Entre la crise des vocations et celles qui changent de métier, l’avenir semble sombre. Quand elle pense que personne n’est là pour la remplacer, Ophélie Rochefeuille a un pincement au cœur. Mais pour cette ex-infirmière qui a quitté la blouse blanche l’été dernier, il fallait d’abord penser à « se préserver du burn-out qui nous guette tous dans ce milieu-là ». On estime que, comme Ophélie, 180 000 infirmières diplômées, et en âge de travailler, n’exercent plus leur métier. Parmi celles qui restent, une étude publiée l’an dernier pointait que 43 % d’entre elles « ne savent pas si elles seront toujours infirmières dans cinq ans ». (LCI)
Les Français qui ont un cerveau ont compris que la pression à la dangereuse vaccination sur nos soignants était le moyen d’accélérer la destruction de la santé publique, qui doit basculer dans une santé privée, et donc pour riches. Ou pour des Français qui, comme les pauvres Américains, devront s’endetter pour une opération. Vous pouvez être sûrs que les assurances vont se jeter sur ce prêt usuraire, cette santé à crédit. Tout le monde y gagnera, sauf nous : le Big Tech avec la rafle de nos données de santé, le Big Pharma avide, le gouvernement corrompu et les assurances à l’affût, qui ne sont que le prête-nom de la Banque, de la haute banque, du Big Bank. Tout est raccord. Nos responsables politiques font tout pour dégoûter le personnel soignant, pour que l’édifice public se lézarde encore plus, pour que les Français aient peur d’aller se faire soigner à l’hôpital, pour qu’ils préfèrent la clinique avec « une bonne mutuelle ».
Toute cette histoire de covid n’est qu’une histoire de fric et de pouvoir, de destruction pour le profit. Heureusement, il reste encore un brin de justice, et cela devrait donner des idées à ceux qui résistent encore, en interne, ou qui sont prêts à craquer, c’est-à-dire à se faire injecter une saloperie pour garder leur boulot. Qui aurait imaginé un tel chantage il y a encore deux ans ?
Le tribunal administratif de Lyon a invalidé la suspension de trois agents hospitaliers de la Loire non vaccinés, comme le rapporte l’AFP. Saisi en référé, le tribunal a fait part de ses « doutes sérieux » quant à la légalité de leur suspension.
Dans son jugement rendu le 22 octobre, le tribunal a estimé que le CHU de Saint-Étienne et l’hôpital de Roanne, dont dépendent les trois plaignants, ne pouvaient suspendre ces agents tant que leur recours – ces derniers contestant leur sanction – n’avait pas été examiné. Le tribunal a donc ordonné la suspension de la sanction contestée en attendant l’étude de leur recours. (RT)
Certes, ce n’est pas encore gagné pour ces courageux soignants, qui sont en fait des cuisiniers, qui n’ont donc aucun lien direct avec les patients. Mais cela prouve que quand on se bat, même si on peut perdre, on ne perd pas facilement. Il faut donner du fil à retordre aux maîtres chanteurs.
Le juge des référés a ajouté que la suspension des décisions hospitalières « implique la reprise à titre provisoire de l’activité et de la rémunération » des requérants.
Pour l’avocat des plaignants, maître Thomas Bénagès, la décision du tribunal administratif démontre que « des décisions prises au regard de la loi du 5 août peuvent être potentiellement illégales », précisant que l’étude du recours des trois personnels hospitaliers n’interviendrait pas « avant plusieurs semaines ».
Rappelons que l’obligation vaccinale contre le Covid-19 est entrée en vigueur le 15 septembre pour 2,7 millions de professionnels du secteur de la santé. Depuis, des milliers de suspensions ont été signifiées à des personnels de santé non vaccinés contre le Covid-19.
RT a interrogé une orthophoniste qui a préféré renoncer à exercer :
Plus de 10 000 soignants ont préféré leur santé à la piqûre ignoble de Bancel & Bourla, et l’avenir leur donnera raison, même si le présent se complique. Mais la résistance n’a jamais été un chemin facile. Simplement, on reste droit dans sa tête et dans sa vie et ça, ça n’a pas de prix. La santé est d’abord mentale, et politique.
Dans des hôpitaux de tout le pays, des chambres vides, des services à demi-fermés, comme dans celui où travaille Céline Labeyrie, une neurologue rencontrée par l’équipe de TF1 dans l’enquête du 20H en tête d’article. Une seule raison : le départ massif d’infirmières, quatorze rien que le mois dernier pour ce seul service de neurologie. « Ce sont des lits qui normalement devraient accueillir des patients avec des maladies neurologiques graves », explique la spécialiste, « qui nécessitent des soins urgents, des AVC, des scléroses en plaque ».
À ses côtés Zoé Huguet, une des infirmières du service, qui raconte : « On agit un peu à la chaîne, les soins d’hygiène et de confort sont aussi faits à la chaîne, et ce n’est pas pour ça qu’on a signé, ce n’est pas pour ça qu’on veut être infirmière ». C’est leur métier qu’elles ne reconnaissent plus, ce qui montre une nature nouvelle du phénomène : les infirmières ne font pas que démissionner d’un hôpital, elles quittent l’activité qu’elles avaient choisie. Et personne ne se bouscule pour les remplacer. (LCI)
Ce qui est dommage, c’est l’accélération de la démolition de l’hôpital, voulue par l’oligarchie qui est vendue aux forces du Marché. Mais cela incitera peut-être encore plus de Français à se soigner autrement, en sortant du système de l’allopathie qui sert les grands labos. C’est pour cela qu’il faut écouter et lire Béa Bach.
Il manque 10 % d'infirmières dans les hôpitaux français,l'année dernière 5700 lits ont été fermés en pleine pandémie (chiffres JT TF1), mais le gouv fait suspendre des dizaines de milliers de soignants.
Qui peut encore croire à une gestion sanitaire, pour le bien des citoyens ?— Beatrice Rosen (@Beatrice_Rosen) October 23, 2021
Le vaccin est donc le moyen par lequel l’oligarchie assassine l’hôpital public. C’est une piqûre de rivotril dans notre système de soins hérité du CNR. Les médecins à la fois talentueux, indépendants et honnêtes (cela va ensemble) nous ont pourtant prévenus, qu’on soit soignants ou soignés :
Pr Perronne : « Cet hiver, les personnes doublement vaccinées vont devoir se mettre en quarantaine… Elles seront plus fragiles que les non vaccinées, face aux infections ! » https://t.co/vWc5SWeX4p
— Fab je ne me vaccinerais pas ! (@FabirnneDecoux) October 22, 2021
De plus, si l’on regarde un peu du côté de nos voisins, les sceptiques doivent se poser des questions :
Alerte : #moderna est désormais interdit en #Suede à cause de ses effets secondaires #vaccination #Covid https://t.co/8WKuWbrKVf
— pierre jovanovic (@pierrejovanovic) October 23, 2021
Même Wargon, l’anti-Raoult par excellence, reconnaît que quelque chose déconne, cette fois chez les enfants :
Pile au moment où un labo valide les injections pour les 5/11ans.
Où quand le hasard s’en mêle… pic.twitter.com/0V0gmSPUYz— Eric Massaud (@EricMassaud) October 23, 2021
Bonus : ceux qui collaborent, ceux qui résistent
En juillet 2021, France 24 relaye la propagande du Big Pharma :
En septembre, une infirmière refuse ce « chantage » :
En octobre, la Martinique se révolte contre le vaccin obligatoire pour les pompiers et les soignants :