Le patron du Pentagone était mardi à Pékin pour tenter de relancer la coopération entre les deux armées. Mais il reste méfiant devant les nouvelles ambitions de l’armée chinoise, qui se dote des moyens de défier l’influence américaine en Asie-Pacifique.
Le lendemain du jour où le patron du Pentagone atterrit à Pékin, le nouveau chasseur furtif chinois prend son envol pour la première fois. Un « hasard » du calendrier qui permet de faire passer un message des plus concrets à Robert Gates, venu redonner vie à une relation militaire sino-américaine moribonde. Il y a six mois, la Chine avait annulé une visite du secrétaire américain à la Défense, pour protester contre le feu vert de l’Administration Obama à des ventes d’armes à Taïwan pour plus de 6 milliards de dollars.
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