Que Sébastien Cauet ait commis ou pas les actes dont quatre femmes l’accusent, nous ne sommes pas qualifiés pour le savoir, et encore moins pour le juger.
Cela ne semble pas être le cas du petit Duhamel, qui se sent beaucoup plus juge que journaliste sur cette affaire. Il est vrai que la défense de l’animateur télé est plus que vacillante.
Accusations de viol, agression sexuelle et propos déplacés : "J'ai lu tout et n'importe quoi à mon sujet, et ça fait partie du harcèlement que j'ai vécu", affirme Sébastien Cauet (@cauetofficiel) pic.twitter.com/EXBe7xsH3t
— BFMTV (@BFMTV) December 10, 2023
FLASH : « Quand on a appris ça, Sébastien m'a dit : Si tu n'es pas là Nathalie, je me fous en l'air », a déclaré la femme de #Cauet dans #TPMP. pic.twitter.com/LXSMDamayA
— Direct infos (@directinfos9) December 12, 2023
Cauet est attaqué de toutes parts en ce moment, comme Depardieu. La question qui se pose n’est pas sont-ils coupables ?, car nous ne sommes pas des juges comme le petit Duhamel, mais pourquoi eux, et pourquoi maintenant ?
La question prend alors un autre sens, et bascule du judiciaire au politique. C’est ce que Me Vergès appelait un procès de rupture : on ne va pas juger Klaus Barbie puisqu’il est coupable de quasiment tout ce qu’on lui reproche, mais on va juger la Résistance en cherchant qui a balancé Jean Moulin lors de la réunion de Caluire, qui sera sa perte.
En nous demandant pourquoi Cauet, Depardieu et Beigbeder, et, par exemple, pourquoi pas Lang, Borello ou un ancien grand ministre de la Justice, on perturbe le point de vue de l’accusation.
De la même façon, la « justice » du ministre de l’Intérieur harcèle les groupes de droite nationale et les catholiques traditionalistes, tout en laissant tranquilles les antifas qui font mille fois plus de dégâts, ou les racailles qui peuvent avoir 30 mentions sur leur casier. Sans oublier les fichés S ultradangereux laissés libres.
On l’aura compris, la justice s’abat sur des gens qui sont peut-être coupables, mais pas sur d’autres qui sont coupables. Le pouvoir, qu’il soit politique, judiciaire ou médiatique, n’est donc pas impartial.
On n’a pas vu le petit Duhamel aussi dur qu’avec Cauet quand il a reçu Zemmour :
Si tous les pouvoirs sont aujourd’hui déconsidérés, c’est parce qu’ils pratiquent ce disqualifiant 2P2M.
Cela vaut pour le pouvoir médical, qui n’accepte aucune erreur et qui envoie par millions les Français se faire injecter une substance aussi douteuse que chère, tout en harcelant les soignants soucieux de la santé de la population (et du service public de santé) ;
cela vaut pour le pouvoir politique, qui ne fonctionne plus que par 49-3 ;
cela vaut pour le pouvoir judiciaire, qui est miné par l’idéologie franc-maçonne, c’est-à-dire antifrançaise ;
et cela vaut pour le pouvoir médiatique, qui travaille uniquement pour l’oligarchie, pas pour le bien commun.
Et le pire, c’est que ces pouvoirs sont consanguins, verticalement avec les fils et filles de, et horizontalement, puisqu’ils font front commun. Il n’y a pas en France de séparation des pouvoirs.
Le pouvoir unique fait bloc contre les Français.
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???? @JMBorello a vu le chiffre d’affaires de son empire de l’« économie sociale et solidaire », le @GroupeSOS, doubler. Dopée essentiellement par les deniers publics, cette croissance est devenue exponentielle tandis que s’accomplissait l’ascension programmée d’@EmmanuelMacron. pic.twitter.com/x4KnWgem0u
— Faits & Documents (@faitsetdocs) July 10, 2023
Le n° 520 de F&D tente de comprendre ce rapport si particulier à la jeunesse, à l’éducation et à la sexualité qui semble prédominer en Macronie...
Portrait : Jean-Marc Borello (2) https://t.co/6OVIdrELtJ pic.twitter.com/9IOgOS54lB
— Faits & Documents (@faitsetdocs) July 26, 2023