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Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

Depuis 2012, Au Bon Sens et E&R ont pris soin de régulièrement vous informer sur les dangers du fluor (présent entre autres dans le dentifrice et le sel raffiné) et de ses dérivés perfluorés, notamment le Téflon, à travers plusieurs articles :
« Le fluor »
« Les dangers du Téflon »
« Le revêtement Téflon : mise au point »
« Les méfaits du sel raffiné »

 

En avril 2016, France 5 a décidé de « déclassifier » médiatiquement le dossier Fluor dans un documentaire d’Audrey Gloagen intitulé « Fluor, un ami qui vous veut du mal ». Jusqu’alors, les médias « mainstream » semblaient mal à l’aise vis-à-vis de ce sujet de santé publique, qu’ils avaient négligé pendant si longtemps, allant jusqu’à promouvoir la consommation du fluor dans de nombreuses publicités.

L’enquête d’Audrey Gloagen commence évidemment comme un polar, les journalistes aimant se mettre en scène en se donnant le beau rôle. Après un échange de SMS avec son « rédac » qui l’informe du danger du fluor, la journaliste décide d’aller exhumer les archives des aciéries Schneider du Creusot en Bourgogne et découvre un rapport « Pollution » de 1970 précisant que le fluor était utilisé pour faire fondre l’acier dans les hauts fourneaux et dégageait des fumées toxiques. Les fluoroses dentaires s’étaient développées dans la population environnante et les élevages de Charolais voisins.

 

Caries et fluoroses dentaires (sucre raffiné et dentifrice au fluor)

 

Parmi les dangers du fluor, la fluorose dentaire est l’une des pathologies les « moins graves » mais de plus en plus fréquente chez les enfants : des tâches inesthétiques sur les dents avec destruction de l’émail (qui rend le patient très sujet aux caries). Car la consommation du fluor s’avère toxique dès 1 mg par jour pour les enfants et 4 mg pour les adultes.

On le retrouve dans notre eau, nos dentifrices, nos poêles, nos sels, nos vêtements et sa toxicité inquiète désormais les scientifiques du monde entier.

« Un professeur connaît le fluor plus que quiconque pour en avoir fait l’objet de sa thèse. Anne-Marie Musset dirige l’un des plus grands pôles de chirurgie dentaire de France. À la faculté de Strasbourg, il lui arrive de voir régulièrement des problèmes d’intoxication au fluor. »

Elle conseille aux parents de réduire au maximum la quantité de dentifrice au fluor sur la brosse à dents de leurs enfants. En mars 2009, l’impression sur les boites de dentifrice au fluor de la dose « taille d’un petit pois » pour les enfants a été imposé par une loi. Le Pr Musset explique :

« Les fluoroses qu’on voit en France, dans 80% des cas, ce sont des enfants qui ont avalé du dentifrice à trop forte dose. »

Il s’agit de la fluorose humaine. Le fluor, ingéré à forte dose, entraîne de graves problèmes osseux et, à une dose moindre, provoque une fluorose dentaire : des traces horizontales et des taches brunes apparaissent sur les dents et l’émail est progressivement détruit.

 

 

Un poison embarrassant pour les multinationales

 

La société américaine Alcoa a connu dans les années 1930 un problème majeur avec le fluor. Tout comme Schneider en France, Alcoa génère des fumées toxiques en extrayant l’aluminium grace au fluor. Inquiète des risques de procès, Alcoa enquête à partir de 1931 sur des cas de fluorose dentaire autour de son usine de Massena dans l’État de New York. Dans un courrier interne, la société mentionne que de nombreux dentistes ont observé des cas d’émail tacheté sur les dents de leurs patients. La contamination des eaux inquiète notamment la société qui pourrait à terme voir des malades se retourner contre elle pour des problèmes de fluorose dentaire, de thyroïdite et d’arthrite. Selon deux spécialistes américains interrogés lors du reportage, dans et autour des usines, les cas d’empoisonnements se multipliaient et Alcoa avait besoin d’arguments pour se défendre face aux tribunaux et de faire ressortir les aspects positifs du fluor.

« La réponse à son problème, Alcoa va la trouver à l’Institut Mellon, un laboratoire de sciences appliquées de Pittsburgh que le géant de l’aluminium a lui-même créé pour servir les intérêts des industriels. L’institut a déjà été utile pour légitimer l’amiante, par exemple.
En 1935, un scientifique, Gerald Cox, y travaille. Il réalise une étude sur les dents en utilisant des rats de laboratoire. Un homme va sortir de l’ombre et venir à sa rencontre : il s’appelle Francis Frary, il est le directeur de recherche d’Alcoa et va fortement suggérer à Cox d’introduire la fluor dans son étude. »

Il s’agit d’identifier le rôle bénéfique du fluor sur les caries afin de compenser tous les autres aspects négatifs du produit. Gérald Cox reconnaîtra cette collusion lors d’une correspondance avec un historien en 1956.

