Egalité et Réconciliation
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Churchill a refusé l’offre de paix de Hitler, pour des "raisons morales" !

Finalement c’est confirmé : Adolf Hitler avait bien fait une offre de paix en 1941.

Voilà maintenant des semaines que la nouvelle est connue en Israël et en Grande-Bretagne, mais les grands médias américains gardent le silence sur la parution d’un nouveau livre écrit par un historien britannique de premier plan qui affirme qu’Adolf Hitler a cherché à obtenir la paix avec la Grande-Bretagne en 1941 mais que l’offre d’Hitler a été rejetée par le premier ministre Winston Churchill.

C’est le site israélien Ynet ainsi que le Daily Telegraph et le Daily Mail (tous deux de Londres) qui ont rapporté cette révélation qui change l’histoire "officielle" de la Deuxième Guerre mondiale et confirme ce que les historiens révisionnistes indépendants disent depuis des années.

Dans Hess, Hitler and Churchill, le célèbre écrivain Peter Padfield affirme que la légendaire "mission de paix" de Rudolf Hess (photo ci-dessus), fidèle adjoint d’Hitler, en Grande-Bretagne en mai 1941 avait bien eu l’approbation d’Hitler et que Hess apportait de la part d’Hitler l’offre suivante : les forces allemandes se retiraient des pays qu’elles occupaient en Europe occidentale en échange du soutien de la Grande-Bretagne (ou du moins sa non-intervention) à une attaque imminente de l’Allemagne contre la Russie soviétique, dont il divulguait la date (fixée à cinq semaines plus tard).

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87 Commentaires

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  • #569608
    Le 27 octobre 2013 à 19:49 par Philippe de Macédoine
    Churchill a refusé l’offre de paix de Hitler, pour des "raisons morales" (...)

    Le fait que Hess ait agi avec le consentement voir peut être l’ordre d’Hitler est connu de tous désormais. Cela fait partie de l’histoire officielle. D’ailleurs, dans Mein Kampf, Hitler considère que l’Angleterre doit être son allié contre la France.

    Comment donner crédit à un tel article ?

    1 ) la source de Padfield ne tient pas debout. On ne bâtit pas une thèse sérieuse sur des propos d’un anonyme.

    2 ) Croire en la grandeur morale de Churchill, c’est croire à la virginité de Messaline ou à la sobriété de Borloo. Churchill était une crapule sans vergogne et sans scrupules. S’il n’a pas donné suite à l’appel du pied d’Hitler c’est que c’était un homme qui raisonnait sur le long terme. De facto il savait qu’Hitler était isolé et que ses ressources (pétrolières en particulier) se réduisaient à grande vitesse. A terme, il était perdu.

    3 ) Laisser croire que Churchill, la vieille canaille, avait une once de reconnaissance à l’égard de je ne sais quel créancier juif est d’une naïveté colossale. On parle d’une proposition qui a été faite en 1941 avant le lancement de la solution finale. D’ailleurs, quand la solution finale fut connue de Churchill and co, ils ne se sont pas précipité pour autant, c’était le cadet de leurs soucis.

     

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  • A tous ceux qui pensent (et c’est leur droit le plus strict) que la défaite du IIIe Reich est un évènement tragique qui nous a tous précipités dans les griffes du grand capital apatride, je voudrais juste poser une question naïve.

    Comment expliquez vous qu’en France, en gros entre 1945 et 1973, on ait pu faire fonctionner un système économique et social assurant à la fois un niveau de protection sociale élevée et une élévation sans précédent du niveau de vie, limiter les inégalités, développer des filières industrielles d’excellence, mener une politique internationale relativement indépendante et équilibrée, et jouir (globalement) de libertés individuelles et de droits politiques assez étendus... Je trouve qu’on s’est pas si mal démerdés pendant cette période, et pourtant c’était pas les Nazis qui étaient aux manettes... c’était même plutôt des gens qui avaient contribué à les flinguer.

    C’est très bien de se passionner pour l’histoire, mais par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui, vous ne pensez pas que la période charnière où on a vraiment commencé à merder dans les grandes largeurs (politique monétaire + immigration folle + marche forcée vers l’intégration européenne... merci Pompidou-Giscard), c’est bien ce virage des années 70 ?...

     

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    • A question naïve, réponse naïve : avec des colonies

       
    • #569810

      Tout à fait ... ! (mais je sors du sujet ...)
      Et d’ailleurs tout ceci se résume à peu de chose en fait : Etre maitre de sa monnaie ! Tout simplement !

      Tous les jours des millions d’européens se lèvent pour aller gagner les euros dont ils ont besoin pour payer les impots que leur réclament ... ceux qui (avec rien) fabriquent les euros !

      Un peuple qui n’est pas maitre de sa monnaie est un peuple esclave de celui qui lui fournit la monnaie dont il a besoin ...
      A partir de là tout le reste suit , puisque tout ce que nous croyons naïvement posséder (maisons, terres, voitures ...) tout, absolument tout, a une valeur estimée en une monnaie qui ne nous appartient pas !

