Note pour comprendre la fin de l’article : “bloc américaniste-occidentaliste” = “bloc BAO".
Disons avec Alain Soral : mieux vaut l’adversaire sionisme déclaré (racialiste conséquent, annexionniste et déportationniste assumé) que l’adversaire caché.
L’article pointe en seconde partie cette difficulté bien connue en France : comment décrypter la réalité quand des « blocages » empêchent de voir la bête grimaçant derrière l’ange.
Moshe Feiglin serait un genre d’extrémiste assumé que les mécanismes d’autoprotection du Système BAO (par virtualisation) rendrait invisible aux détecteurs à « particules fascistes et nazis » dans un pays pourtant réputé « taquin » avec la nostalgie hitlérienne (hormis aux yeux d’Efraim Halevy ou du général Dan Halutz, dixit le journaliste).
Nous avons les mêmes problèmes en France depuis longtemps avec les économistes ultralibéraux racontant des horreurs pourtant inaudibles.
Et l’année 2011 aura vu les guerres d’Afrique coloniales passer pour des œuvres de paix dans les médias mainstream en raison de tels verrous psychologiques mis en place rendant impossible de reconnaître une guerre présentée par BHL comme agressive et impériale.
L’article avance comme scénario de « sortie du délire », retour du réel dans la gueule, une fois épuisé l’artifice des « partis repoussoirs d’extrême-droite (dont on répètera jusqu’au bout qu’ils incarnent seuls l’extrémisme), l’autodestruction du système par effondrement local (chute de régime) ou global (genre WWIII).
Je crois qu’E&R et Alain Soral prônent la troisième voie de la réinformation comme stratégie d’évitement du pire. Et ultime pied de nez au système, appeler à soutenir massivement le FN en 2012...
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