Récemment, le couple ultrapopulaire formé par le brillant avocat Patrick Klugman et la tendre Caroline Yadan s’est pris d’interdire le mot « génocide » accolé à « Palestiniens ». C’est une excellente initiative qui clouera le bec aux milliards de témoins des exactions israéliennes dans l’enclave palestinienne. Patrick est interviewé par la folle d’i24.

« Quand je vois qu’on retourne le génocide contre Israël, je me dis on est en train de basculer, tout est retourné. Et je pense que si cette cérémonie, la commémoration de la rafle du Vel’ d’Hiv’ a un sens, c’était de rétablir les faits à l’endroit et précisément de le faire à l’endroit du Vel’ d’Hiv’. C’est ça que j’ai voulu dénoncer en m’associant à la proposition de Caroline Yadan de pouvoir réprimer les abus dans l’accusation de génocide au titre de la contestation du crime contre l’humanité. »

« Israël, c’est pas un génocide, c’est la réparation d’un génocide ! […] Israël, c’est pas un crime, c’est la réparation d’un crime. […] Ce qui se passe à Gaza n’est pas un génocide et vouloir le décréter comme génocide de manière obsessionnelle est une monstruosité. »

Pétition pour supprimer le mot Soral de toutes les conversations

Allons plus loin que Patrick & Caro : supprimons le mot Soral de toutes les conversations, qui surgit malheureusement un peu partout, malgré l’interdit imposé à tous les médias.

C’est ça qui est étonnant : on ne peut pas bloquer un mot, une idée. Tu les interdis ? Ils resurgissent ailleurs. C’est particulièrement vrai chez les jeunes, qui adorent faire chier les vieux cons. Et les vieux cons, aujourd’hui, ce sont les tenants des médias et de la politique, complètement dépassés par les libertés prises sur les réseaux sociaux.

C’est bien simple, il y a dix ans, on pouvait bloquer une conversation, un média, une personnalité. Aujourd’hui, le barrage, devant le tumulte des flots, est devenu impossible, une incongruité, ça dégouline de partout, il n’y a plus assez de personnel (de larbins) pour colmater les failles, c’est perdu d’avance.

Le CRIF et ses amis, ou ses obligés, ne peuvent rien contre le tsunami de réactions au génocide des Palestiniens opéré par le pouvoir militaire ultraraciste de Tel-Aviv. C’est même pas la peine de lutter, sinon dire qu’il fait beau quand il pleut, que le Hamas est responsable des 60 000 à 100 000 morts de Gaza, ou que seuls les soldats israéliens dans Gaza sont victimes de génocide...

Le mensonge israéliste est une mouche sur le cul d’éléphant de la réalité.