« Le poison vient de devenir un remède. L’institut Mellon annonce quatre ans plus tard dans une revue scientifique que le fluor est probablement l’élément permettant aux dents d’être plus résistantes à la carie. (…) C’est ainsi qu’une petite manœuvre a fabriqué la grande histoire du fluor. Plus personne ne songera à la remettre en cause pendant des décénies. »

Après la Seconde Guerre mondiale, le fluor sera introduit dans de nombreux produits : eau potable, sel, chewing-gum, et bien sûr dans le dentifrice. La France ne sera pas en reste, puisqu’elle va prescrire du fluor aux nourrissons et aux enfants sous forme de gouttes dès la naissance ou de comprimés.

Il faudra attendre 2008 en France pour que le professeur Goldberg de l’université Paris 5 et plusieurs experts de l’Agence Française de Sécurité des Produits de Santé demandent progressivement aux médecins de faire machine arrière dans leurs ordonnances.

Dès 2012, dans son article dédié aux dangers du fluor, Au Bon Sens dénonçait la surconsommation de dentifrice au fluor par les enfants dans la prévention des caries et analysait même les causes réelles des caries enfantines :

« S’il y a donc un moyen efficace de faire diminuer les caries des enfants, c’est évidemment le remplacement des sucres raffinés présents partout par du sucre complet ou d’autres sucres naturels (fruits, miels, sirops végétaux). Il faut reconnaître que le fluor a un effet “anticarie”, mais celui-ci est largement surestimé par le monde médical. »

Au Bon Sens a d’ailleurs ajouté à son catalogue de dentifrices bio sans fluor un dentifrice pour enfants, et a toujours incité à la consommation de sucre complet (non-raffiné).

 

Le fluor dans l’eau

 

Au-delà des instances médicales, les autorités sanitaires, elles aussi, semblent avoir manifesté un certain « laisser-faire ».

Il y a quelques années, Alexandra Thebault, une habitante de la région bordelaise, a tiré la sonnette d’alarme. Cette mère de famille a réalisé que pendant des années, en remplissant ses bouteilles à l’eau du robinet, sa famille avait bu cette eau non-conforme sans avoir été mise en garde et que sa fille avait développé une fluorose dentaire de stade 2. Elle a néanmoins échappé au pire : une vingtaine d’études à travers le monde indique aussi que l’eau fluorée peut entraîner des retards neurologiques chez les enfants.

« Présent à l’état naturel dans la roche des sous-sols, le fluor contamine l’eau au-delà de la limite réglementaire. »

Depuis longtemps, dans la région de la famille Thebault, le Syndicat des eaux délivre une eau non-conforme qui dépasse régulièrement le seuil de 1,5 mg/L pour les enfants. Pourtant, jusqu’en 2010, les habitants ont reçu des bilans de qualité des eaux n’indiquant aucune mise en garde.

L’agence régionale de santé n’a pas alerté les mairies et les familles concernées. Et surtout, elle n’a pas été en mesure d’imposer au Syndicat des eaux ses propres normes pour éviter le dépassement des taux de fluorure dans l’eau.

En France, selon le ministère de la Santé, de l’eau non-conforme en matière de fluor a déjà été distribuée au moins une fois dans 22 départements.

 

 

Fluor et sel de table

 

À défaut de s’intéresser à la complémentarité commerciale fluor-sucre raffiné mise en place par les industriels, le documentaire souligne tout de même le cas problématique du « sel de table ». Car les sources d’intoxication peuvent être multiples : dentifrice, eau minérale, eau du robinet, mais aussi sel de table (iodé et fluoré). « Et très vite, on peut déposer la dose maximale recommandée. » Les dentistes compétents, comme le professeur Anne Musset, sont donc désormais obligés de faire des bilans d’apport fluoré avec leurs patients pour examiner les eaux courantes ou minérales, les sels de table et les dentifrices qu’ils consomment.

Sur Au Bon Sens, le sel fin de Guérande est non raffiné et sans fluor. Il est également disponible en gros sel ou en fleur de sel.

 

Le fluor et le thé

 

Les aliments aussi sont concernés par la présence dangereuse du fluor.

À l’université de Derby en Angleterre, les chercheurs Paul Lynoh et Aradhana Mehra ont découvert que le thé de grande consommation (discount ou marque distributeur) contient beaucoup plus de fluor que les autres : 6 thés sur 10 dépassent le seuil de 4 mg de fluor par adulte et par jour, pallier au-delà duquel notre santé est menacée.

