Egalité et Réconciliation
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Inversion des valeurs toute !

Parfois, on a l’impression que les légions du Mensonge, de l’Ignorance et du Rabaissement forment une armée imbattable, que cette force est en train de gagner, et qu’on est en train de basculer dans un autre monde : le Monde à l’Envers. 2000 ans après le Christ, il est temps de renverser la table de ces fausses valeurs !

 

 

Comment ils nous ont entubés avec la tolérance

 

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Ami socialiste, si tu es vraiment gay-friendly, prête-leur tes enfants !

 

La tolérance est l’arme absolue de la dictature démocratique et nous allons vous le prouver, si tant est qu’on peut prouver des trucs en sciences humaines, si tant est qu’il puisse exister des sciences humaines, tellement on est encore loin de comprendre le comportement humain et les lois du cerveau. Mais ça n’empêche pas de réfléchir avec raison et clarté sur quelques phénomènes contemporains. Nos descendants se foutront probablement de notre gueule, mais c’est ça, le progrès ! C’est même très bon signe. Ceci étant dit, passons à la démonstration.

Tout le monde peut constater que depuis qu’il est interdit d’interdire, ce qui est le mot d’ordre de la tolérance, érigée en totem de notre système politique, beaucoup de choses absurdes ou dangereuses ont été avalées par le grand public, le peuple, les électeurs ou les gens, on appelle ça comme on veut. Par exemple, des menteurs pathologiques qui auraient été passés par les armes il y a quelques siècles, pavoisent à la tête du pays, même si on doit admettre un certain degré d’omission ou de dissimulation en haut lieu. Mais dans ce cas faut pas causer pour dire des conneries : se faire élire sur un programme social et trahir les ouvriers, par exemple, ou sur un programme de droite et trahir les familles, etc. Les exemples pullulent. On notera qu’en démocratie, le verbe devient très important, car il faut « parler » au peuple, donc le mensonge est devenu nécessaire. Avant, les rois et empereurs n’avaient pas besoin de mentir, car ils dominaient, de droit divin ou pas, et c’était bien compris. Aujourd’hui, on domine sans dominer, et c’est ça qui crée la perversion du discours démocratique.

Mais la tolérance ne s’arrête pas au mensonge politique obligatoire. Elle fait mal au sociétal. Excusez notre brutalité, mais aujourd’hui, un couple de pédophiles peut acheter des enfants et les violer tranquillement. Il est vrai que les pédocriminels n’ont pas attendu la GPA pour ça, mais on peut dire qu’elle facilite les choses ! Et toute une partie de la société, éteinte et amorphe, d’applaudir cette avancée des mœurs ! D’abord parce que c’est pas leurs gosses (demandez à une famille X de refiler ses mômes pendant un mois à un couple de gays, vous allez voir comment la tolérance de gauche va être accueillie), ensuite parce qu’on ne veut pas voir le mal… derrière le bien. Notez bien qu’il n’y a pas un centimètre d’homophobie là-dedans, juste un exemple théorique mais hélas possible, donc calmez-vous, les amis LGBT.

À force de détruire les murs de la morale, intime et publique, à coups de dynamite (les lois scélérates) ou en douce, comme les vagues (scélérates) de l’océan grignotent le littoral, on est arrivé à des situations qui dépassent l’entendement, et le simple respect humain. Par un soi-disant respect pour la différence, on doit supporter la destruction de la pudeur, par l’exhibition de la violence pornographique, devenue quasiment publique. Et forcée. Etre contre la pornographie, cette politique qui ne dit pas son nom, ne fait pas de nous des pisse-froid et autres censeurs de l’amour ou du plaisir.

Pour faire passer cette tolérance destructrice de valeurs, « ils » (les tenants du système médiatico-politique) ont inventé un repoussoir : l’intolérance. Qui permet de lier les pieds et poings de leurs adversaires, et de les criminaliser. Une marque d’infamie qui relègue au mieux, au Moyen Âge, au pire à l’âge de pierre du progrès social. Les progressés, qu’on voit tous les jours applaudir sur Facebook ou Twitter « les avancées de la tolérance », comprendront un jour à leur corps défendant que la tolérance n’est que le bélier d’une prédation qu’ils n’ont pas les moyens ou l’envie d’imaginer. La connerie est un puits sans fond, disait Cavanna. La tolérance aussi, et elle est encore plus dangereuse, car elle emporte les gens dits intelligents.

