La société libérale est improprement nommée, à dessein.
Elle s’est auto baptisée libérale pour qu’on la croie tolérante c’est-à- dire miséricordieuse dans ses jugements, et charitable dans ses intentions.
Alors qu’elle est cruelle dans ses sanctions par avarice dans ses ambitions.
Sa doctrine est celle du loup libre dans la bergerie libre où le massacre des brebis est la preuve in situ que le loup a donc raison.
Le libéralisme est un péché.
Pour se faire admettre, il prétend que sa liberté du loup libre dans la bergerie libre ne serait que la reproduction raisonnable d’un ordre naturel immuable.
Mais c’est totalement faux puisque n’étant pas la reproduction de l’ordre naturel qui est un véritable Ordre, il est un désordre militant , une insurrection systématique contre l’ordonnancement divin, seul Ordre car seul ordre parfait.
Par exemple, pour Dieu la destinée de l’enfant est de devenir homme pensant et aimant.
Mais pour un libéral, la destinée de l’enfant se réduit à son utilité soit, dans leurs esprits malades, de travailler ou de se faire enculer : OS ou sex toy.
Si, non plus dans son résultat mais dans son principe, on voudrait démontrer que le libéralisme est un péché il suffirait de rappeler que ce qui distingue son contraire, l’Ordre naturel , c’est l’équilibre : le libéralisme est un déséquilibre prémédité.
C’est pour cela qu’il est injuste.
En effet, dans l’ordre naturel, toute créature à une fonction, et une somme de qualités et de faiblesses pour la réaliser qui se compensent et dont la somme est égale à zéro.
C’est pour cela que jamais le loup ne finit seul dans la bergerie monde et que le nombre des moutons es toujours supérieur au nombre des loups.et que même la prédation du loup est au service de la santé des moutons.
C’est pour cela aussi que la Civilisation c’est l’anti libéralisme et le libéralisme en plus d’un péché la barbarie en construction.
Quand on construit une société c’est pour reproduire la perfection de l’équilibre naturel où chacun n’a que les droits de ses obligations que les obligation s de sa fonction et sa fonction, enfin, au service de tous, en plus de sa survie.
Et non tous les droits pour quelques uns, toutes les obligations pour le plus grand nombre et la fonction de chacun dédiée au service de l’injustice vorace de quelques uns : le loup libre dans la bergerie libre.
Qui condamne les brebis à la mort
Et donc le loup à la famine.
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