« Les thés noirs et purs contiennent en moyenne 2 mg de fluor par litre. Les thés bleus Oolong, qui sont aussi des mélanges purs, ont une valeur comparable. Les mélanges de thés noirs vendus par les pincipales grandes marques contiennent entre 3 et 4 mg de fluor par litre. Le thé vert a des valeurs très comparables. Mais les mélanges de thés noirs à bas prix, ceux des marques distributeurs, ont un taux de fluor très élevé, entre 5 et 8 mg/L. »

Pourquoi trouve-t-on plus de fluor dans les thés à bas prix ? La raison réside dans la manière dont le thé est récolté : pour faire du thé à bas prix, les fabricants utilisent une technique de récolte mécanisée, récoltant les feuilles du haut et les bourgeons mais aussi les feuilles les plus basses et les plus matures, qui sont les plus chargées naturellement en fluor.

« Chez les buveurs de thé anglais, mais aussi américains, plusieurs études ont révélé des cas de fluorose osseuse, une maladie où le fluor se met à prendre la place du calcium. Les os deviennent alors fragiles, se cassant sans raison. »

Au Bon Sens propose des thés et infusions BIO, où le taux de fluor est minimal.

 

Les perfluorocarbures (PFC)

 

Les PFC sont des substances chimiques truffés de fluor. Utilisés pour leurs propriétés imperméabilisantes, ils composent de nombreux produits des filières du textile. Mais ils provoquent des maladies bien plus graves que la fluorose.

« Greenpeace a lancé un cri d’alarme. Associé au carbone et manié chimiquement, le fluor s’avère extrêmement dangereux. Les scientifiques de Greenpeace sont allés dans les coins les plus reculés de la planète pour prélever des échantillons, et partout ils ont trouvé des PFC. Un composé fabriqué dans des usines disséminées dans le monde entier. Durant le processus de production, ces particules microscopiques contaminent les cours d’eau mais elles se dispersent aussi sous forme de gaz ou de particules fines. Elles voyagent avec le vent et finalement reviennent sur terre. »

En 2013, les PFC ont été identifiés comme substance dangereuse prioritaire par l’Europe. L’activiste de Greenpeace et ancien chimiste Manfred Santen explique :

« Ces composants s’accumulent. Cela veut dire qu’ils restent dans le corps. Ils vont dans nos organes (comme les reins ou le foie) et ils y restent pendant plusieurs années. »

Manfred Santen a examiné une quarantaine de produits (duvets, veste de sports…) afin d’y détecter ces composés dangereux. Résultat : seuls 4 ne contenaient pas de PFC. Même les boites de pizzas peuvent en contenir afin que la pizza se décolle plus facilement...

 

 

L’épopée Du Pont de Nemours

 

Pour les besoins de son documentaire, Audrey Gloagen s’est également rendue à Parkersburg, en Virginie, aux États-Unis. Cette petite ville a la particularité d’accueillir le plus grand site de production du monde de l’entreprise DuPont (de son nom complet « E.I. du Pont de Nemours & Cie »), le géant de la chimie qui, grâce aux PFC, a notamment inventé le très célèbre Téflon.

« Derrière l’argument commercial de la poêle qui n’attache pas se cache une tragédie. Pour produire le Téflon, Dupont de Nemours a utilisé pendant plus de 50 ans un composé perfluoré bien particulier, le PFOA (appelé aussi C8), émettant des fumées toxiques, contaminant les cours d’eau et l’eau potable de toute la région. »

De nombreux habitants de Parkersburg sont tombés malades. « En 2005, 70 000 personnes ont été invitées à faire des analyses. L’étude a révélé que le PFOA était présent dans leur sang et souvent à fortes doses. » À l’issue de cette étude, le professeur Savitz, épidémiologiste à l’université Brown, et ses collègues ont rendu leurs conclusions. Il existe un lien entre l’exposition au PFOA et les problèmes de santé relatifs à 6 maladies : cardiaques sous plusieurs formes, le cancer du rein, le cancer des testicules, des troubles de la thyroïde, la colite ulcéreuse (maladie des intestins) et la prééclampsie (hypertension durant la grossesse). Une action collective a été menée contre DuPont.

« DuPont connaissait les dangers des PFC, et même depuis fort longtemps.

En 1945, les Etats-Unis viennent de larguer la première bombe atomique sur Hiroshima. Quelques années plus tôt a été lancé le Manhattan Project : un projet classé secret défense, chargé de construire des usines dans tout le pays pour produire la bombe. Des ingénieurs y ont trouvé le moyen d’enrichir l’uranium grace au fluor. Une substance extrêmement corrosive pour laquelle l’aide d’un industriel va s’avérer précieuse : DuPont et son Téflon à base de PFC. 

