Dans tous les sens du terme, le néolibéralisme du banquier rothschildien Macron jette les Français à la rue. Il y a ceux qui tombent dans la rue parce qu’ils ne peuvent plus payer leur appart ou bouffer, ils hantent les foyers d’hébergement et les Restos du cœur, puis il y a ceux qui descendent dans la rue parce qu’ils sentent confusément qu’ils sont les prochains sur la liste à tomber dans le précipice social, la descente sans remontée, le déclassement final, la peur diffuse du travailleur qui s’accroche à son poste, un poste qui glisse vers le Néant ou la Chine... Car les Chinois vont bientôt tout bouffer, Jean Yanne était un visionnaire avec ses Chinois à Paris.
En attendant l’invasion des troupes du fils spirituel du grand timonier, dont la France finalement a peut-être moins à craindre qu’un autre genre d’invasion – la pince actuelle par le haut et par le bas, mais ne nous facho pas si vite –, il nous reste encore quelques gauloises cartouches à tirer, sans faire de jeu de mots.
L’esprit français peut-il survivre à l’offensive mondialiste ?
On le pense, car le logiciel national est une absorption à digestion lente, il est capable de digérer pas mal de choses, même du poison. Pour cela, il nous faut consolider nos défenses, et ne pas trop jouer le jeu des oligarques, ces traîtres à la Nation. En cela, la résistance des Gilets jaunes et des manifestants du 05/12 n’est pas à prendre à la légère : à un moment donné, il faut que quelqu’un se lève, pour faire rocher. Et défendre pied à pied notre territoire, physique et spirituel.
Le nouveau gadget des mondialistes, c’est la fillette inattaquable. Nos présidents ont eu aussi cette idée géniale de confier des ministères contre-feux à des femmes de couleur, histoire de les rendre inattaquables. On a subi la Taubira, la poétesse harpie qui avait l’air de nous haïr en force du matin au soir, et qui était la favorite de Pierre Bergé.
Après la flippante Greta, qui aurait pu sans problème jouer dans Le Village des damnés et à qui on prédit une adolescence compliquée à l’image des enfants stars d’Hollywood (manipulation, Michael, drogue, viol, alcool, prostitution, suicide), voici la tendre Elsa, une trans de 8 ans. Elsa demande à une Assemblée espagnole de la « laisser être heureuse ».
Qu’est-ce qu’elle vient nous faire chier ? On lui a rien dit encore ! On a encore jamais attaqué d’enfant ici, qu’il soit trans ou transbiq+ ! Ici, c’est plutôt la maison de la chasse aux pédos, et d’ailleurs le fait d’exploiter une Greta ou une Elsa, c’est déjà de la pédophilie. Y a du viol mental là-dedans, et on sait que dans les cd-roms de Zandvoort certains enfants étaient carrément loués par leurs parents à des pédocriminels. C’est pourquoi eux ne portaient pas plainte.
Si ça continue – et ça n’a pas de raison de s’arrêter, sauf avec une bonne Guerre mondiale –, après Greta-la-guedin et Elsa-la-transbiq, on va se taper Sheeta-la-chieuse, un bébé de 3 mois qui nous demandera de la « laisser être uro-scato ».
Nos descendants vont bien rigoler (jaune), mais il y aura statistiquement des dépressions nerveuses à la californienne, on pense à ces individus un peu solitaires, un peu Asperger, ces pauvres nerds sans amis qui un jour en ont marre de tout ce merdier et s’en vont tirer dans le tas à l’AR-15 (l’arme préférée des Américains) sur un défilé de pré-putes de 8-10 ans, mères folles comprises. Les titres des pages faits divers de la presse risquent d’être succulents.
On pense à une chose, tout d’un coup, en regardant Wolfe & Barnaul qui chargent et déchargent (eh oui, un gun ça permet de rafaler sans débander) et qui ont l’air de s’éclater : les Gilets jaunes en AR-15... On vous laisse imaginer le tableau, un carré de Grognards post-napoléoniens qui marchent sur l’Élysée, deux escouades en direction des ministères de Griveaux et Darmanin qui sortent des toilettes à poil et s’enfuient dans les rues en flammes...
Quel cauchemar, n’est-ce pas ? Non ?
Les armes, on le voit sur ces Américains radieux, ont une vertu thérapeutique : elles évacuent la colère. Et comme les manifestants français ne sont pas armés, leur colère doit bien s’exprimer, se matérialiser, exploser quelque part.
Si tous les Terriens étaient armés...