 

Flic ou truand, flic et truand ?

 

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Le marionnettiste Alain de Greef laisse une marionnette orpheline

 

Faites une phrase cohérente avec les mots suivants : Pasqua, Résistance, Corse, Afrique, Tomi, renseignement, Intérieur, Justice, jeux, police, SAC, came, pastis, whisky, RPR…

Il faudrait un roman pour parler du petit Charles, un gaulliste de chez de Gaulle, avec ses zones d’ombre, et ses zones obscures. La Corse a donné à la fois de grands résistants, de grands flics, de grands agents, et aussi de grands truands à la France. L’existence de la truanderie est à la fois naturelle et inévitable, comme celle de la prostitution. C’est pourquoi Najat peut aller se coucher avec sa loi. Même au temps les plus durs du soviétisme, les grandes villes russes ou ukrainiennes grouillaient de bandes de truands. Certes, il y en avait un paquet dans les camps de prisonniers, afin de mettre la pression sur les « politiques », mais jamais Staline et ses héritiers n’auront raison des mafias russe, géorgienne et ukrainienne. Limonov, adolescent à Kharkov dans les années 60, évoque dans Le Petit Salaud des bandes connues de tous, et donc des autorités. Qui en avaient visiblement besoin. Même topo en Chine : les Triades n’ont jamais souffert du passage de la Chine impériale à la Chine rouge. Établissant même des ponts entre Hong Kong et le continent. Quant aux Américains, on n’en parle même pas, tellement l’imbrication CIA/Mafia a été montrée, démontrée.

Et maintenant, pour les amateurs de soumission inconsciente à l’idéologie dominante, le message Facebook le plus éloquent émis le jour de la mort de Pasqua et de Greef :

« Je rentre je vois pasqua, ouaiiiiis, De Greef, ooooohh. »

Par égard pour cette personne, nous n’avons pas publié son pseudo.

 

Offrez un bracelet électronique 

 

 

Vu dans la rue : une racaille en jogging, le pantalon de la jambe droite retroussé, le bracelet électro bien en vue. Dans l’échelle des valeurs inversée, le bracelet devient un accessoire de mode, un marqueur de standing social. On espère que ça lui ramène du succès auprès des filles, qui sont sensibles aux marques de puissance masculine (muscles turgescents, véhicule automobile rutilant, notoriété médiatique). En même temps, ça rappelle les listes de pédophiles établies par les autorités britanniques, quand un pédocriminel sort de taule et s’installe dans un bled paumé. C’est bon de le savoir, ça permet de lui péter la gueule de temps en temps, quand on a besoin de se défouler. Non, on plaisante ! Chacun a droit à une deuxième chance. En France, on a même le droit à une troisième chance, et une quatrième, une cinquième… On est le pays des chances successives. Et quand quelqu’un prend perpète chez nous, ça veut dire « chance perpétuelle ». Un pays chrétien, on vous dit. Pourtant, le Christ n’était pas maso. Alors, qui a fait rimer chrétien et masochiste ? On vous le demande.

 

Oh merde, les Guignols reviennent

 

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Petit sourire de Roger, auteur des Guignols
depuis 10 ans

 

La fin annoncée des Guignols a provoqué sur le Net une vague de réactions empathico-grotesques sans précédent, qui rappelle le tsunami de peurs débiles qui saisit la population intoxiquée à l’occasion de l’entre-deux tours des présidentielles 2002, quand le méchant parachutiste borgne menaça de faire basculer la France dans l’obscurité des heures sombres. On a même vu un Je Suis Guignols, qui ferait sans doute honte à son auteur, avec un peu de recul, et lorsqu’il apprendra que l’émission est prolongée par Bolloré… le temps de la remplacer.

Pour être tout à fait honnête, la chaîne cherche depuis des années la relève de ce programme coûteux (15-20 millions d’euros par an) et en perte de vitesse, sans compter un contenu déplorable. Simplement les essais n’ont rien donné. La relève, qui devait être incarnée par le noyau dur des auteurs maison, a floppé dans la douleur et les dépenses somptuaires. On se souvient avec émotion de la grande émission comique de Virginie Efira, flanquée de Ahmed Hamidi, issu de l’écurie des Guignols. Une montagne de moyens qui accouche d’une souris humoristique. Eh bien les Guignols, en 20 ans, c’est devenu à peu près ça : 300 personnes, techniciens, auteurs, marionnettistes, producteurs, mobilisés pour accoucher de pauvres vannes bien-pensantes. De la vraie merde pour les cons.

