Affaire – Dieudonné contre appareil d’état.
Chasse à l’homme en bande organisée, par une meute médiatique pro-système contre un humoriste opposant politique.
Aujourd’hui plus de Loubianka ou de caserne militaire pour des disparitions argentines, les dites « démocraties » ont d’autres moyens pour faire taire les opposants véritables.
La chose consiste à « pourrir la vie » du résistant, taper ses revenus, le priver de boulot, inquiéter ses relations et le « traiter » médiatiquement en forme de diable méprisable tout en lui mettant les polyvalents des impôts sur le dos. Et cerise sur le gâteau pourquoi pas un petit scénario en forme d’histoire de mœurs comme Julian Assange.
Combien de « lanceurs d’alertes » sous la Cinquième république dite « démocratique » ont subi ce traitement par les « officines » du pouvoir en place : Scientifiques, journalistes honnêtes, médecins, agriculteurs, spiritualistes, écrivains, tout opposant réel réduit au mutisme dans un silence assourdissant ?.
Dieudonné dans la circonstance a par chance un grand soutien populaire et un peu de puissance financière pour payer ses avocats, assurer sa sécurité personnelle après les différentes agressions physiques qu’il a subi (en Martinique) quasi instantanément après son sketch chez Fogiel.
Le pire est toujours l’atteinte à l’honneur des individus, après une campagne d’avilissement d’image par des médias aux ordres de ceux qui financent, (Complexe militaro bancaire et état par les subventions à la presse) difficiles de remonter la pente même si on gagne ses procès des années après, le mal est fait dans « l’opinion publique », dans la tête normalisée du bobo ou de la bobote, « Madame je sais tout, tout en ne sachant rien » qui par la suite revotera sagement pour le « camp du bien ».
« Dieudonné combien de Panzerdivisions ? »
Non pas, mais condamné pour une chanson ( un peu, rire bêbête certes), mais chanson calembour vécue par la kommandantur comme un blasphème suprême à la religion de l’empire Davidien.
« Tu me copieras cent fois je ne dirais plus, je n’écrierais plus, je ne chanterais plus « chaud l’ananas… » Pathétique justice du « mur des cons » où figurait en bonne place le portrait punaisé de Dieudonné avec toutes les têtes du moment à faire tomber, dont celles de parents d’enfants assassinés.
Les photographies jetées en pâture de jean Pierre Escarfail, père de Pascale, violée et tuée par Guy Georges, et celle de Philippe Schmitt, père d’Anne-Lorraine Schmitt, assassinée en 2007 dans le RER.
Tout cela est bien triste….. Mais la roue tourne, tombent les empires.
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