Christopher Bryson (journaliste) : “Le fluor était essentiel à la fabrication de la bombe atomique. D’énormes quantités de fluor ont été transportées avec l’uranium sous la forme d’un gaz appelé l’hexafluorure d’uranium. Et ce gaz était utilisé pour séparer la fraction explosive de l’uranium de sa fraction non-explosive. Ils avaient besoin de camions et de citernes qui pouvaient résister à la puissance corrosive des gaz fluorés. Ils avaient trouvé quelque chose qui soit capable de protéger les métaux de l’influence corrosive du fluor : c’était le Téflon. Donc l’expertise de DuPont en matière de fluor était en fait l’arme secrète qui a permis aux Etats-Unis de construire la bombe atomique.”

Dans son laboratoire Jackson dans le New Jersey, DuPont a en effet inventé le Téflon quelques années plus tôt. Les employés vont ensuite y travailler secrètement pour le Manhattan Project. Mais de sérieux problèmes médicaux apparaissent là où l’on manipule les composés perfluorés.

Dans un document récemment déclassifié datant de novembre 44 et envoyé au Colonel Warren, le chef du Manhattan Project, l’armée s’inquiète de voir l’affaire s’ébruiter : “Certains de ces hommes sont clairement des travailleurs indésirables sur ce projet particulier, ils font passer le mot qu’être transféré dans cette zone revient plus ou moins à un exil sur ce qu’ils appellent l’île du Diable.”

Christopher Bryson : “Les délégués syndicaux et les travailleurs eux-mêmes étaient terrifiés car y avait tant d’accidents qu’ils avaient peur de manipuler ces produits chimiques. Il y avait des morts, de terribles brûlures. Il y avait une forte exposition à ces produits. DuPont savait bien à quel point le produit chimique qu’ils utilisaient pendant la Seconde Guerre mondiale était dangereux.”

Depuis l’eau a coulé sous les ponts et le Téflon a fait le bonheur des ménagères. Et puis un jour, des études ont démontré que les poêles de cuisson dégageaient des vapeurs toxiques à hautes températures. »

En 2012, Au Bon Sens avait dénoncé le Téflon de DuPont et la multinationale avait immédiatement réagi par l’intermédiaire de ses avocats.

Pour faire la cuisine sans risquer votre santé et celle de vos proches, Au Bon Sens vous propose des poêles de cuisson sans Téflon.

 

Du fluor dans le sang

« Les PFC sont partout : dans nos poêles, nos couettes, nos moquettes, dans l’air, dans les cours d’eau. Selon une étude des autorités sanitaires, 98% des Américains ont des composés perfluorés dans le sang. Et nullement besoin d’avoir des usines à proximité pour être contaminé. »

Aujourd’hui, même si les ONG comme Greenpeace se mobilisent contre les PFC, même si des recours collectifs sont lancés à l’encontre de DuPont, même si des marques comme Adidas renouvellent leur stratégie marketing en lançant des collections sans PFOA et même si plusieurs pays demandent que le PFOA soit définitivement banni, les industriels ont déjà remplacé le PFOA par d’autres composés perfluorés pour contourner la future interdiction.

 

Le documentaire Fluor, un ami qui vous veut du mal :

 

Découvrir les produits sans fluor d’Au Bon Sens :

 






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43 Commentaires

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  • #1561842
    Le 21 septembre 2016 à 09:46 par nuri
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Personnellement, je n’ai pas un avis totalement arrêté sur la question du fluor.

    Le fluor, en tant que tel, est effectivement un poison pour le corps humain.
    Dans le dentifrice, le fluor est présent en tant que fluorure, c’est-à-dire associé à d’autres éléments comme le phosphate ou le sodium au sein d’une même molécule.

    Par comparaison, le chlore est également un poison. Pourtant, j’en ingurgite tous les jours des quantités non négligeables sous forme de sel de table (chlorure du sodium).
    En restant dans les limites du raisonnable, personne, à ce que je sache, ne s’empoissonne en mangeant du sel. Et pourtant, c’est du chlore qui est là-dedans !!!

    Alors... Que faire ?!? Qui croire ?!?

    Pour autant, je suis contre la fluorisation de l’eau du robinet. Par contre, pour le dentifirice, je pense effectivement qu’une minéralisation douces des dents peut les renforcer contre les attaques bactériennes (caries).

    Ca ne veut pas dire qu’il ne faut pas surveiller son alimentation (sucre, etc...).

    J’ai moi-même fait l’impasse sur le flurorure dans le dentifrice pendant plus de 6 ans. Résultats : j’ai à nouveau des caries, certes très légères, mais des caries quand même.

    Depuis quelques semaines, j’ai racheté un dentifrice avec fluorure.

    Et... Tout comme l’écrivait un autre intervenant : c’est la dose qui fait le poison.

