Aïssa fait une bonne analyse de la situation ! Le Hamas n’a pas besoin de l’aide balistique du Pakistan. Son combat pour la cause palestinienne suffit à insuffler à ses soldats l’énergie nécessaire pour obtenir un retrait unilatéral des sionistes dont la puissance se fonde sur une propagande visant à faire croire à l’invincibilité d’Israël. Avant de bombarder à l’aveugle, que les sionistes commencent par contrôler l’enveloppe terrestre qui, le long de la bande, s’avance sur 15 km dans cette portion du Territoire palestinien occupé par Tsahal . Comme l’armée Ukro, Tsahal est pro-LGBT. Le Hamas ne va pas se laisser faire par des adeptes du transgenre et va taper Tsahal dont les troupes n’entreront jamais dans la bande. Le Hamas défend un idéal qui transcende chacun de ses soldats, accoutumés à l’idée de mourir pour la libération de la Palestine . Les combattants du Hamas ont apprivoisé la mort , comme l’avaient fait avant eux les soldats de la Werhmacht , forts du soutien du grand Mufti de Jérusalem dans leur combat contre l’impérialisme anglo-saxon. Comme les américains, les sionistes ne savent pas se battre au sol. Bravo à Aïssa de suggérer à Netanyahu et au ministre Gallan, traité d’idiot par Trump, de se garder de pousser à bout le Hamas. Quand on entend B. Henri-Lévy dire que le chef du Hamas, Haniyeh, regarde les évènements en étant confortablement installé devant sa télé dans une villa de luxe de Doha, il laisse entendre que le Mossad pourrait aller le butter dans son salon. BHL a lancé une fatwa contre un hiérarque du Hamas en direct sur une chaîne française, sans être interrompu, le derrière bien au chaud, devant des millions de téléspectateurs sommés d’adhérer au discours ethnocentré de ce fomenteur de guerres ( Lybie ). En appelant à la vengeance au nom de la loi du Talion, il se place lui-même au niveau des soi-disants “ terroristes “ qu’il dénonce. Israël ne veut pas d’un État palestinien. Il veut la guerre permanente. L’Etat d’Israël est le bras armé de la diaspora sioniste qui a mis en coupe réglée la politique étrangère de l’Amérique pour entretenir un climat de tensions et de chocs, entraînant régulièrement des guerres au Proche Orient pour le plus grand profit du complexe militaro-industriel aux mains des néoconservateurs.
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