Bolloré donnera donc un peu plus tard le coup de grâce qui arrange tout le monde en interne. Quant au pouvoir subversif des Guignols… Appeler à voter Hollande et contre le FN en 2012… Tout est dit. Aux chiottes cette émission qui fait honte à l’humour. Que crève la subversion pour les nuls, tout simplement.

 

Vincent Cassel, acteur vulgaire et inculte

 

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Vincent, troisième perchiste sur le film, ne figure pas sur l’affiche

 

Rappelons la sortie de cet acteur bourgeois sur le FN :

« C’est une bande de mecs vulgaires et incultes. »

Petit Cassel, filsde promu par un système très complaisant, qui établit la notoriété sur le nom plutôt que sur la compétence, est cet acteur ridicule qui gâche Ocean’s Twelve, en étant confronté à de vrais grands acteurs : Brad Pitt, George Clooney, Don Cheadle, Matt Damon, Casey Affleck... Une honte pour la France, la frime parisienne ne suffisant pas à combler le manque de talent et de travail. Révolté bien né, Vince sélectionne des scénarios subversifs pour être toujours à la pointe de la contestation (mais de quoi ?) ; hélas, sombrant dans le ridicule (Blueberry, Sheitan), il doit s’exiler au Brésil, pays du futur, avec son métissage branché et ses femmes faciles, loin du peuple de France, fasciste et inesthète.

Symbole magnifique de la déconnexion populaire de cette nouvelle aristocratie sans noblesse (les enfants d’un showbiz vulgaire, raciste et discriminatoire), Petit Cassel, aussi dur dans les films que mou dans le réel, trouve heureusement personne d’assez courageux dans les médias dominants pour lui dire la vérité. Bon, OK, on se dévoue. Mais pourquoi c’est toujours nous qu’on doit faire les méchants ?

 

Michel Houellebecq juge les attentats

 

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On ne voit malheureusement pas Michel dans la foule, le jour de la célébration des attentats par la religion d’Etat le 20 Tévet 5775 (le 11 janvier 2015 pour les goys en dehors de la syna)

 

La loque nationale qualifie dans Le Point la manif du 11 janvier d’« impressionnante et sincère ». Difficile à émouvoir, et encore plus à amuser, le dépressif poids lourd de la littérature franco-irlandaise ajoute :

« Cette réaction massive m’a quand même fait plaisir. »

Et il en faut pour décrocher un semi-rictus de mini-joie extérieure chez Michou la boutanche ! Heureusement, le naturel est revenu par la fenêtre, avec cet humour désespéré qu’on aime bien chez lui :

« Cette manifestation a plutôt réjoui les commanditaires des attentats. Ils se félicitent du coup médiatique réalisé. »

On s’est amusé à imaginer la réaction des terroristes si la France n’avait pas bougé. Si la nouvelle n’avait pas été traitée par les médias et les réseaux sociaux, premier média de France. Expérience psychosociologique intéressante. Des attentats étouffés, aucune vague de crainte dans l’opinion, relayée habituellement par les haut-parleurs du système, un coup d’épée (ou de cimeterre) dans l’eau, pas de loi sur les écoutes des citoyens, pas de raffermissement du pouvoir du CRIF sur nos ministres apeurés. Conclusion ? L’attentat est une technique de guérilla moderne, basée sur la mécanique médiatique, qui sert plus les gouvernements (qui augmentent le degré de dictature) que les terroristes (qui crèvent en général comme des merdes). L’attentat est l’évènement médiatico-politique idéal, dans le sens de la communication de propagande. Une publicité sans pareille pour le système avec un investissement relativement faible (3 tueurs et 17 civils sacrifiés). Un tsunami de retombées politiques déclenché par une pichenette sur des innocents. Merci au papillon pour son battement d’ailes…

 

Le niveau tragique de l’école

 

