avec les chercheurs de Wuhan, dans Nature Medicine, une étude qui avait défrayé la chronique : les auteurs étaient parvenus à construire, sur la base d’un coronavirus de chauve-souris, un virus chimérique hautement pathogène pour l’homme. Ces travaux avaient fait débat, la revue Nature ayant relayé la controverse, les qualifiant de « risqués ».

Que Le Monde nous pardonne ces citations, mais l’information est trop importante pour que nous laissions nos lecteurs dans l’ignorance de ce qui s’est tramé en 2019, et peut-être avant.

 

Wuhan au centre de la polémique

Voici la chronologie des enquêtes internationales sur le labo. D’« improbable », la fuite est devenue possible...

 

 

 

 

Selon Mediapart, Yves Lévy a freiné sur les transferts de technologies, c’est-à-dire de souches virales hautement dangereuses :

La nomination d’Yves Lévy, le PDG de l’Inserm, au poste de coprésident du comité de pilotage en remplacement de Mérieux provoque des étincelles. En effet, le scientifique qui a participé à la plupart des visites officielles à Wuhan n’a jamais été favorable au projet. Il s’est en particulier refusé à accorder un nouvel appui technique au laboratoire faute d’avoir un contrôle, désormais impossible, sur la structure chinoise. Le secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN) ainsi que les autorités de santé et l’Inserm ont aussi opposé une fin de non-recevoir à la demande chinoise d’opérer un transfert de souches pathogènes au laboratoire de Wuhan. « Une demande constante » selon un haut fonctionnaire français.

Mais le mal, visiblement, était déjà fait. Ou faisable. Yves Lévy a été recasé au Conseil d’État en 2018, qu’il quittera en mai 2020. Une polémique est née à ce sujet, qui arguait que l’ex-patron de l’INSERM n’avait jamais fait de droit. Heureusement, le Conseil d’État nous explique qu’il y a deux sortes de conseillers : ceux qui occupent des fonctions « juridictionnelles », et les autres, qui remplissent des missions « consultatives ». Le débat est clos : Yves est innocent des charges qui pèsent contre lui.

 

Comme prévu, sur E&R :

 






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48 Commentaires

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  • Ces médias sont quand Même de sacrés enfoirés de première ! Des le début en février dernier j’ai mis sur la table l’histoire des pcr foireux non fiables, de l’origine du virus pangolin bien trop tordue et rapide auprès d’amis proches...on m’a qualifié de complotiste. Encore aujourd’hui c’est le cas même le nez dans la merde ! Ils ont retourné le cerveau d’une bonne moitié de la populace ! le retour en arrière est difficile pour ces gens là maintenant. Ils ont d’ailleurs tous courus pour la piquouze, fier de montrer leur QR code dans nos conversations virtuelles. pauvre d’eux.

     

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  • Chez les comploteurs Le Monde on est très très très très extrêmement très très lent à réfléchir.

     

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  • le Système nous donne des leçons de morale sur les crimes contre l’humanité matin, midi et soir : Saddam Hussein, Khadafi , Bachar el Assad furent des monstres qui ont du sang sur les mains. Et parallèlement, chez nous, on autorise et encourage la fabrication en laboratoire de virus extrêmement mortels. Mais là, évidemment, il ne s’agit pas de crimes contre l’humanité !

     

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  • Dans la première vidéo ,le commentaire de la
    journaliste dit :
    "La Chine a a choeur de prouver qu’elle n’est
    Pas responsable"
    Rappelez vous l’affaire du sang contaminé
    Avec la ministre de la santé de l’époque
    Georgina Dufoix qui nous avait sorti
    La célèbre phrase :
    ""’Responsable mais pas coupable"
    Ou encore le cycliste Français
    Richard Virenque
    "A l’insu de mon plein gré"
    Quand il avait fait tombé un adversaire
    Durant le tour de France.

     

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  • Incroyable !!
    Abasourdi !
    C’est pas possible, je ne veux croire en une manipulation.
    D’ailleurs je crains chez moi (en Savoie ) le variant taupenard (moitié taupe moitié renard ).
    Restons sur nos gardes !

     

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  • L’ouvrage de Philippe Aimar, "Covid-19 enquête sur un virus" vaut d’être lu.
    Un livre précis, documenté, qui ne répond pas à toutes les questions mais permet de faire des hypothèses étayées

     

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  • Bonjour,

    Lorsque je vois tout ce qui s’écrit et se dit sur le Couillonavirus je me dis que finalement tout cela ne sont que variations et mensonges sur un même thème.

    Va t’on pouvoir sortir du tunnel ; ou du moins voir la lumière au bout de ce tunnel ?

    A mon sens cela ne sera pas possible tant qu’on ne voudra pas ou osera pas allez au bout de la vérité ? La vérité vraie !... pas la fausse.

    Bernard laChance est parti ce 11 mai 2021 . Avant lui Roberto Giraldo est mort en Janvier 2019 suivi d’Etienne de Harven décedé en Mars 2019, Karry Mullis est décédé en Juillet 2019 et David Crowe en Juillet 2020

    Tous ces gens sont partis sur une période courte de 2 ans.La plupart d’entre eux sont partis avant le déclenchement de l’opération Couillonavirus fin 2019.

    Tous ces gens étaient des dissidents de la version officielle du virus VIH imaginaire du Sida.Ils connaissaient bien les protagonistes de l’arnaque mondiale du Sida tel que le docteur Faucci aux States et Delfraissy en France ainsi que tant d’autres qui se retrouvent comme par magie aux premiers postes de cette autre opération très très très suspecte qu’est le Couillonavirus.

    Tous ces dissidents auraient pu facilement démonter les arguments ineptes de ces professeurs travaillant pour Big Pharma.

    Roberto Giraldo et David Crowe ont tous les deux été Presidents de Rethinking Aids jusqu’à leur mort. David Crowe à eu un cancer foudroyant et est parti en 5 semaines.

    David Crowe a fait un interview en Mai 2020 ( 2 mois avant sa mort.. .) ou il disait que le Couillonavirus n’a jamais été isolé selon les Postulats de Koch même si certains ont publié des articles disant que l’isolation a été faite.Il affirmait aussi que pour lui 100 % des test PCR sont biaisés (car pas d’isolation réelle) et qu’enfin la notion même de virus doit être remis en question !

    Des extraits de cet interview ont été posté sur Instagram et l’agence Reuters s’est senti l’âme d’un Fact Checker ( comme Rudy) et a "débunker" les arguments de David Crowe sauf que ce dernier étant décédé ne pouvait plus se défendre !!!

    Cela m’a fait penser à la presse vautour qui s’est jeté sur Bernard Lachance mort mais sans couilles pour l’interroger lorsque vivant ... Laurent Alexandre aussi semblait connaître Lachance... pour l’insulter après sa mort.

    Karry Mullis inventeur du PCR le déconseillait pour indiquer la présence de virus !

     

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  • Shocking . Le monde devient immonde.

     

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  • Mon intuition c’est que l’affaire du covid s’est déroulée comme le projet Manhattan.
    beaucoup de gens ont bossé dessus et peux d’entre eux connaissaient la finalité.
    Il est possible que 11/9 ait obéit au même principe qui semble être l’une des spécialités de qui vous savez ( et de leurs collabos ).

     

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  • ".../...Grâce à tout cet argent, le PDG de Pfizer Albert Bourla pourra passer de la bougie à l’électricité !.../..."

     :-DDD

    Merci pour cet éclat de rire, malgré l’immonde noirceur du cloaque amoral et mortifère, déversé depuis plus d’un an par tous les laquais aux ordres !!

     

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