    Est-ce que des personnes plus éclairées sont capables d’expliquer le cheminement du flurorure dans le corps humain ?
    Est-ce que la molécule est décomposée ?
    Que se passe-t-il dans le cas du sel de table, le fameux chlorure de sodium ?

     

    Répondre à ce message

    • #1561991
      Le Septembre 2016 à 14:52 par envolée_des_incultes
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      Cela ne dépend-t-il pas du fluorure ?
      .
      voir : http://www.inrs.fr/dms/ficheTox/Fic...
      .
      " Distribution chez l’animal : Après absorption, l’ion F est transporté par le sang, 75 % dans le plasma dont la moitié fixée aux molécules organiques, en particulier les acides gras, et 25 % fixés aux
      globules rouges. Il se distribue dans tous les tissus, passe la barrière placentaire et atteint le foetus. Il est séquestré dans les os et les dents par incorporation dans la
      structure après échange avec des groupements hydroxyles ; cette fixation représente environ 50 % du fluorure absorbé. Elle est plus importante chez les personnes jeunes et les plus âgées que chez les gens d’âge moyen. La demi-vie plasmatique chez l’homme est de 2 à 9 heures.
      Elimination chez l’animal : La voie majeure d’élimination est l’urine, par filtration glomérulaire rénale ; une réabsorption peut survenir dans les tubes rénaux. Il existe une excrétion mineure
      dans les fèces, la salive et la sueur. Après arrêt de l’exposition, le fluorure stocké dans les os est relargué et éliminé avec une demi-vie de 8 à 20 ans chez l’homme.
      .
      Mais la plus grande arnaque ne vient-elle pas du dogme selon lequel, en se brossant les dents régulièrement, on éviterait les caries ?
      .
      Les caries prennent leur source, non pas à l’extérieur de la dent, mais à l’intérieur.
      .
      Les bactéries arrivent par voie sanguine d’abord. Elles se retrouvent dans un cul de sac ( la dent ), et à partir de là, elles vont commencer leur travail de destruction de la dentine.
      .
      Quand elles arrivent à l’émail, c’est qu’elles ont colmaté les voies d’approvisionnement en nutriments de la dent, qui ne peut plus se défendre et ni se régénérer. Le brossage régulier ne changera rien ... La carie est la partie visible de l’iceberg.
      .
      Il convient de remonter les flux et d’aller chercher la cause première au niveau du cœur, du foie, des intestins et colons, puis des habitudes de vies et des antécédents familiaux. Voir les niveaux de vitamines et acides aminés, notamment la vit. C et la D.
      .
      Si votre foie est squatté par des bactéries productrices d’acide gras ( bactéries lactiques pour la plupart ), vous aurez des caries, peu importe le brossage de vos dents.
      .
      Et si j’en crois l’augmentation des pratiques qui consistent à se faire blanchir les dents, beaucoup de personnes sont concernées, car le jaunissement des dents résulte de la présence d’acide lactique ( produit jaune pale ).

       
    • #1562505
      Le Septembre 2016 à 09:25 par nuri
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      @ envolée_des_incultes

      merci pour votre réponse !
      Voilà une base pour commencer à réfléchir serainement.

      Pour la formation des caries, j’ai quand même un doute :

      Les petites caries que j’ai actuellement sont très clairement des attaques à la surface des dents (au niveau des gencives, à l’endroit où la plaque dentaire est la plus importante), très peu profondes et pour l’instant, sans grande conséquence.

      Je ne suis pas de l’avis que le brossage des dents soit inutile.
      Mais, comme vous le précisez, je ne pense pas que seul le brossage des dents soit capable d’empêcher la formation des caries. Je pense également que l’alimentation ainsi que le bagage génétique jouent un grand rôle dans la prévention.

