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L’Union européenne aurait préparé en secret l’éjection de la Grèce de la zone euro

Sur la souffrance du peuple grec, chez Kontre Kulture :

 






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21 Commentaires

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  • #1161384

    La sortie de la Grèce de l’euro signifiera qu’Athènes changera de prêteur : de la Troïka à Poutine

    La conséquence n’en sera pas si douloureuse financièrement , le risque grec étant dpuis longtemps provisionné.

    Mais politiquement, il aura l’effet d’un séisme :

    - au niveau européen, les PIGS seront tentés demain de changer de prêteur en se tournant vers Moscou et/ou Pekin ce qui marquerait la fin de l’UE à terme et non pas seulement de l’euro.

    - le traité de libre échange transatlantique serait alors relégué au chapitre des "vertueuses tentatives"

    - au niveau atlantique,justement, la perte de la Grèce, passé pour cause de dettes dans le camp russe, signifiera la faillite d ela politique d’encerclement de l’OTAN, et le retour de la Russie en méditerrannée orientale, le détroit du bosphore redevenant libre

    Or cette issue, la sortie de l’euro de la Grèce est inéluctable, la Grèce ne payant plus ses créanciers que par les prêts que lui consentent ces mêmes créanciers.En soi, déjà....MAIS SURTOUT CELA NE SUFFIT PAS A SES BESOINS. Elle devra être encore "accompagnée" pendant des années et peut -être à fonds perdus.

    Et c’est cela qui est insoutenable : pas seulement parce que cela serait cher (en fait pas trop...) mais parce que tous les PIGS sont dans sa situation,...en pire,

    Notamment l’Espagne et l’Italie.

    En fait, le chainon, le plus solide dans PIGS c’est le "G" : la grèce !

     

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  • Pipeau intégral : l’UE est une prison ; personne ne peut en sortir ; ce serait un désaveu pour nos " élites " et un pas en arrière pour le mondialisme ! cet article est mensonger à plus d’un titre : il laisse entendre que le système douterait de lui-même - alors que les cerveaux les plus brillants bossent pour lui et inventent chaque jour qui passe des techniques toujours plus perfectionnées d’asservissement des nations - et qu’un retour en arrière est possible...

     

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  • 1:37 merkel fait dans le comique maintenant .Dieudo peu se rhabiller je me suis pissé dessus LMAO

     

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  • Si la Grèce sort de la zone euro je vous dit même pas le cours de l’Or comment il va monter et comment le risque de spoliation bancaire va aussi augmenter , sortez votre argent des banques avant le 1er janvier 2016 !!!

     

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  • Selon un ancien membre de la BCE le meilleur moyen pour la Grèce de se sortir de ce traquenard serait de commencer par un défaut sélectif sur les actifs qu’elle doit à la BCE. Ce qui veut dire les obligations rachetées par celle-ci mais surtout son déficit sur Target 2 qui monte à 80 milliards. Pourquoi la BCE ? car c’est l’institution qui est politiquement la plus faible mais surtout s’assoir sur Target 2 contre lequel la Grèce n’a aucun collateral gagé. Elle faut défaut le Vendredi, dissout la Banque National de Gréce et en recréée une toute neuve le Lundi matin. La BCE la dans l’os car elle n’a aucun moyen technique ni juridique de récupérer ses petits. Voila ce qu’il explique pourquoi Varoufakis n’est pas pressé d’instaurer un contrôle des capitaux. Apres cela la Grèce aura besoin de cash frais sur lequel basé sa nouvelle monnaie. La toute nouvelle banque d’investissement des BRICS se fera un plaisir de lui apporter. De son coté la BCE sera obligé de se recapitaliser, demandant au pays membre de remettre au pot, pays membres qui doivent déjà s’assoir sur les milliards données a Perte à la Grèce via le FESF (merci Sarko !) et leur solde excédentaire sur Target 2. Ceci risque d’être la goute d’eau pour les allemands qui se demandent de plus en plus dans quelle galère ils se sont mis avec l’euro. Et on ne parle pas des autres pays du sud qui ne manqueront pas de suivre l’exemple grec quand celle-ci va voir son économie décoller suite à la dévaluation de sa monnaie. Un véritable cauchemar éveillé pour Bruxelles. Bref, les Grecs préparent surement une palette entière prête a être casée dans le fion des technocrates européens. Après cela bon courage à l’UMPS pour garder la face, surtout Sarkozy. Moi j’ouvre le champagne et je porte un toast à la nouvelle ères qui vient.

     

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    • Suite et fin !

      L’Euro en lui-même est une bonne chose, mais les responsables européens trahissent au profit d’une puissance étrangère, et donc sont les moins bien placés pour mener une politique cohérente. A nos yeux du moins. Car cohérente, elle l’est aux regards des tireurs de ficelles... qui se soucient comme d’une crotte de l’intérêt des peuples, c’est à dire la vision la plus anti politique que l’on puisse imaginer. Alors, faute d’une vision politique européenne, il sera sans doute nécessaire de sortir de l’euro monnaie unique et d’aller vers l’euro monnaie commune pour ne pas payer un prix politique exorbitant... mais cet enjeu doit absolument échapper à la démagogie et, même s’il peut devenir un slogan efficace et clivant dans une perspective électorale, souhaitons qu’il demeure un pieux mensonge comme c’est souvent le cas... Si cette sortie est faite, on aura bien compris que ce sera parce que c’est le remède le moins pénible politiquement, tandis qu’une cure d’austérité suscite bien peu de retombées politiques favorables chez un peuple gavé de démagogie depuis les Lumières...
      Amen !

