Le feuilleton de lʼété de la presse occidentale a eu pour sujet le scabreux itinéraire dʼun enfant gâté de lʼoligarchie mondialiste, membre de la commission Trilatérale, le dénommé Jeffrey Epstein. Si la presse française a été timorée dans son traitement de cette affaire, les médias anglo-saxons ont quant à eux fait leur choux gras de cette sale histoire.
Les mœurs malsaines et déréglées de lʼhyper-classe
Leur révélations ont le mérite de mettre en lumière les mœurs des élites mondiales mobiles, que Karl Marx dans Les Luttes de classes en France décrivait comme non seulement décadentes mais surtout perverses et, paradoxalement, populacières :
« on voyait se reproduire la même prostitution, la même tromperie éhontée, la même soif de sʼenrichir, non point par la production, mais par lʼescamotage de la richesse dʼautrui déjà existante ; cʼest notamment aux sommets de la société bourgeoise que lʼassouvissement des convoitises les plus malsaines et les plus déréglées se déchaînait, et entrait à chaque instant en conflit avec les lois bourgeoises elle-mêmes ; car cʼest là où la jouissance devient crapuleuse, où lʼor, la boue et le sang sʼentremêlent que tout naturellement la richesse provenant du jeu cherche à se satisfaire. Lʼaristocratie financière, dans son mode de gain comme dans ses jouissances nʼest pas autre chose que la résurrection du prolétariat en guenilles dans les sommets de la société bourgeoise. »
Entre le XIXe siècle et aujourdʼhui rien nʼa changé. Le comportement de lʼoligarchie financière est assimilable au mode de vie des racailles, ces héritiers des « apaches » des bas-fonds parisiens et des proxénètes du quartier du Panier à Marseille. La vox populi, signale Patrick Buisson, exulte en cœur : « On ne veut ni de la racaille des cités, ni de la racaille dorée que nous a apportés Sarkozy dans ses bagages ! » La rapine, la violence et la manipulation sont le lot de lʼethos de lʼindividu appartenant à lʼ« hyper-classe ».
Celui-ci sʼefforce dʼassouvir son désir sans limite, à lʼombre des flics et des juges, qui en dernière instance peuvent être corrompus par de généreux pots-de-vin. À lʼombre surtout de la common decency – de la « décence commune » – du peuple, lequel est instinctivement rétif aux pratiques déviantes et a pour coutume de ne pas affectionner lʼexaltation de lʼhomosexualité, de la prostitution et de la pédophilie.
Le « conservatisme crasse » des masses populaires
Il suffit dʼécouter les chants des supporters de football – le sport populaire par excellence – pour sʼen convaincre. Les « enculés », les « pédés », les « putes », les « Marc Dutroux » ont mauvaise presse dans les stades, nʼen déplaise à Marlène Schiappa. Noël Le Graët, président de la Fédération française de football (F.F.F.), qui connaît bien sa base, cʼest-à-dire la masse des petites gens qui payent les billets des matchs, sans qui « son » sport ne serait plus quʼun astre mort, lʼa parfaitement compris.
« Interrompre un match pour des faits de racisme, dʼaccord », estime-t-il, mais pour des chants appartenant au folklore footballistique, « cʼest niet ». Et peu importe si la bien-pensance – voire la rien-pensance, quand on écoute notre ministre Schiappa – les juge « homophobe ».
Cʼest sans doute pour ne pas heurter la sensibilité populaire que BFM TV et consorts nʼont pas attisé les braises incandescentes du scandale Epstein. Ce dernier, suspecté de trafic sexuel sur mineurs, ce qui lui a valu une arrestation le 6 juillet 2019 sur le sol américain alors quʼil revenait de Paris, est décédé dans sa cellule le 10 août, dans de très étranges circonstances. Ce qui nʼest pas sans rappeler la mort bizarre, en prison, du directeur du Bonnet Rouge Michel Vigo-Almereyda, un mois dʼaoût également, cent deux années auparavant, « étranglé au moyen dʼune cordelette ou dʼun lacet de soulier, assassiné, qui sait, pour lʼempêcher de parler ».