       
    • #1562631
      Le Septembre 2016 à 12:24 par envolée_des_incultes
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      @ nuri
      .
      Bonjour, je n’ai pas écrit que le brossage était inutile. J’ai voulu faire passer le message suivant : si vous avez un microbiote particulier qui colonise votre foie, et donc votre cœur à terme, vous aurez des caries, peu importe que vous vous brossiez les dents ou pas. Par conséquent, dans ce cas, la mesure de prévention ou de correction, ça n’est pas le brossage, c’est l’antibactérien systémique.
      .
      L’huile essentiel d’arbre à thé ( 5 à 10 gouttes sur la brosse à dents ) fait très bien le travail d’antibactérien localement. En bain de bouche, après brossage, ça fonctionne aussi très bien puisque les particules aromatiques vont pénétrer dans la dent et aller faire le ménage en profondeur, là où jamais aucune brosse ne pourra aller.
      .
      Si vous avez lu "Le parfum" de Patrick Süskind , vous savez que les particules aromatiques sont "piégées" par le gras. Et comme les bactéries à l’œuvre dans le processus carieux produisent du gras, la périphérie des colonies bactériennes est riche en gras que les particules aromatiques au pouvoir antibactérien atteindront sans problème.
      .
      Plus que le profil génétique, c’est le profil du microbiote que l’on reçoit des parents qui sera déterminant dans le processus carieux.
      .
      Enfin, le fait que les caries se développent à la base de la dent n’exclue pas le fait que des bactéries logées dans la dent soient à l’œuvre. Extérieurement, cet endroit est riche en nutriment, bien plus que le haut de la dent, puisqu’il forme une sorte de retenue, une rigole, piégeant des aliments. Si des bactéries sont logées dans les dents, elles vont naturellement aller chercher les nutriments dont elles ont besoin et se développer là ou il y en a le plus : racine des dents, sillons. La colonisation bactérienne suit les mêmes règles que celle de la colonisation humaine, elles suivent les flux et se développent aux ressources.
      .
      Le brossage classique apparait alors, non pas comme une mesure directement antibactérienne, mais comme un nettoyage privant les bactéries de ressources nécessaire à leur épanouissement. Une brosse à dent avec juste de l’huile essentielle d’arbre à thé, ça fait le travail bien mieux qu’avec du dentifrice chargé de particules abrasives et nocives, car le pouvoir antibactérien de cette huile est démontrée, sa diffusion aussi. Un retour de la blancheur des dents se verra au bout de quelques semaines/mois, selon les individus et le temps de contact des dents avec l’huile.

       
    • #1562994
      Le Septembre 2016 à 21:01 par envolée_des_incultes
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      Si le brossage est devenu nécessaire, c’est parce qu’on nous fait bouffer de la colle à base d’amidon et du sucre à foison. L’amidon, c’est fait pour les oiseaux qui eux n’ont pas de chicots, est-il besoin de le rappeler ? Par ailleurs, ils ne "croquent" pas la graine, mais l’avale directement. Nous, on la réduit en poudre, puis on mâche le produit, histoire de bien incruster les interstices de colle ...A partir de là, faut pas s’étonner en bouffant des sandwichs, des pâtes, des pizzas, du pain, à retrouver de la plaque dentaire qui perdure dans les angles morts, au niveau des racines et de la gencive ou entre les dents. Idem dans les intestins.
      .
      Parmi les bactéries à l’origine des caries, nous trouvons la famille des streptocoques à propos desquels la théorie en vogue révèle que leur dissémination et leur importance à travers le monde est apparue avec la généralisation des cultures céréalières, durant la grande époque égyptienne. Ils ont favorisé l’émergence de ce pathogène que l’on se traine désormais avec la toxoplasmose.( (ces nigauds avaient déifié les chats, porteur de la toxoplasmose, pour protéger leur blé ). La nécessité de la circoncision a suivi.
      .
      Quand notre régime alimentaire était sain et basé sur des protéines et sucres en petites quantité, nos chicots ne nécessitaient pas de brossage, en témoignent les cranes d’époques lointaines dont la dentition parfaite est sans carie. La salive et l’eau de boisson suffisait largement à l’entretien de la bouche.
      .
      En mangeant un aliment végétale cru, nous obtenons l’énergie qu’il contient et les défenses qu’il a développé pour lutter contre les bactéries qui voulaient le bouffer. Les céréales ont choisi une stratégie de défense qui consiste à tenir les fruits hors de portée des bactéries, très haut du sol, et pendant très peu de temps. La plante est très faible comparée à d’autres qui sont là à l’année et poussent dans des milieux riches en prédateurs bactériens, donc les producteurs sont obligés de déverser des tonnes de produits pour protéger le blé. Les plants poussent pratiquement en milieu aseptisé. Si on bouffait des trucs qui savent pousser dans des milieux fournis en bactéries et pathogènes sans se faire dévorer par eux, peut-être aurions nous moins de problèmes ?
      .
      Une vraie politique de santé publique commencerait par virer l’essentiel des champs de céréales.

       
    • #1563210
      Le Septembre 2016 à 07:18 par nuri
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      @ envolée_des_incultes

      A propos du brossage, c’est effectivement aussi mon avis : il est nécessaire du fait de l’alimentation.
      Au passage, merci pour le tuyau avec l’huile d’arbre de thé. Je vais m’en procurer et, comme d’habitube dans le doute (même si la fiche toxicologique de l’INRS ne porte pas sur le fluorure d’amines), remettre le dentifrice fluoré au placard.

       
    • #1581086
      Le Octobre 2016 à 23:23 par Agrippa
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      Bonjour,

      Pour répondre à votre questions sur le sel, je vous propose une petite vidéo de Thierry Casanova

      https://www.youtube.com/watch?v=u7r...