       
  • Ce Tsipras, je ne parviens à lui faire confiance. Il ne rassure pas, voulant toujours jouer de multiples partitions laissant croire à son peuple qu’il parviendra à honorer les dettes de la Grèce sans sortir de l’Euro tout en respectant son programme sur l’amélioration de la retraite, payer les fonctionnaires mais avec quel argent ? Puisque la Grèce connaît une crise économique majeure voire endémique. Il joue au poker menteur avec l’Europe, la TroÏka (je paie, je ne paie pas) pour au final honorer un premier versement le 9 avril de plusieurs millions d’Euro au FMI. Il est duplicitaire avec les dirigeants européens en stipulant du jour pour lendemain tout est son contraire quand son ministre des finances avance l’inverse de ce qu’il fait. Bref, encore des amateurs qui paraissent dépasser par les événements dont l’issue de la Grèce se retournera comme toujours contre son peuple. Bref menteur un jour menteur toujours tant pis pour les Grecs.

     

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  • Très très probable.

    Le pouvoir est à ceux qui ont l’initiative. L’oligarchie a donc forcément prévu l’éventualité, et tout calculé et prévu de façon à ce qu’elle garde la maîtrise des événements.

    D’autant que dès après cette éjection, il conviendra d’attaquer la Grèce afin qu’elle ne se relève pas, et de pourvoir dire : "vous voyez : elle est sortie de l’Euro, et c’est une catastrophe pour les Grecs".

    Quiconque a travaillé dans de grandes institutions ou dans les banques et assurances, sait que ces gens ne font rien par hasard, et qu’ils ont une grande culture et une solide connaissance de ce qu’est le risque. La "maîtrise du risque" est un des éléments clés de la "gouvernance".

    Ces gens sont des salopards, des enculés, mais pas des imbéciles. Ils savent prévoir, étudier, anticiper, ...

    Ils feront tout pour ne pas laisser l’initiative aux peuples.

    Si sortie de la zone Euro il doit y avoir, ce sera donc sous leur contrôle, selon leur calendrier, et suivant leurs règles.

     

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  • Je crois pas que les USA veulent que la Grèce sorte de l’euro car cela risque de provoquer un problème économique et stratégique avec L’OTAN, je ne me réjouis pas trop non plus car notre dette va encore augmenter notamment les intérêts de la dette, c’est un marqueur d’effondrement économique un peu comme la chute de l’URSS qui risque de se produire contrairement à la majorité je vois plus une dictature se mettre en place après j’espère me tromper

     

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  • Tant mieux pour la Grèce et les Grecs : ils vont en baver un moment mais ensuite ils seront libres et retrouveront un équilibre !

     

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  • #1162361
    Le 13 avril 2015 à 13:14 par Fin Euro ce que cela implique
    L’Union européenne aurait préparé en secret l’éjection de la Grèce de la zone (...)

    L’euro est actuellement autour de 1,05 dollar soit l’équivalent d’une dévaluation de 20% Le Qe (assouplissement quantitatif de la BCE court jusqu’en Septembre 2016, ce qui fait qu’une fois sortis de l’euro, il ne sera pas nécessaire de dévaluer.

    D’après Jacques Sapir, c’est alors 5% de croissance qui nous attend pour au moins 3 ans.

    Voir à ce sujet le rapport de la fondation Res-Publica sur www.fondation-res-publica.org/etude-euro/

     

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    • Croissance de quoi ?
      Des emplois ? Mon cul...
      Des revenus ? Mon cul...
      Du CAC 40 ? Certainement, mais cela profite toujours aux mêmes, ce n’est qu’un autre moyen de nous faire les poches...
      Il ne faut surtout pas être dogmatique.
      Jacques Sapir, en homme de gauche qu’il est, doit avoir oublié ce qu’est une gestion de bon père de famille. Il met l’accent sur la dévaluation de la monnaie, ou son corollaire la sortie de l’euro, parce qu’il est incapable de songer à la diminution du train de vie de l’état, c’est à dire de l’accroissement de la dette qui permet à la finance internationale de vivre au dépens des peuples... Or le but ultime doit être celui-là, et nous savons bien qu’un candidat qui ne ferait que l’évoquer publiquement serait évacué par la conduite des chiottes par les forces d’occupation mentales...
      Il faut cesser d’apporter le moindre crédit aux thèses ou plans sur la comète qui disent "ce sera mieux demain" ! Annoncer l’hypothèse de 5% de croissance sur 3 ans si ceci ou si cela, le simple fait de l’annoncer, est tout aussi sordide que les promesses du Medef de créer 748 emplois sur 45 ans en cas d’abrogation d’une loi qui empêche de s’en foutre plein les poches... pour ceux qui en ont déjà tant !
      C’est un langage démagogique : J. Sapir ne doit même pas s’en rendre compte et ne pense pas à mal en le faisant...
      Il ne s’agit pas de donner des chiffres futurs qui seront de toute façon invalidés, mais de mettre en place les conditions d’une renaissance de la prospérité du peuple, pas des riches à en crever ! Pour cela, les lignes d’actions sont la diminution brutale et importante, 25% au moins, de la pression fiscale moyenne sur les revenus ET la même chose sur les artisans, et si possible davantage. Et cela, nous ne le verrons pas, j’en met ma main au feu.

       
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