Les rumeurs vont bon train sur la mort dʼEpstein : homicide déguisé en suicide ? Ou exfiltration maquillée en suicide ? Les commentateurs spéculent sur ce décès éminemment suspect.
Epstein et ses drôles de dames
Quoi quʼil en soit, tout cela montre à quel point sa vie aura été tumultueuse. Son jet privé baptisé Lolita Express aurait transporté deux super-VIP, les deux grands Bill – Gates et Clinton – ou lʼancien Premier ministre israélien Ehud Barak.
Lolita, cʼest le titre dʼun roman sulfureux de Vladimir Nabokov ou un certain Humbert tombe amoureux dʼune nymphette de douze ans. Epstein aurait donc disposé de ce pouvoir : être en mesure de combler la lubricité des ces hommes de rang suprêmement supérieurs avides de muses pré-pubères.
Le gratin fréquentait Epstein ; ainsi de Donald Trump. Mais ce dernier, à la différence de beaucoup parmi le gotha, ne cultive aucune inclination particulière pour des pratiques sexuelles transgressives. Des lolitas à la pelle, des jeunes filles en fleur à disposition, peu lui importe ! Il est fort probable que si Hillary Clinton avait remporté la présidentielle de 2016, elle qui avait pour directeur de campagne le très excentrique John Podesta, cette affaire nʼaurait pas éclatée, et donc nʼaurait pas pu être exposée urbi et orbi.
Présenté par nos journalistes stipendiés comme un personnage loufoque, si ce nʼest fou à lier – seul André Bercoff lʼavait pris au sérieux –, Trump se révèle un chef dʼÉtat sain et raisonnable, lʼincarnation au fond de lʼesprit anarchiste tory cher à George Orwell, auquel est associé lʼexpression évoquée plus haut de décence commune.
La marque de lʼÉtat-profond
Mais dans sa volonté de rebâtir son pays, de lui redonner une prospérité et un rayonnement international, Trump se heurte à un « État profond » dont Epstein fut le représentant archétypal. A-t-il été assassiné par un réseau occulte dont Emmanuel Macron vient de déceler la présence, en témoigne les propos quʼil a tenus le mercredi 21 août 2019 ?
À partir de ce quʼindique Gordon Thomas à propos de Robert Maxwell, le magnat de la presse qui a été comme Epstein un agent du Mossad, la réponse qui semble la plus sérieuse est oui. Dans son essai apologétique des services secrets de lʼÉtat dʼIsraël, qui a pour titre Histoire secrète du Mossad, il écrit ceci :
« Le 29 octobre 1991, Maxwell reçut un coup de téléphone dʼun katsa de lʼambassade israélienne à Madrid qui lʼinvita à se rendre en Espagne le lendemain […]. Maxwell reçut pour consigne de prendre un avion en direction de Gibraltar, puis dʼembarquer à bord de son yacht, le Lady Ghislaine, et dʼordonner à son capitaine de cingler vers les îles Canaries, où il devrait "attendre un message". Robert Maxwell commit lʼerreur dʼaccepter.
Le 30 octobre, quatre Israéliens arrivèrent sur le port marocain de Rabat, se présentèrent comme des touristes amateurs de pêche au gros, louèrent un bateau capable dʼaffronter lʼocéan et mirent le cap sur les îles Canaries. […] Pendant trente-six heures, le Lady Ghislaine navigua entre les îles de lʼarchipel, restant toujours à distance de la côte et changeant fréquemment de vitesse. Maxwell expliqua au capitaine quʼil hésitait encore sur leur destination. Jamais lʼéquipage ne lʼavait vu faire preuve dʼune telle indécision.