       
  • #1561884
    Le 21 septembre 2016 à 11:31 par Brnard
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Il n’y a pas plus de saloperies dans les dentifrices que dans les déodorants, mousses à raser, eaux de toilette, chewing-gum, sodas, bonbons, ustensiles en plastique...
    Quand vous allez faire le plein à la station service, vous respirez une certaine dose de benzène qui est extrêmement cancérigène et génotoxique.

     

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  • #1561889
    Le 21 septembre 2016 à 11:43 par Victor
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    On veut faire de nous des "crétins des Alpes" !

     

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  • #1562046
    Le 21 septembre 2016 à 16:26 par Gabriel
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Je fais partie des gens à qui on a fait bouffer du fluor en comprimés au début des années 90. De tout petits médocs au gout légèrement mentholé, comme le dentifrice en fait. Ma mère (qui nous a pourtant super bien éduqués niveau alimentaire avec mon frère, et qui se méfiait instinctivement de tous pleins de saletés présentées comme bonnes à l’époque et qu’on sait nocives aujourd’hui), elle même médecin, avait suivi "bêtement" les conseils des sachants du moment et est tombée dans le panneau.
    Résultat : comme d’autres copains d’école de ma génération (86), j’ai quatre belles taches blanches bien visibles sur les incisives, et une dentition en assez mauvais état (c’est aussi génétique dans mon cas). Mais beaucoup de problèmes de caries pendant l’enfance...
    ...Y’a ptet moyen de monter une "class action" et de gratter un petit billet, non ?

     

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  • #1562096
    Le 21 septembre 2016 à 17:25 par Nicolas Now
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Bonjour, ce qui protège les dents avant tout c’est d’avoir une alimentation intégralement naturelle et de bonne qualité.
    Lire "Nutrition and physical degeneration" de Weston Price.
    Cdt.

     

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  • #1562146
    Le 21 septembre 2016 à 18:40 par Vlad
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Le dentifrice n’est de toute façon pas nécessaire, c’est dire à quel point on nous dresse à être dépendant de choses totalement inutiles. Et rien à signaler sur ma dentition d’après mon dentiste.
    Bien les brosser après chaque repas c’est ça qui fait le boulot. Et évidemment, ne pas manger n’importe quoi va aider.
    On peut même se passer de shampoing en utilisant des recettes maisons (je n’ai pas testé ça mais nos ancêtres se débrouillaient bien sans ces trucs).

     

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  • #1562163
    Le 21 septembre 2016 à 19:01 par michel amm
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Il n’y a pas du fluor que dans l’eau et le dentifrice.

    Il y a du fluor dans les médicament antidépresseur suivants :

    Citalopram
    Nom commercial : Celexa, Cipramil, Seropram
    (RS)-1-[3-(Dimethylamino)propyl]-1-(4-fluorophenyl)-1,3-dihydroisobenzofuran-5-carbonitrile

    Paroxétine
    Nom commercial : Deroxat, Paxil, Seroxat
    (3S,4R)-3-[(1,3-benzodioxol-5-yloxy)méthyl]-4-(4-fluorophényl)pipéridine

    Fluoxetine
    Nom commercial : Prozac
    N-methyl-3-phenyl-3-[4-(trifluoromethyl)phenoxy]propan-1-amine

    Ces médicaments contenant du fluor sont des neurotoxiques. Les gens qui prennent ces médicaments se détruisent le cerveau.

    On comprend bient que le fluor les "calme", en fait cela les transforme en zombies petit à petit.

    Evitez à tout prix les anti-dépresseurs, ceux avec fluor et aussi ceux sans fluor.

    Comprenez que des groupes de personnes vous empoisonnent sciemment pour mieux profiter de vous.

    Il n’est pas possible que les médecins ne soient pas au courant de cela, sauf les médecins "idiots utiles" que le système a laisser passer lors des examens de médecine.

     

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    • #1562553
      Le Septembre 2016 à 10:31 par Castanietzsche
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      Le fluor incorporé dans les molécules organiques est extrêmement bien fixé et ne se détachera pas dans votre organisme, promis : )
      Il sert d’ailleurs à ça : il prend la place d’un atome d’hydrogène (le fluor et l’hydrogène ont le même volume, c’est très contre-intuitif) pour renforcer la molécule et l’empêcher de se faire métaboliser, et donc augmenter sa demi-vie dans l’organisme.

      La fluoxétine (Prozac) est un inhibiteur de la recapture de la sérotonine. Elle active indirectement le récepteur 5HT-1A des cellules granulaires du gyrus denté. Ces neurones produisent alors des facteurs neurotrophiques comme BDNF et VEGF, ce qui induit la neurogénèse, la création de nouveaux neurones, ce qui aurait un effet antidepresseur.

