À revoir absolument,
cette démonstration d’Alain Soral de septembre 2018
(vidéo bonus de SAPTR #6)
Malgré la schlague mondialiste qui s’abat sur notre cher pays depuis Mai 68, tout n’est pas perdu, il reste encore du fighting spirit chez les Gaulois, ce peuple aux racines celtes qui s’est pas mal mélangé depuis. L’esprit de combat n’est pas mort, on en est la preuve.
Les Bleus, qui ont mis d’accord le monde entier en 2018, doivent désormais punir l’Europe dans cette campagne 2021. Nos adversaires les plus sérieux sont l’Italie et la Belgique, qui nous détestent. Parce qu’ils nous craignent. On ne pourra pas gagner sans écraser l’une ou l’autre de ces grandes équipes. Et on n’oublie pas la Croatie de Modric, affamée de revanche.
- Le trimaran Modric après son but magnifique contre l’Écosse
Les Italiens, eux, n’ont toujours pas digéré la gifle absolue, éternelle, de la finale de l’Euro 2000, probablement la compétition la plus relevée qui a jamais existé.
Quant aux Belges, la punition de la demi-finale 2018 leur est restée en travers de la gorge, et ils cherchent leur revanche. Le respect de l’adversaire est une chose, mais il n’y a pas de vrai combat sans rage.
Cet Euro un peu spécial, sous l’égide des satanistes Gates, Fauci et leurs obligés – Mengele à côté est un amateur –, a commencé tout doucement. Sur les matches de poule, seules trois rencontres sont à retenir, on parle de vraies rencontres, des matches à la vie à la mort. Allemagne/France, Allemagne/Portugal et Danemark/Belgique ont été des feux de joie au milieu de rencontres ternes, à cause de schémas de jeu fermés et d’un manque criant de créativité. Au foot comme en politique, les porteurs de nouvelles idées sont mal vus.
Heureusement, parfois, l’esprit national se réveille et donne des étincelles, notamment chez nos amis danois. Eux, on sent qu’ils sont un peuple ! En plus, leur sentiment national s’est cristallisé autour du drame Eriksen.
Du côté des Hongrois, le sentiment national n’est pas un fantasme non plus, on l’a vu pendant le « match de leur vie » à Budapest contre l’équipe de France, notre Grande Armée actuelle. Au moins, ce point aura rendu les Hongrois fous de bonheur (on leur doit bien ça) :
Que nos Bleus se montrent dignes de leurs grands ancêtres !
Bonus 1 : la guerre jusque chez les commentateurs
Nous sommes sur BeIn Sports, Omar Da Fonseca et son collègue montent dans les tours pendant le match où le Croate Lovren met un coup de coude, sa spécialité, dans la gueule de son adversaire...
Collègue : Moi ma question, Omar, Lovren il fait ça, au coude, vers l’adversaire, Lovren, dans ces cas là, il peut faire ça avec l’autre bras !
Omar : Oui c’est ce qu’il dit, lui il dit qu’il recule, il ne voit pas si y a quelqu’un derrière, il essaye de prendre de l’impulsion… Parce que là, tu veux qu’il saute comment ?
Collègue : Mais Omar, tu parles du mouvement, du geste du coude, il peut le faire avec l’autre bras, comme ça il touche pas l’adversaire !
Omar : Nan, nan, mais quand tu montes, tu ouvres les ailes, t’as déjà vu ?
Collègue : Oui mais là il lui a cassé le nez, y a penalty !
Omar : Justement, parce que ça saigne, en même temps, toi t’as déjà vu un oiseau voler avec une seule aile ?
Collègue : Mais Lovren, c’est pas un oiseau !