Dans ce qui fut présenté comme une "exclusivité mondiale" intitulée "Comment et pourquoi Robert Maxwell a été assassiné ?", le magazine britannique Business Age affirma que deux tueurs à gages avaient grimpé à bord du Lady Ghislaine après être venus en canot pneumatique dʼune vedette à moteur immobilisée non loin de là. Ils trouvèrent le magnat sur le pont arrière. Ils le maîtrisèrent sans lui laisser le temps dʼappeler à lʼaide. "Un des assassins injecta une bulle dʼair dans la veine jugulaire de Maxwell. Il ne lui fallut que quelques secondes pour mourir." Le magazine précisait que le cadavre fut jeté par-dessus bord et que les deux hommes regagnèrent ensuite leur yacht. Maxwell ne fut retrouvé que seize heures plus tard […].
Le 10 novembre 1991, les funérailles de Maxwell se tinrent au mont des Oliviers de Jérusalem – lieu de repos éternel des plus illustres héros du peuple. Lʼévénement, qui ressemblait à sʼy méprendre à des obsèques nationales, fut rehaussé par la présence du gouvernement israélien ».
Le propos nʼest pas tant dʼimputer au judaïsme ou au sionisme – notez-le bien – les atrocités entourant lʼactivité dʼEpstein, qui occupait la fonction de rabatteur de jolies mineures aux hommes qui comptent sur cette planète – aux princes de ce monde –, mais dʼinsister sur le fait que tout cela a plus à voir avec lʼantinomisme contemporain, dont lʼhéritage de cette hérésie quʼest le sabbato-frankisme forme lʼune de ses racines.
Quʼest-ce sont les Haskalah ?
Ce courant messianique euro-méditerranéen de la culture juive dʼAncien Régime a donné naissance à la Haskalah, les Lumières juives. Si cʼest dʼabord au nom de Moses Mendelssohn quʼelles sont associées – on pourrait ajouter Menasseh ben Israël, qui en quelque sorte en fut le devancier –, ce quʼil importe de souligner au sujet de la Haskalah, cʼest que sa postérité a marqué de façon décisive le XXe siècle.
Quatre héros juifs laïcisés ont fondé les quatre « paradis » dudit siècle. Cette thèse sʼinspire très largement des travaux de lʼhistorien Yuri Slezkine, dʼaprès qui au XXe siècle trois Terres promises se sont offertes aux juifs. Une dont le patriarche symbolique, lʼinspirateur, était Karl Marx : lʼUnion soviétique.
Une autre, les États-Unis dʼAmérique, qui accueillaient à bras ouverts les ashkenazim fuyant la barabarie totalitaire qui sévissait en Europe, avait choisi comme curateur des âmes officiel le penseur le plus célèbre de la psyché, Sigmund Freud.
Slezkine note quʼaux « États-Unis, où les métaphores tribales mises au service de la nation ne pouvaient pas sʼappuyer sur une théorie de la descendance biologique, le freudisme tombait à pic. Sʼefforçant de réconcilier les égoïsmes individuels avec lʼintérêt commun par le biais de la séparation et des "checks and balances" (poids et contrepoids), lʼÉtat libéral entreprit bientôt de se charger aussi de la cure des âmes individuelles. »
Cʼest pourquoi il « avait commencé à formuler une nouvelle conception de son rôle et du bien-être de ses citoyens. Il sʼagissait de plus en plus dʼun État thérapeutique et, sans quʼil en soit vraiment conscient, foncièrement freudien. »
Enfin Theodor Herzl, cet agnostique ou athée qui ne se gêna pas dʼen appeler à la conversion des juifs de lʼEmpire dʼAutriche au christianisme afin de parfaire leur assimilation, suivant lʼexemple de Jacob Frank en Pologne au XVIIIe siècle, avant de tourner casaque en théorisant en 1896 le Judenstaat, la Terre promise sioniste, affecté par ce qui se passait à ce moment-là dans ce pays où ses coreligionnaires sʼy disaient heureux comme Dieu en France , cʼest-à-dire quand éclata lʼaffaire Dreyfus.
