Les bobards sont habituellement présentés comme des faits réels par les falsificateurs.
Un des bobards a consisté à dire que le Chancelier allemand Adolf Hitler aurait été furieux quand Jesses Owens gagna la course ; que Hitler aurait refusé de serrer la main de Owens parce qu’il était noir ; que les Allemands auraient été embarrassés parce que la victoire d’Owens « aurait démenti » des idées allemandes sur des différences raciales, et ainsi de suite.
En réalité, Owens fut acclamé par les Berlinois avec autant d’enthousiasme que pour les athlètes allemands. Jesse Owens lui-même raconta qu’en une occasion, alors qu’il était dans le stade, il échangea un signe avec Hitler : « Quand je passai devant le Chancelier, il se leva, me fit un signe de la main, et je lui rendis son salut. »
Jesse Owens, et c’est tout à son honneur, ne participa jamais lui-même à la fabrication de ce bobard. Il souligna toujours constamment la chaleur de la réception qu’il reçut en Allemagne et sa joie pendant ces journées à Berlin.
Mais il ne put pas empêcher d’autres personnes de l’utiliser comme un symbole, pendant sa vie aussi bien qu’après sa mort, pour calomnier l’Allemagne pour des motifs qui commencent à être clairs aujourd’hui.
Extraits tirés (et adaptés) de l’article en Français de Mark Weber : Jesse Owens : Mythe et réalité
Owens a même déclaré :
"Hitler didn’t snub me — it was FDR who snubbed me. The president didn’t even send me a telegram."
"Hitler ne m’a pas snobé. C’est Roosevelt qui m’a snobé. Le président ne m’a même pas envoyé un télégramme."
Les sionistes pris la main dans le sac disent : "... quelle importance, ça ne change rien bla bla bla...".
Ben voyons ! C’est grave de calomnier les gens comme ça.
Sur quoi d’autre ont ils menti ? Sur les fausses affaires antisémites ? Sur les fraudes littéraires ? Sur les trafics d’organes, la traite des blanches en israel, le phosphore blanc... Et derrière la censure sioniste de la loi mémorielle Fabius Gayssot, qu’est ce qu’on va trouver ?