« La Covid tue désormais chaque jour plus de 10 000 personnes sur la planète, mais en France difficile de ne pas faire le lien avec la réouverture des commerces il y a 10 jours... » (PLNC)
On ne présente plus C à vous, ou plutôt C à nous, l’émission de la communauté LGBT-sioniste qui occupe une case éternelle sur France 5, la chaîne du savoir de service public. Savoir quoi ? Eh bien ce qu’il faut penser. Et le 7 décembre 2020, le commissaire politique Patrick Liste Noire Cohen, flanqué de sa potiche Anne-Élisabeth, qui ne doute pas une seconde de l’honnêteté de l’oligarchie politico-sanitaire, reçoit la très impopulaire Karine Lacombe, le plan anti-Raoult des médias mainstream.
Chopée par France Soir en flag de conflit d’intérêt avec les labos, dont Gilead, la multinationale qui a vendu très cher (plus de 2000 euros le traitement, à rapporter à la boîte d’hydroxychloroquine à 5 euros) un remdésivir inutile à l’Union européenne (qui a déjà payé 200 millions sur un milliard), la blonde qui fait apprécier encore plus Raoult (Toussaint, Toubiana, Fouché et les autres), vient expliquer au couple LGBT-sioniste que notre fin d’année sera, hélas, bien noire. Un message d’espoir qui ira droit au cœur des Français touchés par le Great Reset, c’est-à-dire l’effondrement économique contrôlé, comme les tours.
Le trilogue entre ces trois lumières vaut le détour. On commence par Liste Noire, qui montre des signes de dépression à 6’47.
Cohen : Cet hiver va être très long en attendant le vaccin.
Lemoine : Êtes-vous inquiète ? ce plateau épidémique, vous l’avez constaté, les fameuses 5000 contaminations par jour au 15 décembre, c’est mission impossible ?
Lacombe : Oh ben oui, oui, je pense que Patrick Cohen a parfaitement brossé le tableau de la situation, oui effectivement on est à plus de 10 000 cas actuellement, donc atteindre 5000 cas dans 10 jours c’est complètement impossible. […] Donc effectivement on n’y sera pas, et il va falloir faire avec.Lemoine : C’est-à-dire, faire avec ?
Lacombe : Eh bien effectivement revoir les conditions du potentiel déconfinement, est-ce que ça va être un déconfinement qui va être adapté, est-ce qu’on va rester confiné avec une adaptation de ce confinement, pour l’instant je pense que toutes les options sont sur la table, mais oui ça va être comme vous dites un hiver…Lemoine : Très long.
Lacombe : Long et noir.Lemoine : Et y a le froid qui pourrait expliquer le fait que le plateau épidémique s’installe ?
Lacombe : Effectivement, le virus ce n’est pas un virus qui est saisonnier, ce qui est saisonnier c’est la promiscuité.Lemoine : Le confinement, c’est-à-dire le fait de rester à l’intérieur.
Lacombe : Le fait de rester ensemble, et puis également c’est quand même un virus qui se multiplie mieux à basse température qu’à température élevée. Donc on savait que l’hiver serait plutôt propice à une multiplication plus importante du virus.
Et si c’était juste la grippe saisonnière, dont on n’a toujours pas de nouvelles ? Le Covid a-t-il tué la grippe ?
Cela n’arrête pas la Lemoine, qui tente de défendre les pauvres Français et le gentil directeur de la Santé, Jérôme Salomon, empêtré dans une très sale affaire de masques...
- Anne-Élisabeth, qui croit tout ce que les invités de Patrick Liste Noire racontent, est inquiète
Lemoine : Mais les Français n’ont pas relâché leurs efforts, Jérôme Salomon a signé que, a dit que les Français globalement s’étaient très bien comportés.
