Sous l’impact des révolutions arabes, de plus en plus de partis d’opposition se rallient à l’idée que seule une révolution chassera Mikheïl Saakachvili du pouvoir.
La vague de protestation qui déferle sur le monde arabe a réveillé la scène politique géorgienne. Tout le monde parle de d’"égyptisation" et de "moubarakisation". Le Parti géorgien ’dans l’opposition) a développé une rhétorique particulièrement vive en parallèle à ce qui se passe en Egypte et en Lybie.
Selon son dirigeant, Levan Gatchétchiladzé, candidat à la présidentielle de 2008, la Géorgie doit se préparer au "scénario cairote", et le gouvernement s’employer à remédier de toute urgence à une série de problèmes clé [économiques et politiques], faute de quoi le Parti géorgien lui-même sonnera le début de la révolution.
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