Le "beauf" pour français blanc c’est surtout une façon de promouvoir le racisme anti-blanc.

Le beauf - mot d’argot français employé dans le langage courant - est un stéréotype de personne vulgaire, inculte et bornée. A quoi je rajouterais que "beauf" est la contraction de "beau-frère" car dans l’idée, généralement le beau-frère (en réunion de famille) est souvent vulgaire, inculte et borné - pour l’autre et vice-versa.

Une peu comme l’idée générique du "fou du village". Chaque village possède son cas social, un peu con, un peu dérangé. Pas forcément méchant, mais connu de tous. Je suis sur que vous avez le vôtre.

La nostalgie intégrale, c’est celle du paradis perdu et de Dieu. Les autres ne sont que de pâles contrefaçons.

Il adore ça dans mon quartier !

Bien dit,je suis d’origine algérienne et française et je suis intimement convaincu par expérience(repas familiale français ou algérien selon tel ou tel dimanche)que les peuples algériens et français "originels"ont plus de choses en commun que d’antagonismes ;ainsi,voir la position très intelligente qu’avait Jean-marie LePen sur l’Algérie française,lorsqu’il souhaitait faire du peuple algérien une "avant-garde" de la France(ainsi pas beaucoup d’algériens cultivés qui n’aiment pas Céline,pas beaucoup d’algériens cultivés qui aiment les anglicismes)...récemment j’ai acheté un journal algérien(dont j’ai oublié le nom malheureusement) dans un kiosque,par curiosité,cela sonnait plus français que "libé" ou le "fig"(pas de "peopolisation" ou de "driving" par exemple...) ;virons les intermédiaires,parlons nous franchement et nous y arriverons,croyez-moi(pour l’anecdote,j’avais un grand-père dans le fln et un autre dans l’oas,qui dit mieux ?ma famille ne passera pas au 20heures,c’est sûr,enrico macias,si tu m’entends...)

Je disais cela parce qu’en faites si il y a une chose positive dans les quartiers qui est bien française c’est la joie de vivre des enfants et la virilité des jeunes. Ce qui est une qualité s’avère un poison quand la solidarité et la sociabilité disparaissent... Faire du fric, s’attaquer aux plus faibles les valeurs liberales-libertaires du ghettos américains peut facilement détourner tout ce jeune monde... Skyrock, Tv poubelle, elle est pas belle la vie qu’ils leur prépare ?

A la nuance près que, les autos présentes sont produites dans leur patrie et par leurs compatriotes, et cela créant emplois, croissance, hausse du niveau de vie, fierté aussi - je trouve perso qu’elles avaient franchement de la gueule -, et que l’achat d’un véhicule était quasiment à vie, sauf incident, donc pas un loisir ou un caprice consumériste.
Il faut aussi distinguer la consommation première et la grande consommation. Les engins ici présentés étaient encore essentiellement montés par des ouvriers et constituaient un plus dans le quotidien, plus estampé aujourd’hui vu les coûts d’entretiens des composantes (électroniques, mécaniques,etc), le permis, les conditions de circulation, etc...
Je dirais que ce qui saute vraiment aux yeux dans cette diapo, c’est des jours que les Français vivaient comme meilleurs, pas comme aujourd’hui... D’ailleurs très peu avait la télé et quand on voit la qualité des programmes de l’époque et le nombre de chaînes (2 ou 3 à peine dans les photos les plus récentes), on peut difficilement croire - dans une France qui était encore très traditionnelle - que les gens consommaient comme des moutons.

J’ai aussi ressenti ça.

Puis ça fait pas trop prolo, ça manque :
de casquette / bretelles en vélo,
et de cultivateurs au teint frais.

Hormis ce coté il y a de belles photos, comme :
* la camionnette de lait au milieu des congères
* le tour de France

J’aime les endurants.

eh oui ! Excellente et très importante remarque. Et on n’appelait pas ça un "voile islamique" ! mais un "accessoire de mode".