      Arrêter brutalement un traitement à la fluoxétine, c’est prendre le risque de faire mourir ces nouveaux neurones par ischémie, ce qui formera des déchets dans le l’hippocampe. Et ce n’est pas génial pour la mémoire à long-terme.

      Donc évitez la fluoxétine, mais pour d’autres raisons que l’atome de fluor ^_^

       
  • #1562307
    Le 21 septembre 2016 à 23:11 par john mac craft
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Le fluor, en plus d’être un neurotoxique a aussi une action peu connue.
    Il crystalise la glande pinéale. Cette glande dont la fonction officielle est peu explicitée mais qui a un rapport avec :
    - l’intuition
    - les perceptions extra sensorielles (bien connues chez les aveugles par exemple)
    - les perceptions liées au magnétisme (guérisseurs etc)
    - les perceptions liées à la télépathie...

    C’est le 6e chakra qui est partiellement neutralisé sous l’influence du fluor...
    Sur le plan énergétique et sur le plan de nos perceptions sensorielles et extra-sensorielles, le fluor est une catastrophe qui empêche toute évolution, tout ressenti. Ne pas oublier que nos élites sont calées en ce qui concerne l’ésoterisme et qu’elles trippent à fond sur tout ce qui peut nous déconecter de notre nature profonde.

     

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    • #1562481
      Le Septembre 2016 à 08:59 par Shantimantal
      Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

      C’est bien de s’intéresser à « notre nature profonde », quand on en saura plus on pourra écrire des rouquins, réaliser des vidéos, faire réaliser des tee-shirt, des tongues, des portes-cléfs, des stylos, des autocollants et un tas articles en tout genre à l’éfigie de « notre nature profonde ».

      Plus besoin de bon de commande... Hop, hop, hop tout passera par la case télépathie. Fini les fouineurs de fonds de poubelles, vu que grâce à elle plus de secret à préserver. Les transactions ne seront plus de banque à banque, mais d’esprit à esprit sans l’intermédiaire pourri qui s’en fout plein les poches. Les petits gestes simples remplacés par les grands mouvements psychiques. Fini les factures d’énergie avec TVA et taxes sur TVA, la glande pinéale chauffera l’intérieur de la maison, fera couler l’eau courante et actionnera le tout à l’égout.
      Terminé le règne des exploiteurs en rollex, même les éboueurs percevront la prime à la dignité enfin d’amnée et plus à la Saint Glinglin, sans avoir (comptable) à lécher les bottes de sa majesté et de sa cour de fidèles larbins.

      Voilà pourquoi il est urgent de se déboucher le chakkra, n’hésitons pas à user de Destop anti calcaire, en se souvenant bien que la notice d’utilisation préconise de se rincer l’oeil à l’eau clair, voire àl’eau de source, abondamment.

       
  • #1565034
    Le 25 septembre 2016 à 16:41 par Folio
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Bon je vais y aller de mon expérience personnelle :) ne me jugez pas !!!

    Quand j’étais enfant puis adolescent je ne me lavais [jamais] les dents, ou presque. C’est à dire que je me lavais les dents une fois tout les... six mois maximum, cependant je n’avais jamais de caries et pourtant j’en bouffais du sucre raffiné liquide ou solide. Quand je me lavais les dents... au dentifrice ultra fluoré de la pharmacie, j’avais des inflammations dans la bouche et des douleurs durant des jours alors que je ne n’avais jamais de douleur le reste du temps. Après dix ans sans aller voir de dentiste j’ai décidé quand même d’aller y faire un tour et alors que le dentiste s’attendait à un champs de guerre buco-dentaire, j’avais selon lui, une excellente dentition avec seulement trois caries à traiter.... 10 ans, 20 brossages de dents, un max de sucre = 3 caries . Maintenant je me brosse les dents tout les jours avec ce dentifrice 1mg de Fluor de la pharmacie pour avoir une dentition bien propre et socialement satisfaisante et je passe mon temps chez le dentiste à faire soigner des caries et dévitalisé des dents.

     

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  • #1565371
    Le 26 septembre 2016 à 00:42 par Bramapoutre
    Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

    Un lien de l’ANSM qui vaut ce qui vaut :

    http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/...

    Dedans y’a aussi un paragraphe sur la qualité de l’eau en France en ce qui concerne le fluor, car la carte de 2012 sur la qualité bactériologique de cette article est un peu hors de propos.

    Enfin Anne-Marie Musset en bon dentiste ne rejette pas l’utilisation du fluor dans les dentifrices mais elle met en garde contre un surdosage lors du brossage.

    Sinon ya aussi du fluor dans les chemtrails !

     

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