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Élisabeth Lévy, 13 ans sur cette photo datant de la rentrée 1942, pleurniche parce que à la récré les rabzas la tapent et lui touchent le popo

 

C’est devenu la tarte à la crème (non, on ne parlera pas de BHL) des penseurs qui veulent se faire remarquer, de dégommer le niveau de l’école. Au moins, tout le monde est d’accord pour dire que l’école publique, c’est un peu de la merde, pour paraphraser l’expression favorite de Houellebecq, qui aime bien glisser une quenelle de violence soudaine dans une fausse candeur. Brighelli s’en est fait une spécialité – à enseigner ? – et la plantureuse Élisabeth Lévy ne manque pas une occasion de faire des touchdowns contre l’école racaillisée. Un discours qui porte, dans les médias avides d’islamophobie ou d’immigrophobie (tiens, c’est nouveau ça), et qui parle, aux parents inquiets des petits Blancs. On est un peu directs, mais ça rafraîchit l’esprit. Bon. Une fois qu’on a dit ça, on n’a rien dit. Car la vraie question est : où sont les portes de sortie de cette situation bloquée ?

En se basant sur les expériences diverses, trois axes solides se dégagent : l’école privée catholique, qui cartonne depuis la dérive socialiste et antifrançaise des programmes, et qui représente tout simplement – 1h30 de cathé hebdo soft mis à part – l’école publique française d’avant 68 !, les pédagogies différentes (Steiner, Montessori and co), et l’école à la maison. Ça c’est du concret. Et ça marche. Ce qui veut dire qu’il n’y a pas d’école du futur, parce qu’il n’y aura pas UNE école du futur, mais que le mammouth va éclater en petites unités pédagogiques à l’échelle humaine à la fois efficaces, et allégées. Cela fera l’objet d’un papier plein d’espoir pour la France de demain. Nique les déclinologues de la nouvelle droite dure sioniste ! OK OK, on efface ce graffiti.

 

Quid du camp d’extermination de Leningrad ?

 

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Pour la petite histoire, Beauty, l’hippopotame du zoo de Leningrad, épargnée pendant le siège malgré la faim atroce qui tenaillait les habitants, mourra de sa belle mort en 1951

 

En regardant un documentaire sur le siège de cette grande ville du Nord de la Russie européenne, une idée a jailli de notre cerveau malade. En un peu moins de 900 jours, la ville a résisté aux assauts allemands, aux bombardements, et à un siège digne du Moyen-âge, la faim étant utilisée comme but de guerre. Au prix d’un sacrifice dantesque, la grande cité ne tombera pas, payant plus cher que Stalingrad (250 000 civils morts) et Moscou, relativement épargnée. Même si 480 000 soldats soviétiques mourront à Stalingrad, avec 250 000 Allemands, Italiens (lire ou relire Le Sergent dans la neige, de Mario Rigoni Stern), Hongrois et Roumains. 800 000 soldats soviétiques donneront leur vie pour Moscou, ainsi que 300 000 soldats allemands (et 900 000 blessés). Sans faire insulte aux combattants d’aujourd’hui, c’est pas la bataille de Kobané.

Leningrad connaîtra près de trois longues années de souffrances indicibles, avec un ravitaillement insuffisant, et 1 800 000 victimes, dont un million de civils.

Pourquoi cerveaux malades ? Parce que le centre de gravité de l’intérêt historique semble s’être déporté (hum) vers les morts juifs des camps d’extermination, alors que le nombre des victimes civiles de Leningrad dépasse les dernières estimations (ça varie en permanence) officielles des victimes juives des camps polonais, et même celles de Cloclo Lanzmann : 960 000 juifs à Auschwitz (les autres victimes comptant pour du beurre), 900 000 à Treblinka (ça oscille entre 750 000 et 1 200 000), 434 508 à Belzec (là tout le monde est quasiment d’accord, merci l’administration allemande de Hermann Höfle). On laisse de côté Sobibor et Chelmno, qui tapent en dessous des 300 000. Donc le camp d’extermination par le froid et la faim de Leningrad passe premier ! En plus, la comparaison, même si elle n’est pas raison, se fait sur une durée d’extermination sensiblement identique : 872 jours à Leningrad, de septembre 1941 à janvier 1944, et 840 à Auschwitz, de mai 1942 à octobre 1944 !

