Un groupe de militants de l’Union Populaire Républicaine (UPR) a été agressé aujourd’hui à Paris.
Présents place de la Bastille, à la demande de François Asselineau dans le but de tracter et d’informer le public sur les analyses et les propositions de leur parti, ils ont été pris à partie par une quinzaine d’antifas.
Une pluie de coups et d’insultes se sont abattus sur les militants de l’UPR. L’un d’eux a été frappé à la tête à plusieurs reprises. Le crâne ensanglanté, il a dû se rendre aux urgences de l’hôpital Saint-Antoine.
Plusieurs milliers de tracts et la table d’information ont été détruits.
François Asselineau a déposé plainte au nom de l’UPR pour « menaces, agressions physiques, destruction de matériel militant et atteinte à la liberté d’expression et de manifestation. »
Plus tôt dans la journée, plusieurs dizaines d’antifas avaient été tenus à l’écart par les forces de l’ordre alors qu’ils voulaient s’en prendre au cortège du Front national.
Nul doute que, comme par le passé, dans des affaires touchant des personnalités comme Alain Soral, ou des biens, comme la librairie Facta d’Emmanuel Ratier, victimes également des milices antifas, l’UPR verra sa plainte classée sans suite par une Justice qui a pour consigne de ne pas inquiéter ces supplétifs du pouvoir.
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