Des comédiens en mal de cachet se sont prêtés à cette campagne gouvernementale contre le racisme et l’antisémitisme. Il faut bien manger. Mais c’est encore nous qui payons et qui nous mangeons cette énième charge contre la méchanceté humaine. On sait tous que ces clips ne servent à rien, sauf à faire ricaner les réseaux sociaux. Et accessoirement, à remplir les poches des associations qui crient au racisme du matin au soir. Pourquoi, dans un élan de transparence et d’honnêteté, n’appelle-t-on pas cette escroquerie manifeste « campagne pour remplir les caisses des associations qui nous font du chantage » ?
Écoutons quand même le message de nos maîtres, ça vaut le coup d’œil :
La lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie constitue une priorité du Gouvernement.
Le racisme se traduit par des propos, des comportements ou des violences à l’égard de personnes en raison de leur origine ou de leur religion ou encore en raison de leur apparence physique.
La loi interdit et sanctionne le racisme et l’antisémitisme sous toutes leurs formes. Les peines varient en fonction de la façon dont ils s’expriment : des propos insultants ; un traitement différent et défavorable par rapport à d’autres personnes (il peut s’agir alors d’une discrimination) ; des violences physiques.
Voilà, c’est fait. On a transmis le puissant message. Maintenant, notre question : est-ce que des propos insultants contre les dépenses inutiles du Gouvernement peuvent être assimilés à une forme de racisme, celui du peuple (le troupeau de cochons de payants) envers son élite ?
Vu le résultat objectif des campagnes antiracistes depuis 30 ans, et leur échec patent (c’est le gouvernement et les associations qui le disent, que « ça » monte, c’est pas nous), ne serait-il pas légitime de changer drastiquement de méthode, ou d’exiger le remboursement des sommes prélevées sur le trésor national ?
Avec les 100 millions d’euros de la DILCRA cette année, on ne doit pas être loin du milliard d’euros, depuis 1984...
Ici, une famille de juifs pacifiques découvre un tag nauséabond sur un mur :
Là, des méchants Blancs tapent un gentil Noir :
Ici, plusieurs méchants Blancs tapent un gentil juif :
Là, plusieurs méchants Blancs (peut-être la même bande que précédemment, vérifier s’ils ne sont pas du CRIF ou de l’Intérieur, NDLR) tapent un gentil Arabe qui sort avec une gentille Blanche :
Sur les réseaux sociaux, on a quand même trouvé un Français qui trouve cette campagne positive :