Les agences de presse anglo-saxonne ont donné un large écho au directeur général d’Interpol qui aurait confirmé les liens secrets entre le président Hugo Chavez et les FARC. Or, observe Romain Migus, le rapport d’Interpol dit le contraire de ce que les agences de presse ont relayé : l’agence internationale de coopération policière a constaté que l’ordinateur d’un chef rebelle, saisi par l’armée colombienne, a été manipulé par elle en profondeur de sorte qu’il est impossible d’authentifier les documents qu’elle prétend y avoir trouvé. Étrange : au même moment, le témoin clé dans une autre affaire était extradé hors de Colombie avec les documents, authentifiés ceux-là, d’un autre ordinateur. Ils mettaient très gravement en cause le président colombien Alvaro Uribe.
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