Selon le quotidien libanais As-Safir, l’annonce par l’émir de Qatar de la transmission de sa charge à son fils Tamim (photo ci-contre) ne serait pas dû à la maladie du prince, mais à une intervention de Washington.
Les États-Unis auraient « découvert » les agissements occultes de la micro-monarchie auprès des jihadistes en Syrie, ainsi que des transactions financières illégales.
Ils auraient contraint le monarque à la démission, ainsi que son Premier ministre, et auraient eux-mêmes imposé le choix de son fils Tamim pour lui succéder.
La succession aura lieu début août et modifiera profondément la donne régionale : le Qatar était le financier des Frères musulmans et de la guerre contre la Syrie.