Oui c’était tendance, un peu comme la casquette pour les hommes. N’empêche c’est beau une femme avec un voile en lin de chez Mahmoud. (les puristes reconnaitrons l’influence)

« les françaises portaient le foulard dans ces années là ?! (...)Et on n’appelait pas ça un "voile islamique" ! mais un "accessoire de mode" (...) Oui c’était tendance, »
Non, ce n’était pas un accessoire de mode mais une coutume traditionnelle. Les femmes chrétiennes se couvraient la tête. Et elles ne portaient pas de pantalon, sauf notoire exception... Photos d’enfants fin XIXe : 1,2

Oui enfin ma mère portait le foulard et je n’ai pas souvenir quelle trimballait une croix de quinze tonne ni qu’elle passait sa vie à l’église. Mais bon, la religion a parlé, fermons là.

La casquette est Chrétienne également ou alors c’est un cas particulier ?

La casquette est un couvre-chef, se couvrir la tête pour les hommes comme pour les femmes est une tradition moyenne-orientale dans les religions abrahamiques. Toutes les religions du Livre : Islam, Christianisme et Judaïsme ont héritées de ces pratiques certains diront devoirs religieux. Le fait qu’aujourd’hui la plupart des hommes ou des femmes en occident ne se couvrent désormais plus la tête laisse à penser que si ils le faisaient systématiquement par le passé c’est qu’ils considéraient cela comme une injonction divine. La mémoire (conscience) constante de Dieu est un bien précieux pour le croyant... nul doute un marqueur comme le couvre-tête devais être un puissant "outil" de la foi. Les sœurs musulmanes pourraient sans doute l’expliquer, la charge religieuse du tissu étant inévitable. Entendent-on nous bien nous sommes incapable de ressentir ce que ressentez nos ancêtres de deux siècles, voir du moyen-âge... Comprendre leur religiosité ? Allez sur Mars serais bien plus facile pour nous...

"Oui enfin ma mère portait le foulard et je n’ai pas souvenir quelle trimballait une croix de quinze tonne ni qu’elle passait sa vie à l’église. Mais bon, la religion a parlé, fermons là.
La casquette est Chrétienne également ou alors c’est un cas particulier ?_
Tu as raison la casquette tait une question de mode pour nos grands parents, qui la mettaient sur le côté par exemple pour "être dans le coup", un peu comme nous avec nos cheveux d’un côté ou de l’autre. Le foulard également je suppose. Ma remarque concernait le fait que c’était une coutume viscérale, et non pas passagère comme pourrait l’être une mode actuelle. À l’origine, comme le dit Peter, c’était une injonction religieuse, même si tout le monde n’en avait pas conscience, surtout nos grands parents qui vivaient déjà la décadence de la société religieuse (décadence qui a durée de 1789 à 1968).

autrefois une femme qui sortait sans rien sur la tête on disait qu’elle était "en cheveux", et dans les "bonnes familles" c’était considéré comme choquant.
Pire : à la campagne, dans les années 30 ma mère une fois s’appretait à sortir, avec un foulard (un "voile islamique" diraient les journaleux actuels !) sur la tête, mais elle avait laisser passer des boucles de cheveux. Que pensez-vous qu’il arrivât ? Son père l’a rabroué sévèrement et lui a dit "j’veux pas d’ça chez moi !" l’air de dire qu’une femme qui sortait comme ça c’était une dévergondée.
Bon, dans les années 50 ce n’était plus que par habitude, un accessoire de mode.
Les journaleux sont coupés de leur passé, on se demande où ils ont vécus.

On remarque sur ces cartes postales certains timbres de la poste française avec la mention "République Française".

Plus tard, sous giscard et sarkosy cette mention a été bannie.
C’est une prérogative que seul le Président de la République peut prendre....

Je ne sais pas si la l’andouille actuelle l’a de nouveau fait apposer...

Il manque la notion de charité dans la fable de La Fontaine.

Non. La charité c’est pas aider les branleurs (la cigale).

« Non. La charité c’est pas aider les branleurs (la cigale). »
Si. Même si ça passe par un coup de pied au cul.