La Science, religion profane du XXe siècle
En revanche dans son ouvrage Yuri Slezkine oublie un « paradis », un Éden, élargi lui à la terre entière, par-delà les frontières nationales, celui de la science, dont le grand maître fut Albert Einstein. Le grand physicien incarne dans lʼimaginaire collectif lʼidée dʼune science comprise en tant que fin en soi, la science pour la science en somme, mais en réalité son cerveau supérieur se mettait au service dʼun cœur, dʼidéaux, à mi-chemin entre le socialisme et le libéralisme, ce qui fait de lui, si lʼon peut dire, le fils adultérin de Marx et de Freud. Celui-là ne prétendit-il pas que son socialisme était scientifique ? La doctrine de celui-ci « aspirait à devenir la religion du capitalisme moderne » et « paraissait offrir une justification scientifique au thème libéral de lʼindividu intrinsèquement faillible en appliquant les principes du libéralisme politique aux mystères de lʼâme humaine. »
Einstein était dʼesprit si haskalah quʼil refusa le titre honorifique de président dʼIsraël, nation dont lʼétroitesse du territoire sʼopposait à lʼuniversalité consubstantielle à la vérité des lois scientifiques, qui par principe ne connaissent aucune borne. Parmi ces quatre figure majeures du XXe siècle, celui dont Epstein lʼAméricain se rapproche le plus est naturellement Sigmund Freud, dont la science a été adoptée par le pays, érigée en théorie médico-sociale officielle.
Ce dernier, à travers ses œuvres, sʼest efforcé de démontrer que la libido – le désir sexuel – est le moteur surdéterminant des conduites humaines. Dans une perspective historico-politique, il sʼavère que le freudisme – ou psychanalyse – est assimilable à une science bourgeoise dans la mesure où la prophylaxie quʼil a édifiée tend à déculpabiliser celui qui en est le patient, lequel est nécessairement aisé, eu égard au coût élevé des consultations. Il est déchargé de toute responsabilité vis-à-vis des « coups » quʼil porte aux êtres avec qui il entretient des rapports socioéconomiques du fait de sa position élevée dans la hiérarchie sociale.
Le psychanalyste, feignant de lui révéler les tréfonds de son inconscient, a pour mission véritable de défausser son moi de toute la culpabilité socio-économique quʼil pourrait ressentir à cause de son statut dʼexploiteur de prolétaires en le convainquant dʼêtre depuis sa naissance la victime dʼun père exerçant sur lui une violence a minima symbolique et dʼune mère envers qui il ne peut quʼéprouver un désir inassouvi.
Le freudisme : une rupture métaphysique et anthropologique
Slezkine précise que « lʼexistence du freudisme en tant que religion du salut a coïncidé avec celle de la génération de la Seconde Guerre mondiale, après quoi elle sʼest métamorphosée en doctrine du bonheur et de la victimisation tribaux et individuels ». Cela implique que tout être est considéré comme souffrant, quʼil en est une victime de manière ontologique.
Cette souffrance est sociale, et non métaphysique : « Le Mal devenait simplement le symptôme dʼune pathologie parfaitement curable, et la plupart des malades se transformaient en victimes de leur psyché, de leur enfance, de leurs parents, de leurs nourrices ou de leurs voisins », même si, peut-on objecter à Slezkine, le cœur de lʼéclosion de cette prétendue pathologie est la cellule familiale, et plus précisément la famille nucléaire, les figures du père et de la mère étant centrales dans la théorie œdipienne.
De surcroît, toujours en ce qui concerne la genèse de la pensée psychanalytique, laquelle fait autorité aujourdʼhui, lʼimportance de la pédophilie dans certains milieux – ceux abondamment fréquentés par Epstein –, cette pratique ayant tendance à se reproduire de générations en générations, les premiers émois érotiques que peut connaître un individu constituant lʼinfrastructure, le fondement, de sa fantasmagorie dʼadulte, laisse à penser la choses suivante : quand Freud a théorisé le complexe d’Œdipe, nʼa-t-il pas renversé lʼinstinct lubrique quʼéprouvent certains adultes envers leurs enfants afin de dédouaner les siens ?
