La nouvelle vient de tomber sur les téléscripteurs : Janett vient d’annoncer sa libération, après trois mois d’une prison scandaleuse et injustifiée. Alors que son compagnon Stan Maillaud vient de terminer la rédaction de son ouvrage, depuis le maquis dans lequel il a établi son quartier général, les collectifs européens pourront enfin lui dresser le rapport de tout ce qui a été secrètement entrepris et réalisé durant son incarcération. C’est Colette Maillaud, la maman de Stan, qui doit être contente pour ses deux rejetons.
Depuis trois mois en effet, les mots d’ordre de Janett à Amancey ont été parfaitement suivis : les militants actifs ont quitté les écrans, ils ont entrepris des contacts secrets et des plans d’action communs, et ils se sont secrètement constitués en syndicat des collectifs européens. Seuls quelques-uns se sont escrimés à assurer l’arrière-garde sur Facebook, alors que des divisions blindées progressaient à toute allure dans le silence, loin devant la perfide maçonne. Jamais la lutte contre la pédocriminalité européenne n’aura aussi bien avancé, que depuis le colloque d’Amancey.
Il n’entre pas encore dans mes intentions de dévoiler tout ce qui a été réalisé pendant l’incarcération de Janett. Il est encore un peu trop tôt pour publier tout ce qui s’est solidement construit, pendant que nous observions ceux et celles qui n’ont cessé de semer les fausses informations et la zizanie parmi ceux qui, de bonne foi, cherchent à lutter contre la pédocriminalité européenne : dès que j’aurai rencontré Janett, tout cela sera rendu public.
Il aura fallu beaucoup d’efforts à tout le monde pour garder le silence, alors qu’un quarteron de vautours se sera épuisé pendant trois mois, du matin jusqu’au soir, à tenter d’arracher du bec les vers du nez de ceux qui travaillent, en persifflant n’importe quoi pour provoquer des ripostes inutiles. Nous n’avions de comptes à rendre à personne, sauf à ceux qui savent ce à quoi nous travaillons : l’attaque frontale des réseaux pédocriminels européens, la réouverture du dossier Dutroux, et la dénonciation de ceux qui ont eu intérêt à saboter les actions collectives.
Grâce à Monsieur Mark Zuckerberg, je peux enfin disposer de la liste de ces ambassadeurs francs-maçons de la pédocriminalité européenne, qui se sont réveillés sur Facebook comme des chacals à la vue d’un lionceau blessé. Ils se feront bientôt égorger en correctionnelle par nos avocats, qui leur demanderont de produire les preuves de nos quatre-cent captures d’écrans de diffamations. Cela les occupera, cela nous amusera, mais ce n’est pas là le plus important : nous disposons grâce à eux d’une collection d’informations de la plus haute importance sur nos adversaires, parce que nous les avons observés pendant qu’ils se découvraient. Et que nous les infiltrions.
Aujourd’hui sonnent le glas de l’attente et le tocsin de la riposte, que nous annoncent les deux dernières libérations : celle de Janett, d’une part, celle de Marcel d’autre part. Ce 18 février en effet, l’ordonnance qui interdisait à Marcel Vervloesem tout contact avec des collectifs de lutte contre la pédocriminalité, ainsi que tout déplacement à l’étranger, arrive également à expiration.
L’ordonnance judiciaire qui espère bâillonner Mademoiselle Seemann, apparaît tout aussi ridicule que contradictoire : elle interdit à Janett tout contact avec son compagnon, toute interférence avec la lutte contre la pédocriminalité, et toute présence sur le territoire français,… mais elle ne peut rien interdire de tout cela sur le territoire étranger.
Nos deux retardataires brisent enfin leurs chaînes, et ils se libèrent à temps : le prochain colloque européen, auquel tous les leaders européens ont répondu présent sans exception, n’attendait qu’eux.
Bienvenue chez Manneken Pis.