Toute ces récentes simagrées autour de la délation généralisée de la violence faite aux femmes, dans une liste de Schindler revisitée en #BalanceTonPorc, n’ont pour unique but que de préparer l’opinion publique à l’arrivée des femmes à la magistrature suprême.
Attali l’avait prophétisé pour la France, bien avant l’élection de Macron et les US cherchent certainement à faire élire une femme de couleur après probablement l’échec douloureux de la blanche Clinton.
C’est une idée qui a fait son chemin dans les think-tanks progressistes, partant du principe qu’un femme à la tête de l’état avait plus de chances de manipuler une démographie à l’avantage du sexe faible et puis surtout, rallie plus de suffrages et de manière certaine chez les féministes et les lobbies LGBT tout en clivant chez les composantes sociétales encore enclins à pratiquer un machisme, sinon des plus rigoureux, tout du moins de fait et afin de les exciter pour mieux les stigmatiser, suivez mon regard…
Cette campagne de fausse libération ultime de la femme n’a pour but que de crédibiliser un scenario basé sur une gouvernance féminine et imaginé par les loges laïcistes.
Cela passe donc par l’effondrement du sexe fort et du patriarcat.
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