La concupiscence coupable des héros de lʼAncien Testament
Une telle observation se voit corroborée par les multiples cas de relations incestueuses et/ou pédophiliques que lʼon retrouve dans les écrits vétéro-testamentaires. Premièrement : « Abraham disait à propos de sa femme Sara : "Cʼest ma sœur". » (Genèse 20 : 2).
Ensuite, au sujet du neveu dʼAbraham, Lot, qui habite dans une grotte avec ses deux filles : « Lʼaînée dit à la plus jeune : "Notre père est vieux et il nʼy a pas dʼhomme dans la région pour sʼunir à nous comme cela se fait partout. Viens, faisons boire du vin à notre père et couchons avec lui afin de lui donner une descendance". Elle firent donc boire du vin à leur père cette nuit-là et lʼaînée alla coucher avec son père. Il ne remarqua ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Le lendemain, lʼaînée dit à la plus jeune : "Jʼai couché la nuit dernière avec mon père. Faisons-lui boire du vin cette nuit encore et va coucher avec lui afin que nous lui donnions une descendance." Elle firent boire du vin à leur père cette nui-là encore, et la cadette alla coucher avec lui. Il ne remarqua ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Les deux filles de Lot tombèrent enceintes de leur père. » (Genèse 19 : 31-36)
En outre, Juda, le fils de Jacob, alors quʼil est veuf, a, suite à une liaison avec sa bru Tamar, deux fils, les jumeaux Perets et Zérech : « Juda la vit et la prit pour une prostituée, parce quʼelle avait couvert son visage. Il lʼaborda sur le chemin et dit : "Laisse-moi avoir des relations avec toi." Il ignorait en effet que cʼétait sa belle-fille. » (Genèse 38 : 15-16)
Lʼantinomisme, de lʼécole de Francfort à lʼONU
Une telle observation pourrait bien être la première pierre dʼune déconstruction massive et redoutablement efficace de lʼaffabulation freudienne. Cette imposture a forgé une science nouvelle qui est antinomiste, ce qui veut dire quʼelle sʼévertue à prescrire les normes diamétralement opposées à la loi naturelle, à la morale chrétienne. Dʼoù le jaillissement de lʼécole de Francfort qui peut se caractériser comme la tentative de conciliation des pensées des haskalah Freud et Marx : « Toujours fidèles à la promesse de salut du marxisme, mais dépités par le peu dʼenthousiasme du prolétariat allemand pour le projet dʼenterrer le capitalisme (ou plutôt par sa tendance à lire Marx à lʼenvers et à sʼen prendre directement aux juifs), ils sʼefforçaient de combiner marxisme et freudisme en psychanalysant les déviations de classe et en collectivisant la pratique psychanalytique. »
Prenons par exemple lʼauteur de La Révolution sexuelle, Wilhelm Reich. Dans cet essai il dénonce la « société autoritaire », bâtie sur lʼordre moral défini par lʼÉglise, et son travail de refoulement ou « répression de la sexualité juvénile », Laquelle, défend-il, doit être banalisée : « Les adolescents qui se sont libérés de ce refoulement savent très bien que ce quʼils veulent, ce sont les rapports sexuels. »
Tout un programme... qui après sʼêtre matérialisé dans des actes de tortures perpétrés au prétexte de la nécessaire recherche empirique – en un mot sous les auspices de la science – par lʼentomologiste américain Alfred Kinsey, a fait lʼobjet dʼune Charte des droits sexuels proclamée en 2008 par une organisation partenaire de lʼONU, lʼInternational Planned Parenthood Family (IPPF), sorte de Planning familial mondial.
Jeffrey Epstein est un symptôme, ni plus ni moins.