La dictature est déjà là depuis longtemps, elle a été instaurée par la violence en 1789... Mais nos générations ne s’en rendent plus compte, tant qu’elles restent dans la "matrice" idéologique, à ne se questionner que sur des épiphénomènes sans sortir du politiquement correct, à fondre leurs vies et leurs volontés dans le conformisme douillet du système. A l’instar d’autres progrès techniques, internet accélére le double processus de prise de conscience et de "radicalisation" d’un grand nombre et en même temps de fichage des individus et de "ingénierie sociale" donc le perfectionnement de la capacité de nuisance du pouvoir, et participe aussi au phénomène "d’accélération de l’Histoire". Les causes spirituelles des désordres politiques sont invariablement à chercher du côté de nos péchés et de nos hérésies, il est illusoire de vouloir changer le système sans se remettre en cause et s’améliorer soi-même. Le tournant majeur de ces 60 dernières années consiste en l’instauration d’une série d’antipapes au Vatican, à partir du franc-maçon Jean XXIII en 1958, et la création d’une fausse église anti-chrétienne, antichrist, en se servant du Vatican. La première chose à faire est très simple et rapide, c’est de se séparer de cette secte qui se présente comme l’église catholique, et la deuxième chose à faire est difficile et prend toute une vie, c’est de conformer ses croyances, sa vie et ses moeurs aux principes de l’évangile et de la véritable église catholique, éclipsée mais toujours présente, sans chef visible mais toujours fidèle. Un principe chrétien de base souvent méprisé dans les milieux militants, est le devoir d’état, c’est à dire que nous devons agir là où Dieu nous a mis, avec les armes dont nous disposons, typiquement dans le cadre de notre famille et de notre travail. Par exemple, pour la majorité d’entre nous, nous n’avons pas le pouvoir d’infléchir directement la politique du Canada, mais nous avons le pouvoir d’infléchir directement la politique de notre propre famille. Merci pour votre attention à ma modeste contribution.