La vérité historique de la shoah importe peu aux auteurs de la loi Fabius-Gayssot ; l’important pour eux est
1 la position de victime éternelle et exclusive, qu’elle donne à la communauté juive*,
2 la culpabilité du plus grand péché de l’Histoire, qu’elle induit chez les goyim à travers les média et l’éducation nationale,
3 l’utilisation de cette position et de cette culpabilité : suspicion d’antisémitisme qui pèse sur toute démarche critique vis à vis d’un membre de cette communauté ou vis à vis de l’état d’Israël et son comportement terroriste, justification du vol de la Palestine, passe-droits européens, etc
4 enfin d’abaisser le seuil au-delà duquel le législateur dit qu’il y a action ou propos « antisémite » ; retour à la case 1 et ainsi de suite...
Le plus grand tort que la Résistance Nationale puisse se faire à elle-même est de se laisser entraîner dans ce débat secondaire** (la shoah) où des chiens de garde guettent le propos distrait qui ne dirait pas le fond de notre pensée mais tomberait sous le coup de La Loi. Notre combat principal vise le libéralisme et protège notre souveraineté nationale. Le Système refuse de nous faire face sur ce terrain, où son action est indéfendable du point de vue du peuple ; d’où les diversions que le Système fait et les pièges qu’il nous tend...
* communauté dont la majorité des membres n’ont rien demandé aux sionistes qui prétendent la représenter
** c’est entre autres à ce titre que Jean-Marie Le Pen parla de « détail »