       
    • @Viaticum
      Pour répondre de façon simple et peut-être de ce fait un peu caricaturale , je dirai que grosso modo la France a cessé d’être une grande nation en 1815... La France vit sur ses acquis de la période antérieure, c’est-à-dire capétienne, carolingienne, et même gallo-romaine depuis 1815. La lente dégringolade que l’on peut appeler décadence nationale se poursuit depuis... Entre 1945 et 1970, certes la France faisait encore bonne figure, en ne grattant pas trop la maquillage, elle vivait sur ses acquis et déjà plus ou moins à crédit (dettes de guerre remises par les Américains, expédients divers) avec des fins de mois difficiles... Puis sa santé s’est une nouvelle fois dégradée dans les années 70, comme si elle était atteinte d’une longue maladie évoluant par crises laissant à chaque fois le malade un peu plus affaibli ! Pour soutenir ce point de vue, je dirais que la preuve en est bien qu’il est frappant de constater que notre patrimoine apprécié par les touristes du monde entier est principalement constitué de réalisations françaises datant d’avant 1815 : les touristes viennent en France pour visiter Versailles, le Louvre et les Châteaux de la Loire...et par pour contempler l’Opéra Bastille de Mitterrand ou l’Arche de la Défense...

       
    • Euhhh... Comme dirait Alain Soral, y a qu’à regarder la photo finish de Yalta pour savoir qui sont les vainqueurs et qui n’est pas sur la photo. Le CNR ça te dit quelque chose ? L’union sacrée des gaullistes et des communistes, la droite des valeurs et la gauche du travail en action, en somme du socialisme national à la française dans un environnement international sionisé. Effectivement notre système a été mis à mal en Mai 68, pour que les élites traitres à la patrie dont tu parles abordent ce virage des années 70.

       
  • Ben voyons, comme si Churchill allait laissé Hitler et ses potes italiens et espagnoles maîtres de toute l’Europe continentale. N’importe qui aurait refusé une paix équivalente à une défaite, les choses étaient déjà allé beaucoup trop loin.

     

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  • Démonstration complète par Reynouard :

    http://www.youtube.com/watch?v=z3h1...

     

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  • Plus de détails sur l’organisation "les Focus" qui a sorti Churchill de sa banqueroute pour se servir de lui dans leurs projets de guerre contre l’Allemagne.
    http://pascasher.blogspot.com/2010/...
    C’est un extrait d’un article de Ted O’Keefe reprenant les propos du conférencier et auteur historien David Irving.

     

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  • #569933

    Dans au moins deux ouvrages sur le IIIème Reich, j’ai lu que la tentative du traité de paix était de la seule initiative de Hess, et qu’en apprenant cette nouvelle, Hitler était devenu fou de rage.

    Le premier est "Les maîtres du IIIème Reich", que je n’ai plus, mais je me souviens de l’anecdote dans le chapitre sur Rudolf Hess.

    Le second est "Allemagne IIIème Reich" où il est écrit :
    "Le 10 mai 1941, il [Hess] se fait parachuter en Grande-Bretagne (Glasgow) de sa propre initiative pour une négociation restée mystérieuse, probablement la recherche d’une paix de compromis avec les Britanniques. L’échec de cette mission le condamne à l’incarcération en Grande-Bretagne et au désaveu de Hitler, qui le déclare malade mental et donne l’ordre de le faire fusiller s’il rentre en Allemagne."

    On note les précautions de l’auteur et l’ambigüité habile sur ce qui, de l’initiative ou de son échec, énerve réellement Hitler.

     

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  • #570167

    L’Histoire a toujours été écrite par les vainqueurs. Tous le Monde sait que l’industrie d’armement "nazie" et "bolchévique" fut soutenue par des fonds anglo-américains en même temps... Il fallait créer un chaos partiel en Europe pour faire accepter à une Europe choquée sur plusieurs générations la création d’un Etat des « lamentablement » persécutés, les juifs. Et ça continue de marcher. Nous vivons depuis précisément le début des temps modernes le désordre sous l’apparence de l’ordre et ça s’accentue crescendo.

    Singulièrement à la veille de l’annonce et de la création du Grand Israël, ils ne s’embarrassent plus de déterrer et/ou de dire les vérités crûment… Ils sont dans leur phase assurance, fatalement.

    Le Pire DK

     

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  • Les sources pour cet article (Daily Telegraph, etc.) sont disponibles ici :

    http://pascasher.blogspot.com/2013/...

     

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  • #574736

    Les fameuses "raisons morales" sont en vérité des raisons économiques car la paix ne rapporte rien par rapport à ce que les guerres peuvent engendrer de bénéfices.
    Hitler, enfant caché de Rotschild et assassiné sur les ordres de Rotschild quand celui-ci a pris conscience qu’il avait enfanté "un monstre" (animé d’une monstrueuse envie d’indépendance).
    Je te donne la vie, ta vie m’appartient et je m’octroîe le droit d’en disposer selon mes intérêts. Et finalement, je te donne la mort et je te fais enfin un véritable don mais, hélas pour toi, un don dont je tire un interêt car je ne sais pas donner sans prendre, voire, je te donne quelque chose que je t’ai préalablement dérobé...

     

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  • #591164

    Si je puis me permettre, on sait depuis longtemps qu’Hitler proposait à Churchill la paix. La raison pour laquelle ce dernier ne pouvait pas accepter, c’est tout simplement parce que toute la politique anglaise, depuis le 19ème siècle, est de maintenir le statut quo en Europe. C’est en grande partie pour cela, que le Royaume Uni s’est allié à la France pour la guerre de 14 - 18, et c’est pour ça que Churchill a continué coûte que coûte la guerre contre Hitler, pour un retour au statut quo qui serait favorable à l’Angleterre.

     

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