Ce sont eux qui nous ont déclaré la guerre en 2008.
Lorsqu’on s’est aperçu ("on" c’est la dissidence, au départ moins d’1% de la population)
Donc, lorsqu’on s’est aperçu qu’ils nous avaient trahis avec le traité de Lisbonne et que la trahison n’était pas chez eux un accident mais le fonctionnement normal de leur logiciel,
On a fait une chose qu’il n’avaient pas imaginé, enivrés qu’ils étaient de leur pouvoir : on a distingué pour les opposer NOTRE France à LEUR République.
Et on a mis le feu à leur République mondialisée : en la dénonçant.
C’était très simple : Dieu, le Bon, le Beau, le Vrai, l’Intelligent, la Civilisation, c’était nous.
Et leurs contraires, eux.
Et comme c’était vrai, ça a marché : ils n’ont fait que des conneries depuis 2008.
Gazant les poussettes, jetant les pétitions à 700 000 signatures, pourchassant le rire, la Pensée, la Charité. Maintenant, ils en sont aux tirs à balles en caoutchouc et aux gaz paralisant. Ils infiltrent nos mouvements avec leurs casseurs et pyromanes flics : pour eux, l’apothéose du discrédit.
A quand la solution finale de la question française ?
De notre côté, les Français n’ont commis AUCUNE faute soit morale, tactique ou stratégique pendant ces dix ans de combat.
Regardez le feu silencieux d’il y a dix ans, notre sidération devant le traité de Lisbonne.
Et notre réponse dix ans après : 7 semaines dans la rue.
Donc :
Nous avons allumé le feu
Nous l’avons fait démarrer
Ils ne savent pas comment l’éteindre
Nous non plus.
Nous non plus : même si on le voulait, on ne le pourrait pas.
Le feu va donc continuer de se consumer jusqu’à tous les brûler vifs.
Il ne nous reste entre eux et nous qu’une chose encore en commun : les symboles : drapeau, hymne, fête nationale.
C’est temporaire : bientôt on va s’apercevoir que le drapeau, l’hymne, leur fête, sont des symboles contre la France, donc contre nous.
En quelque sorte, la prière et l’éloge de notre solution finale.
Alors, nous les brûlerons sur la place publique, leur substituant notre drapeau, notre hymne, notre fête nationale.
Nous saurons à ces signes que nous les aurons vaincus
C’étaient mes voeux de bonne année aux républicains qui nous lisent.
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