Au vu des commémorations et autres piqûres de rappel médiatiques, il est clair que le lobby des survivants de Leningrad, malgré le record dont il pourrait se gargariser, a 1000 ans de retard en matière de com sur le lobby des victimes juives d’Auschwitz !

(On a mis ce paragraphe à la fin en espérant que les gardiens du CRIF et de la LICRA ne liront pas jusque-là, mais on sait jamais. En tous les cas, tous nos chiffres sont Justes.)

 
 






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20 Commentaires

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  • #1227419
    Le 12 juillet 2015 à 23:05 par dede
    Inversion des valeurs toute !

    tolérance mot creux, on est d’accord, pourquoi ne tolèrent-ils pas ceux qui ont des valeurs ?

    Les photos sont très bien choisies :
    marionnettiste, on a vraiment l’impression que De Greff à la main derrière son dos...

    Bravo

     

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  • #1227427
    Le 12 juillet 2015 à 23:19 par Krissy59
    Inversion des valeurs toute !

    Excellent article.
    Avec ces petites touches de cynisme qui font mouche, comme je les aime.

     

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  • #1227530
    Le 13 juillet 2015 à 05:41 par tontonremi
    Inversion des valeurs toute !

    Quand j’étais petit à l’école on apprenait à penser. A partir de 68 comment penser (grille de lecture freudo-marxiste) et maintenant quoi penser (être Charlie).

     

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    • #1228034
      Le Juillet 2015 à 22:23 par MaxC
      Inversion des valeurs toute !

      Belle petite synthèse sous forme triptyque. Tu oublie néanmoins la conclusion : ne plus penser. Et on y est presque, avec les gens qui ont délaissé totalement la politique. Il ne veulent plus en entendre parler et ont accepté leur sort en se disant que de toute façon ils ne peuvent rien faire. Et eux sont plus nombreux que toute la dissidence réunie toutes tendances confondues. Flippant !

       
  • #1227531
    Le 13 juillet 2015 à 05:53 par tontonremi
    Inversion des valeurs toute !

    Ne pas tolérer l’intolérable, respecter l’irrespectable, boire l’imbuvable, manger l’immangeable.

     

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  • #1227579
    Le 13 juillet 2015 à 10:04 par Thibaud
    Inversion des valeurs toute !

    Vincent Crochon, dit Cassel, préfère DSK comme homme politique. La classe !
    Il viole une femme de chambre et ternit la réputation de Dodo la saumure.

     

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  • #1228857
    Le 15 juillet 2015 à 10:20 par SilverSpoon59
    Inversion des valeurs toute !

    Oh oui ! Démocranique moi et j’emplirai ton urne.

     

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  • #1228912
    Le 15 juillet 2015 à 11:40 par Gerard John Schaefer
    Inversion des valeurs toute !

    Vincent Cassel est un bon acteur.
    Il interprète les rôles qu’on lui dit d’interpréter.

    Il est talentueux.
    Pas au point d’être capable de se faire oublier, mais bon.

     

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  • #1229001
    Le 15 juillet 2015 à 13:44 par roberth
    Inversion des valeurs toute !

    Les marchands se mirent en colère légiférèrent entre eux et chassèrent les religieux du temple
    pour pouvoir vendre et louer père mère et enfants sans être critiqués par les nostalgique de la morale et du bon sens qui seront appelés fascistes d’extrême droite ils seront mis au ban de la société et montré du doigt par les adeptes de la nouvelle Sodome 2.0
    _ :-)

     

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  • #1229833
    Le 16 juillet 2015 à 10:25 par Christophe
    Inversion des valeurs toute !

    Très bon article, merci :)

    (même si toutefois j’aime bien Vincent Cassel, l’acteur. Voir "Sur mes lèvres")

    Aux lecteurs de E&R, si vous aimez le ton de ce texte je vous invite à lire ce livre, écrit par le (les ?) même auteur : http://www.kontrekulture.com/produi...

     

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  • #1230450
    Le 17 juillet 2015 à 04:05 par Sauve qui peut
    Inversion des valeurs toute !

    J’ai envie de reprendre un passage de Jacques Dumesnil dans " au plaisir de Dieu " de malheureusement d’Ormesson : la Tolérance : il y a des maisons pour cela !

     

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