Les temps ont bien changé : en 1975, date du lancement officiel par les puissances oligarchiques du féminisme en France (loi Veil sur l’IVG, démocratisation de la pilule, explosion de la pornographie, abattage de l’Église, pétition pour la pédophilie, remise en cause du Père...), les hommes se vantaient encore d’avoiner les femmes.
Aujourd’hui, ils seraient fusillés sans procès sur le champ, dans la rue, devant tout le monde, par un peloton de Femen dirigées par les adjudantes Haas & Fourest, les castratrices associées. Les hommes n’ont plus le droit de lever la main sur les femmes (enfin, officiellement, parce que dans la colonne « faits divers »...) donc les femmes sont sauvées. Ou presque. Car quand un pays se débarrasse d’une tyrannie, il est rare qu’il ne tombe pas dans une autre...
À propos de femmes battues, tout le monde ne parle que du retour de Bertrand Cantat, qui a désormais des difficultés à se produire sur scène. Ici, avant de pénétrer dans une salle à Grenoble, il se fait traiter d’« assassin » par des manifestantes.
« Nous sommes maintenant à GRENOBLE où j’ai voulu entamer une discussion avec quelques personnes qui manifestaient leur hostilité devant la salle. A peine apparu, un déchaînement de violence, d’insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence, aucune écoute, aucun échange : Bref, le retour au moyen-age. Ces gens sont sourds, et aveuglés par la haine. Peut être se sentent-ils encouragés par le merveilleux climat ambiant. » (Source : Facebook de Bertrand Cantat)
Commentaire de francetvinfo :
« Une jeune femme a été au contact du chanteur : il lui a tendu la main, elle a refusé de le saluer. Bertrand Cantat lui a alors pris la tête entre les mains – sans violence, a constaté un journaliste de France Bleu Isère – et lui a déposé un baiser sur le front. "Quand il a fait ça, j’étais liquéfiée. Ce sont les mains qui ont tué Marie Trintignant", s’est indignée la jeune femme auprès de France Bleu Isère. »
« Ce sont les mains qui ont tué Marie Trintignant »... Ce qu’il ne faut pas entendre.
Suite à ces pressions, Cantat a décidé de se retirer des festivals d’été qui l’avaient programmé, lui et son groupe. Visiblement, il est devenu un peu malgré lui le symbole de la violence faite aux femmes. En 2003, il avait frappé sa compagne d’alors Marie Trintignant, qui était décédée dans la nuit.
Nadine Trintignant, mère de Marie et visage même de l’Amour, n’a pas pardonné :