Il a compris très tôt que être membre de la l’élite prédatrice innommable , avoir des moeurs identiques voire extrêmes, lui obéir ouvrait des portes celles qui conviennent pour perdurer et gouverner dans les coulisses sans être inquiété.
Anne-Sophie Coignard et Marie-Thérèse Guichard, Les Bonnes fréquentations (1997) :
« Je suis un “mafieux”. Et je ne crois qu’à ça. Je ne crois qu’aux amis dont on est sûr, qu’on s’est choisis et c’est fini. C’est pour toujours. Et on les défend, bien sûr. […] Être “clanique”, cela ne veut pas dire faire des mauvais coups ensemble, cela ne veut pas dire passer des armes ici ou du fric là. Cela veut tout simplement dire que les gens se sont retrouvés. Alors, comme toujours dans les “clans”, tout le monde n’est pas blanc-bleu : certains peuvent avoir une bonne influence et d’autres une mauvaise – pas toujours, mais cela peut arriver. »
Et la France dans tout ça ! Servir ou se servir ?
De Giscard à Miterrand en passant par Chirac, Sarko et Hollande aucun d’entre eux ne s’est méfié de ce mafieux pour l’empêcher de nuire en particulier imposer son diktat culturel, ses goûts de mécène sur toute sur la gauche (enfin celles des bobos de la gauche caviar surtout) et le Peuple dans tout ça ??? Hein ? Contraint de gober leurs salades avec des spectacles nuls à chier, décadents ! Sans compter la mise au placard de tous les vrais artistes dont les goûts ne correspondaient pas à ce ministre de la culture bis exerçant son influence pendant près de 45 ans !
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