Après la Grèce et l’Irlande, le Portugal, désormais dans la ligne de mire des marchés, pourrait être contraint lui aussi de solliciter une aide extérieure, estiment les analystes, même si les autorités veulent encore convaincre que les situations sont "très différentes".
"Sur les marchés, l’idée est qu’une fois résolu le cas de l’Irlande, le Portugal se trouve en première ligne", déclarait dès vendredi Joao Cravinho, directeur à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), chargé du Portugal.
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