Pour son deuxième 14 juillet à la tête de la nation, Sarkozy a tenu à poursuivre dans la peopilisation des institutions en surfant sur la vague « Bienvenue chez les Ch’tis » :
Kad Merad a lu un extrait du préambule de la déclaration universelle des droits de l’Homme, face à la tribune présidentielle où figurait une belle brochette de tyrans qui ont dû trouver dans cette lecture, le meilleur sketch du « comique ».
S’en est suivi un défilé mondialiste et minimaliste, avec en ouverture, quelques casques bleus : 145 soldats des Nations Unies originaires de 25 pays différents…
Il est à peine exagérer de dire que les forces armées françaises qui ont défilé, constitueront demain la totalité de nos troupes et de notre matériel (pompiers et cavaliers compris…). Victimes du plan social des armées que constitue le livre blanc sur la défense, on ne compte plus les casernes, bases aériennes et unités qui vont être démantelées, avec les conséquences désastreuses pour les communes qui les abritaient…On se demande avec quoi, la France atlantiste de Sarkozy et Morin, compte servir de supplétifs à l’armée américaine…
Le président, dans un message interne adressé à l’ensemble des militaires français, a tenu à leur renouveler sa confiance. Ce message ne servira nullement à calmer la colère des militaires qui se sont vus humiliés, dépouillés et réduits au rang de gardes-barrière.
Pendant ce temps, le Royaume Uni lance la construction de deux porte-avions…
Il faut faire des économies alors le monarque donne une fête à Versailles, pardon : une garden party dans les jardins de l’Elysée : un millier de responsables associatifs et de représentants du monde culturel, économique et social sont venus se goinfrer avec l’argent des Français. Tous les parasites du système sont présents, le formidâââble Jack Lang en tête, qui d’ailleurs se vante, d’avoir le premier, eut l’idée d’une union pour la Méditerranée…
En invités-vedette : la très discrète Ingrid Betancourt, la « sainte » se verra décorée de la légion d’honneur, ainsi que Dany Boon, sans doute pour le remercier d’avoir le temps d’un long métrage, fait oublier la misère dans laquelle les Français sont plongés…
James G.
Kad Merad a lu un extrait du préambule de la déclaration universelle des droits de l’Homme, face à la tribune présidentielle où figurait une belle brochette de tyrans qui ont dû trouver dans cette lecture, le meilleur sketch du « comique ».
S’en est suivi un défilé mondialiste et minimaliste, avec en ouverture, quelques casques bleus : 145 soldats des Nations Unies originaires de 25 pays différents…
Il est à peine exagérer de dire que les forces armées françaises qui ont défilé, constitueront demain la totalité de nos troupes et de notre matériel (pompiers et cavaliers compris…). Victimes du plan social des armées que constitue le livre blanc sur la défense, on ne compte plus les casernes, bases aériennes et unités qui vont être démantelées, avec les conséquences désastreuses pour les communes qui les abritaient…On se demande avec quoi, la France atlantiste de Sarkozy et Morin, compte servir de supplétifs à l’armée américaine…
Le président, dans un message interne adressé à l’ensemble des militaires français, a tenu à leur renouveler sa confiance. Ce message ne servira nullement à calmer la colère des militaires qui se sont vus humiliés, dépouillés et réduits au rang de gardes-barrière.
Pendant ce temps, le Royaume Uni lance la construction de deux porte-avions…
Il faut faire des économies alors le monarque donne une fête à Versailles, pardon : une garden party dans les jardins de l’Elysée : un millier de responsables associatifs et de représentants du monde culturel, économique et social sont venus se goinfrer avec l’argent des Français. Tous les parasites du système sont présents, le formidâââble Jack Lang en tête, qui d’ailleurs se vante, d’avoir le premier, eut l’idée d’une union pour la Méditerranée…
En invités-vedette : la très discrète Ingrid Betancourt, la « sainte » se verra décorée de la légion d’honneur, ainsi que Dany Boon, sans doute pour le remercier d’avoir le temps d’un long métrage, fait oublier la misère dans laquelle les Français sont plongés…
James G.