Le temps est venu pour un laïus d’encouragement.
Je sais que le moral chez mes compagnons Déplorables est dans les chaussettes, juste au niveau de la cote de popularité du président Trump dans les sondages frauduleux.
Nous avons assisté à une semaine au cours de laquelle les médias traditionnels se sont précipités à guichet fermé dans l’hystérie au sujet de Charlottesville. Nolan Richardson serait impressionné par les Quarante minutes en enfer de l’État profond.
Nous avons vu le Conseil présidentiel au Commerce plier les gaules sur un ordre hypocrite des vertueuses entreprises multinationales.
Nous avons vu Steve Bannon, la force motrice de l’insurrection populiste de Trump, démissionner de sa position à la Maison-Blanche, apparemment depuis presque deux semaines.
Après ces événements, les fuites constantes et les allers-retours public-privé dans l’administration, je ne vous reproche pas pour deux ronds de vous sentir un peu découragés. Si vous vous fiez aux apparences, vous pourriez penser que le président Trump était peut-être l’homme le plus incompétent pour occuper la place.
Mais que diriez-vous si je vous disais que le Donald est, en réalité, l’homme le plus capable de diriger ce pays depuis au moins Eisenhower ?
Et si je vous disais que la gauche était dans les affres de la mort ?
Et si je vous disais que je crois que nous sommes sur le point de voir le déploiement de la plus grande opération d’infiltration dans l’histoire de notre pays ?
Vous pensez probablement que je suis un peu givré. Ne vous inquiétez pas, vous ne seriez pas le premier. Je me suis trompé avant et me tromperai de nouveau. Je serai ravi d’assumer si je me trompe. C’est la seule manière pour vous et moi d’avoir un lien de confiance.
Mais j’ai déjà eu raison avant, lorsque beaucoup d’autres s’étaient trompés dans le passé.
Les raisons ?
J’essaie de garder une vue d’ensemble des grandes tendances tandis que la plupart des autres personnes regardent le Kabuki [la mise en scène du théâtre japonais]. La différenciation entre la vision globale et le détail est enracinée chez moi depuis que j’ai travaillé sur le marché boursier. En cours de route vous apprenez une chose ou deux sur la psychologie des foules, c’est important pour le commerce et surtout pour la politique.
Maintenant, j’ai accès aux mêmes nouvelles que tout le monde. Mais je me fie seulement aux sources qui ont une expérience de rigueur et d’honnêteté.
Et permettez-moi de vous le dire, ce ne sont pas les clowns de Twitter aboule le fric, ni les lecteurs de nouvelles sexy fardées, et ce n’est absolument personne dans la machine de propagande de la gauche.
Il s’agit de ceux qui comprennent la nature humaine comme Huxley, Orwell, Bradbury et Lewis. Ils sont aiguisés, perspicaces et expérimentés, comme Pat Buchanan, Ron Paul et Julian Assange.
Mais je suis en train de faire des digressions. Vous voulez connaître le jeu à long-terme de Trump.
Pour obtenir la réponse, vous devez d’abord vous poser les questions suivantes :
Pourquoi la gauche est-elle vraiment folle au sujet du malheur d’une femme à Charlottesville ?
Pourquoi Nancy Pelosi appelle-t-elle à censurer officiellement le président pour sa simple condamnation de bon sens – et absolument irréprochable – de tous les fauteurs de troubles impliqués ?
Pourquoi les médias poussent-ils cette histoire 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, alors que la Russie est retombée comme une patate chaude ?
Pourquoi les médias de masse et la plupart des partis démocratiques encouragent-ils les antifas ?
Pourquoi une sénatrice de l’État du Missouri a-t-elle déclaré ouvertement sur Facebook qu’elle souhaitait voir assassiner Trump ?
Pourquoi les services d’hébergement du Web éliminent-ils les sites conservateurs de leurs serveurs ? Pourquoi les conservateurs sur Patreon et YouTube sont-ils diabolisés et démonétisés ?
Pourquoi le premier amendement [sur la liberté d’expression] est-il ciblé à cause d’un seul trou du cul néo-nazi ? Mais la question encore plus importante est : pourquoi maintenant ?
Parce que l’État profond est absolument terrorisé et qu’il tire les dernières cartouches de son revolver politique.
Ils savent ce qui les attend dans le futur. Ils doivent imposer 1984 [le cauchemar orwellien] ou perdre le pouvoir pour toujours.
Ou pire. Ils craignent le réveil du peuple.