C’est une autre forme d’utopie, une sorte de pacification sociale par la terreur mutuelle, chacun étant armé d’une mini-bombe atomique personnelle, la possibilité de tuer l’autre ou les autres. Naturellement, au départ, il y aurait ce qu’on appelle en foot des éliminatoires, mais ça finirait par se calmer, car si se débarrasser de son ennemi c’est cool, se faire liquider l’est un peu moins.
On veut dire par cette petite métaphore que les Français sont désarmés devant la violence oligarchique. Le processus de domination est lent, mais sûr, et logique : les nouvelles générations, qui n’ont pas fait l’armée, ne savent pas tenir une arme, à part quelques dealers et braqueurs, et encore, ils arrosent à la Daech. Et sans armes, le peuple doit s’en remettre aux forces de l’ordre ou à l’armée (qui officiellement ne peut jouer ce rôle, sauf exception), ces corps dont les chefs sont liés à la dominance. La seule solution pour ceux qui rêvent d’un renversement de régime : que les soldats se désolidarisent de leurs officiers. Ça s’est déjà vu, dans l’Histoire. Mais pas toujours, comme lors des grèves de Draveil-Vigneux en 1908 :
Meeting à 14h au hangar de Vigneux, 4000 à 5000 manifestants.
Le 27e Dragon prend place du côté de la gare de Draveil-Vigneux. Les manifestants se dirigent vers Villeneuve-Saint-Georges pour prendre le train ou aller sur la tombe de Geobellina. Les dragons coupent le chemin au niveau du remblai de chemin de fer. Nombreux blessés par sabre.
À Villeneuve, les militaires bloquent la gare. Barricades. Coups de feu des deux côtés. Bilan : 2 morts et plus de 200 blessés chez les manifestants, dont 2 mourront peu après => 4 morts. 69 blessés dans les forces de l’ordre, dont 5 par balle.
Hélas ou heureusement, le peuple français rêve de paix et vote rarement pour le changement, plutôt pour la paix sociale, dusse-t-elle passer par la répression des Gilets jaunes. Aujourd’hui, l’astuce de la dominance c’est d’avoir trouvé des armes anti-émeutes non létales du type LBD (Les Borgnes & Démembrés). Ces saloperies permettent de blesser sans tuer, de réprimer férocement, de tenir la foule en respect sans produire de martyr, ce qui ne ferait qu’aggraver les choses et obligerait pour le coup à tirer pour tuer.
La Sociale peut-elle redevenir violente comme autrefois ? La voie du vote étant truquée, la violence étant « interdite », que reste-t-il aux victimes du néolibéralisme ?
Bonus chinois
En attendant les Chinois – qui vont liquider sans états d’âme notre couche dominante corrompue –, autant se préparer, voici donc le remake du film Le Bon, la Brute et le truand avec Yang Qihan :
Attention ! Ne vous laissez pas leurrer par son insolente beauté ! La photo de Yang Quihan a l’air innocente, mais elle ne l’est pas : la langoureuse Chinoise ne joue pas avec un ballon de foot, elle joue avec un globe terrestre à la manière de Charlie Chaplin dans Le Dictateur, et avec des intentions tout à fait impérialistes ! Ne vous laissez pas hypnotiser !
Dans 30 ans, quand les Chinois fêteront le 100e anniversaire de leur Révolution, et qu’ils enverront des humains (des dissidents, c’est plus sûr) sur Mars (demander avant à la Nasa comment ils ont fait pour la Lune déjà, après on en reparle), notre Terre sera entièrement jaune.
Bonus nigérian
Un pasteur confond eau bénite et essence, énorme explosion à Lagos (Le Figaro ) :
« Le pasteur a pris un bidon rempli d’essence, en pensant qu’il contenait de l’eau », a déclaré Ibrahim Farinloye, porte-parole de l’Agence nationale de gestion des urgences (Nema). « Alors qu’il vidait le contenu sur un homme (venu recevoir sa bénédiction, NDLR), une bougie allumée à côté a pris feu et les a tous deux embrasés », a déclaré M. Farinloye. Le fidèle est décédé sur place, son cadavre était « méconnaissable », tandis que le pasteur a subi de « graves brûlures », a-t-il précisé.
L’incendie, qui s’est déroulé dans une église du quartier de Baruwa, dans la capitale économique nigériane, s’est ensuite étendu à un gazoduc passant à proximité, qui a explosé, créant un énorme nuage de fumée grise dans le ciel de Lagos, selon le responsable des secours et des médias locaux.
Finalement c’était bien, la France.
- Gérard Depardieu, Innocent (2015)