Eh oui un diner auxquels sont conviés tous les amis virtuels de AS , dont je suis et d’autant plus concerné que seuls 4 mois nous séparent... Toutes les anecdotes abordées sont autant de souvenirs et de références pour moi qui suis issue d’un milieu comparable, bourgeoisie de province, exilé à Paris durant quatre décennies et récemment implanté en campagne dans un style de vie rural et loin de toutes les mondanités et compromissions qu’imposent la vie professionnelle et citadine lorsqu’on n’est pas un électron libre de l’étoffe d’un Soral...statut enviable en dépit des persécutions que cela entraine, au minimum admirable !

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Personne ne se moque des Italiens (à part sur le plan militaire où ils n’ont rien gagné depuis Jules César)... S’ils ont un côté fantaisiste et enjoué (très appréciable, on devrait en prendre de la graine) et un grand sens de l’esthétique, ils sont également rigoureux et précis dans leur façon de penser et de travailler (j’ai travaillé en Italie quelques années), ce qui est aussi une caractéristique des pays de culture latine contrairement à ce qu’on peut dire (dans les pays anglo-saxons surtout). Même s’ils ne se prennent pas au sérieux, ce qu’ils font ils le font bien, et même souvent avec excellence, dans tous les domaines, l’histoire le prouve ! Ils ont en outre la chance d’avoir des lois sur l’héritage qui facilitent la transmission de patrimoine (plus libre et moins taxée qu’en France), ce qui favorise la pérennité des petites entreprises familiales (et les traditions, la famille etc), contrairement à chez nous où les transmissions sont un casse-tête à chaque génération (depuis le code civil de Napoléon). Ils ont en revanche moins de grandes entreprises et elles sont moins performantes (ce qui est peut-être dû au fait que le pays est moins centralisé et unifié que la France), c’est peut-être la où se fait la différence. Pour ce qui est de l’Allemagne, leurs produits industriels sont certes réputés, mais je ne connais pas trop le pays, on dirait un peu un mix entre la France et l’Italie. Il me semble qu’il n’y a pas grand monde qui soutient la comparaison avec l’Allemagne ou le Japon sur le plan technologique pur.
Les principaux défauts des Italiens sont les mêmes que ceux de l’Occident : décadence morale, effondrement démographique etc.

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Le récentisme est en fait beaucoup plus sérieux et intéressant qu’on pourrait le croire.
Par ses origines, il met en lumière un impérialisme eurasien pas très rassurant. On retrouve là les fameuses tours du diable de Guénon. Ces chercheurs me font penser à l’épouvantable Sitchin et sa douzième planète, qui aurait toute sa place en Macronie.
Cela dit, les récentistes ont levé un gros lièvre en particulier au sujet de l’Égypte et dans une moindre mesure avec la Grèce. La genèse des basses manoeuvres maçonniques (occidentales) de manipulation de l’histoire est dévoilée par leurs travaux. C’est essentiellement la fausse histoire de la maçonnerie qui est mise au jour. Une grotesque imposture.
Le reste n’est pas crédible à mon avis. Leur théorie sur Pompéi ne tient pas.

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A propos de la 3ème GM, entièrement d’accord, le risque est aujourd’hui infiniment plus élevé qu’il ne l’était il y a vingt-cinq ans.
Les exécutants du mécanisme sont une classe de fonctionnaires profiteurs dont le principal trait psychologique est la psychopathie. La dimension psychopathique (décomplexée, manipulatrice et antisociale) n’est cependant pas l’apanage exclusif de la clique financière transnationale, mais s’étend comme une traînée de poudre et notamment dans le mainstream.
Les brebis qui broutent à 5 cm de leur smartphone, commencent à se douter, que le système a pour projet de leur mettre un casque sur la tête. Les marchés boursiers du Japon et du Royaume-Uni atteignent des sommets historiques alors que leurs économies entrent officiellement en récession ; tandis que les Etats-Unis sauvent les apparences grâce à une dette monstrueuse protégée par l’hégémonie monétaire du dollar comme réserve mondiale. Indépendamment de l’inévitable krach ou de la correction drastique des années à venir, la grande fête (avec peu d’invités) sur les marchés est le résultat d’un tour de passe-passe digne d’un magicien, la bulle de l’IA est en train de gonfler comme une baderne, lorsqu’elle rencontrera son aiguille ça va être un tsunami.
Logiquement, l’effondrement des sociétés occidentales du travail, signifie que la production militaire pour des « engagements de sécurité à long terme » est désormais un soutien essentiel à un PIB de plus en plus flasque.
Laissons les brebis brouter paisiblement !

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Quelqu’un a le nom de l’Égyptologue dont parle AS qui affirme que les Pyramides sont montées en béton ?

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Pousse café.
L’expression "nous n’avons plus rien à perdre" peut être interprétée comme un appel à l’action, une reconnaissance que lorsque nous avons touché le fond, il n’y a plus de place pour la complaisance ou la résignation. C’est dans ces moments de désespoir que les mouvements de résistance et de changement peuvent prendre racine, portés par la détermination et la force de ceux qui refusent de se soumettre à l’injustice et à l’oppression.

En somme, même lorsque tout semble perdu, il reste toujours une lueur d’espoir et la possibilité de se battre pour un avenir meilleur. L’expression "nous n’avons plus rien à perdre" peut être le point de départ d’une nouvelle lutte, basée sur le courage, la solidarité et la quête de justice.
Chat GPT

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C’est toujours génial d’entendre ce grand sensible nous raconter
ses histoires et innombrables observations !!

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Quel plaisir d’entendre le patron parler de solex, mon père a lui était champion de france en catégorie origine en 89 il me semble, avec remise de prix en la présence du champion Jean Michel Bayle ! De vrais génies de la mécanique 50cc, les solex pouvaient tourner pendant 24h avec juste la bougie a changer car trop fatiguée ! L’arrivée des super prototypes a mit fin au mythe sur les grandes courses de France ! 24h de BLANQUEFORT (Gironde) les 24h de NOUZIER (Creuse) et j’en passe …. Même des pilotes de grosses cylindrées venaient s’essayer à se genre de pratique car très difficile de piloter avec tout le poids du moteur poser sur la roue de devant tout en sachant que ces engins, aujourd’hui , montent facilement a 120km/h

merci Mr Soral

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J’espère que c’était un menu à la Gérard Larcher
Gérard il est nul et bidon dans tout , sauf pour les menus

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J’ai trouvé intéressante la conversation autour de l’automobile française et italienne, bien que l’histoire automobile italienne soit difficilement égalable. Il y a également une haute époque d’élégance de la carrosserie française avec des entreprises comme Faget & Varnet durant la fin des années 30, époque de l’art déco automobile, riche de volumes et de courbes. Avec des véhicules comme par exemple ; "Voisin Type C27 Aérosport Coupe", “ 1939 Delage D8-120S Saoutchik Cabriolet”, “ Bugatti Type 57 SC Atlantic”

Il y a matière à échange sur cette époque, avis aux
connaisseurs, mais l’histoire automobile française était d’une véritable authenticité, j’invite ceux qui s’intéresseraient à la question d’aller jeter un coup d’œil du côté de Delaunay, Talbot-Lagot, Bugatti, Voisin, Delahay, Delage qui n’ont malheureusement pas toujours perduré à cause de la guerre et ensuite du plan Marshall.

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