Lacombe : Oui, oui, absolument, on voit tout le monde porte le masque maintenant, il n’y a plus d’embrassades comme on pouvait le voir avant, on a perdu ce contact aussi ce qui permettait de transmettre le virus, je pense que c’est vraiment toutes les situations dans lesquelles on se retrouve dans une atmosphère froide dans laquelle le virus se multiplie plus de façon groupée, donc ça transmet plus.Lemoine : Vu la situation, il paraît raisonnable de renoncer au déconfinement tel qu’il était imaginé au 15 décembre ?
Lacombe : Oh ben bien sûr, ça se repassera pas de la même façon, après il va falloir trouver un compromis, entre la situation actuelle et puis ce vers quoi on aimerait tendre. Parce qu’en fait c’est pas tant que le virus se transmet, si encore le virus se transmettait on fait des maladies bénignes, etc., ça, c’est pas tellement le problème, c’est ah bah on l’a vu lors de la première et de la deuxième vague, euh… que quand le virus se remet à circuler de façon importante, eh bien on aLemoine : Il touchera les plus vulnérables.
Lacombe : Exactement.Lemoine : Et il tuera.
Lacombe : Et il tue, exactement.
Un superbe message d’espoir qui ira droit au cœur des Français, surtout des plus fragiles. C’est Raoult qui disait qu’il fallait toujours donner de l’espoir au malade. Visiblement, l’anti-Raoult primaire qu’est Lacombe préfère l’effet inverse, l’effet killer.
Cohen : Il y a quelque chose d’assez désespérant qui est en train de s’installer, c’est l’idée, et on le voit dans d’autres pays européens, c’est l’idée finalement, on a parlé du stop and go en France, c’est-à-dire des mesures on met des restrictions, on les relâche, on les assouplit, etc., c’est que, on n’arrive pas à se débarrasser de ce virus.
Lacombe : Non, absolument.Cohen : Et on ne voit pas quelle est la perspective, sauf la vaccination générale et massive,
Lacombe : Absolument.Cohen : De s’en débarrasser réellement, parce que à chaque relâchement de restriction l’épidémie repart.
Lacombe : Ben tout à fait, et surtout on voit que personne n’a fait mieux que l’autre. On a souvent pris d’abord le modèle suédois en exemple, et on voit bien qu’en fait le modèle suédois n’a pas marché du tout, on a également pris le modèle allemand en exemple et on voit qu’actuellement il y a plus de cas en Allemagne qu’il y en a en France, aucun modèle ne marche parce qu’en fait on vit tous de la même façon, y a tout le temps un moment où on va avoir ces moments de convivialité, ces échanges entre groupes et ce qui sont les occasions de transmettre le virus, donc personne n’est à l’abri, aucun pays au monde n’est à l’abri du virus.
Lacombe a raison, le virus est partout, et nulle part à la fois, il est mondial car mondialiste. Et si le virus c’était le mondialisme ? Le mot de la fin à Lemoine, pour qui la parole de Salomon est d’or...
Lemoine : Y a la question de la réouverture des salles de cinéma, des salles de spectacle, d’un couvre-feu en fin d’après-midi plutôt qu’à 21 heures, ça ce sont les pistes étudiées. Question tabou : ne faut-il pas rester confinés en l’état actuel des choses et sacrifier les fêtes de fin d’année ? Pour l’instant Jérôme Salomon dit : « nous verrons au moment voulu ».
Lacombe : Ben je pense que c’est une décision qui est difficile à prendre pour tout le monde, euh le problème de supprimer entre guillemets les fêtes de fin d’année c’est comment que vous allez implémenter ce type de mesure.
C’était le 7 décembre. Trois jours plus tard, Castex mettait brutalement un terme à ce débat de haut vol entre ces trois lumières noires en implémentant un couvre-feu au Nouvel An. Question tabou : le père Noël va-t-il se faire éclater la gueule au LBD ou la main à la grenade offensive, s’il fait irruption chez des Français qui sont déjà six à table ?
Bonus : le Canadien fou voleur de Noël