Même si il est difficile de faire dire autre chose au discours et aux images de cet homme.
Pas vrai. Les images ET le discours ont été manipulées dans ce cas spectaculaire. Les mains rougies de sang notamment, qui n’apparaissent pas sur toutes les images de la même scène. D’ailleurs, quid des passantes qui ne sont pas effrayées, de la voiture dans le poteau, de l’identité de la personne qui filme (agent anglaise), etc. Tu conviendras qu’on peut crier au complot quand il y a autant de bizarreries et que les merdias s’entendent pour ne pas les relever, au profit d’une version de western africano-intégristo-musulmenteur.
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Pour ce qui est du Parisien. Je leur pisse au cul. Aujourd’hui ce sont eux qui emploient le conditionnel, demain un autre. Il n’empêche que ce journal ment et fait où on lui dit. Mais, surtout, ce que je déplorais c’est l’allégation cynique et arrogante du journaliste concernant le lien entre la fausse couche et l’agression. Ta femme enceinte se ferait agresser (peu importe par qui, une ordure dans tous les cas), tu ne ferais aucun lien avec la fausse-couche qui suivrait ? Allons.
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Bref, si elle ne s’est pas fait agresser et qu’elle a perdu son enfant juste pour donner du crédit à son mensonge, c’est une cinglée bonne à enfermer. Bizarrement, j’ai moins de mal envisager une cause qui ne dépendrait pas de sa volonté en ce qui à trait à la perte malheureuse de son bébé.
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La pseudo retenue, neutralité, objectivité du journaleux, ici, ne vise en aucun cas à montrer sa volonté de faire son métier correctement mais plutôt de convaincre insidieusement que la femme est une menteuse et une affabulatrice. Quelle belle objectivité ! Mais le bébé est bien mort, lui. Finalement, je m’attendais presque à entendre parler le plumitif de syndrome de Münchausen ; un petit manque de culture morbide peut-être.