Courage, c’est bientôt fini : une émission d’ERFM qui nous présente l’envers du décor selon Félix Niesche !
Son point de vue sur notre situation s’articule à trois niveaux de compréhension, selon les trois significations de PODCAST :
Putréfactions Ordinaires Du Capital Au Stade Terminal
Progression Ostensible Du Crétinisme Au Spectacle Totalitaire
Premier Œil De Clairvoyance Aux Signes Temporels
Actualités et analyses de fond, envols métaphysiques et descentes en flamme, humour noir et poésie.
Au sommaire de ce cinquième numéro :
Pourquoi parler de « suprémacisme blanc » pour les actuels nazis ukrainiens ? À quoi ça rime ? Ils sont racistes anti-Slaves, certes, et passionnément, comme excroissance de leur haine des Russes, mais c’est tout. Ils sont aussi les alliés de certains oligarques juifs et de l’OTAN-touze, car l’OTAN est complètement LGBT et le bras armé de l’Antiracisme international.
Par contre les suprémacismes blancs stricts comme la Confédération sudiste et l’apartheid de l’ex-Afrique du Sud, par exemple, se seraient à jamais discrédités du fait de leur échec patent. Vae Victis ! Sans vouloir entrer dans des considérations métaphysiques sur la signification de la réussite dans l’histoire et dans le monde, nous récusons absolument que ces formes citées viendraient, primitivement, d’une idéologie suprémaciste, d’une idéologie de la domination blanche. En vérité, dans l’histoire réelle il n’a jamais existé de suprémacisme blanc en tant que volonté politique primitive génératrice d’événements, mais uniquement en tant que réponse à une agression, à une menace collective.
Musiques :
04.42 : Le Temps des cerises (Charles Trenet)
10.53 : Gotterdammerung (Richard Wagner)
26.06 : The Pusher (Steppenwolf)
38.14 : L’appel du Komintern
52.29 : The last valley (John Barry)
Écouter l’émission :
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