Il s’agit d’une phase préliminaire de la banalisation et de l’acceptation par les masses du traitement du corps humain comme si il s’agissait d’un déchet comme un autre. C’est exactement comme avec l’avortement ils y vont étape par étape, progressivement. Au début c’est pour faire avorter une gamine de 11 ans enceinte de son grand-père...puis pour faire avorter une gamine de 15 ans engrossé par un queutard de 20 ans lors d’un bal du samedi soir parce que cela risque de mettre en péril sa prometteuse carrière de caissière à Carrefour...puis de fil en aiguille on glisse vers la banalisation de l’avortement de confort total...et bien avec les morts cela va être pareil ! On commence par le compostage, ce qui a l’air cool, écolo, utile voire même poétique (mettre le compost d’un être aimé sous un arbre...)...puis tranquillement on passera à la réduction des corps en engrais "bio", puis en farine qui serviront à nourrir les animaux (j’anticipe qu’ils comptent nourrir les insectes dont ils veulent nous nourrir avec des cadavres humains), puis gentiment on glissera vers l’enrichissement direct des aliments humains avec des farines humaines à la "Soleil vert". Ce n’est pas du complotisme, de grands médias comme le New York times ont déjà pondu des articles sur les bienfaits du cannibalisme pour "sauver la planète".
Comme d’habitude afin de parvenir à leurs objectifs démoniaques ils utilisent des bonnes idées. En effet il est vrai qu’il y a une dimension poétique dans l’idée de mettre le compost d’un être aimé sous arbre...Perso j’ai planté un arbre au dessus de l’endroit où j’ai enterré ma chienne à laquelle je tenais beaucoup, et j’aimerais bien être enterré sous un arbre...mais il y a une différence entre enterré avec cérémonie un corps sous terre près d’un arbre, et composter un corps humain ! Cela semble de l’ordre du détail mais c’est fondamental. Le corps enterré n’est pas ou peu maltraité. On le lave, on l’embaume...mais on maintient son intégrité...alors que dans l’acte de composter un corps il y a vraiment un changement de paradigme où le corps sacré du défunt est traité comme un déchet à valoriser. C’est cette perte de sacralité qui constitue la porte ouverte pour ce qui viendra après, c’est à dire le corps humain ressource comme une autre pouvant être traité et recyclé pour nourrir les animaux puis les humains...Une fois de plus ce n’est pas mon cerveau malade de complotiste qui invente un truc délirant, tout à en effet déjà été exposé publiquement.
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