Depuis longtemps, et pas seulement depuis le 20 janvier et la prestation de serment Potemkine du sieur Biden, l’hémisphère Nord se partage entre deux types de population : les masqués volontaires et les masqués rétifs. Ces derniers refusant de marcher à plein dans les mensonges, les trucages statistiques et les errements gnoséologiques (une connaissance déficiente) de scientifiques qui n’en ont que le nom. Dans une toute récente intervention, le 29 janvier, sur Sud Radio, le professeur Raoult a durement tancé la république des non-sachants, établissant un bilan navrant de l’état de grande déshérence dans lequel se débat la médecine et de la recherche en France en dépit de son arrogance quasi obscurantiste… Effectuant ce terrible constat qu’en matière de recherche médicale et d’équipements de pointe certains pays africains nous surpassent sans difficulté : dix-huit d’entre eux sont loin devant nous pour le séquençage des génomes (la France se situant à la 71e position dans le monde), bref pas de quoi pavoiser.
Le continent noir avance sans que nous nous en apercevions et nous, nous reculons coincés que nous sommes entre libéralisme débridé et sclérose étatiste (à la mode jacobine), soit en l’occurrence entre une médecine devenu une banale activité commerciale et un dirigisme mis au service de la conversion du pays à l’économie numérique hors-sol mondialisée pour le plus grand profit des géants transnationaux de l’industrie médicale et pharmaceutique. L’on sait que la destruction du service public hospitalier est une politique assidument poursuivie depuis plusieurs décennies. On en voit le triste résultat aujourd’hui. Mais si ce n’était que cela, tout serait trop simple parce qu’il ne s’agit pas uniquement d’un inconséquent abandon de nos structures hospitalières ou d’un déficit croissant en ce qui regarde le maintien à niveau ou le développement des moyens matériels (le nombre de lits en réanimation et soins intensifs hexagonaux étant de 5800, une capacité des deux-tiers inférieure à celle de nos voisins Allemands).
La grande redistribution des pouvoirs d’État
Difficile dans ces conditions de faire face à une pandémie soi-disant inattendue… mais néanmoins prévue et annoncée depuis 2003. Or le mal qui ronge la France (et par voie de conséquence son système de santé) est plus profond et plus complexe étant l’aboutissement d’une longue dégénérescence du mode de gouvernance, en l’occurrence le régime démocratique placé sous l’empire d’une Weltanschauung (une idéologie) sociale-libérale-libertaire… Décomposition sociétale due, au premier chef, à la déficience qualitative, morale et intellectuelle des hommes – élus ou recrutés – composant nos modernes classes dirigeantes. Et ne parlons pas – sur le mode judéo-protestant – du gouvernement des juges (une société contractuelle et transactionnelle où s’efface le rôle de l’exécutif au-delà même du législatif, les chambres n’étant plus – et même à peine – des chambres d’enregistrement, autrement dit un Parlement croupion. S’y ajoute le pouvoir des médias (au rang desquels les réseaux sociaux qui ont démontré leur extraordinaire pouvoir de nuisance et de censure dans le cadre de cette cancel culture en passe d’être dominante) une prépotence à part entière apparemment devenue aux côtés des juges émancipées de la tutelle des contraintes régaliennes, le premier de tous (et non plus le petit quatrième).
La tiers-mondisation du pays, l’abaissement constant du niveau scolaire (nivellement par le bas sous couvert d’égalitarisme) et la déspiritualisation d’une grande partie de la population convertie à un hédonisme matérialiste et libertaire (le consumérisme compulsif), ne sont évidemment pas étranger au déclin général. Nous en connaissons les maux et les remèdes, mais la course à l’abîme ne s’en poursuit pas moins… justifiant grâce à l’opportun Covid l’instauration de cette dictature sanitaire qui n’ose pas encore se montrer sous son vrai visage, celui d’un régime sécuritaire, voire brutalement coercitif… Il suffit de voir le montant des amendes à trois chiffres infligées à ceux des commerçants (restaurateurs et mastroquets) qui transgressent imprudemment les interdits. Mais le système tient – pour le moment ! – en raison notamment des Netflix (opium virtuel sur abonnement), des Deliveroo (livraisons à domicile de malbouffe) et des (grasses) aides publiques finançant artificiellement la mise en panne de l’économie… Et ce, jusqu’à ce que la note nous soit, à l’arrivée, présentée, et elle sera salée !
L’endettement de chaque hexagonal serait à présent de cent mille euros par tête de pipe (fin 2016 elle n’était encore que de 32 000 euros). Une lourde hypothèque existentielle que nous nous apprêtons à léguer à nos heureux descendants, de quoi effectivement, pour eux, broyer du noir. Néanmoins l’Élysée, plus encore que Washington DC, est devenu un camp retranché où l’on craint tout autant la fronde potentiellement explosive des derniers Gaulois réfractaires que les retombées d’affaire Olivier Duhamel (qui fut à Sciences-Po l’un des Pygmalion du président Macron)… Ce dernier doit sans doute enrager de se voir au centre du débat vaseux relatif aux écarts sexuels – autant que structurels – de la nomenklatura déjantée (globaliste et messianique), alors que ses coreligionnaires en pédomanie, Jack Lang et Dany Cohn-Bendit, sont épargnés par les éclaboussures putrides.
Covid, Covid quand tu nous tiens !
La maladie, n’est donc pas, quel que soit son caractère de gravité réel, celle que nous rabâche la lancinante propagande de guerre officielle ? Guerre non contre la méchante grippe de Wuhan, mais contre les peuples et l’État de droit ! Didier Raoult le rappelait ce 29 janvier à l’antenne de Sud Radio : « en 2020 il n’est à noter aucune surmortalité chez les moins de 65 ans par rapport aux années précédentes » dont acte ! Toutefois, manipulée à bon escient, cette pandémie s’est révélée être un merveilleux instrument de domestication des masses par la peur et la culpabilité… Obéissez, masquez-vous, gardez vos distances, ne parlez plus dans le métro, soyez adeptes de la claustration volontaire ! La peur viscérale ainsi instillée et la psychose intensément cultivée jour après jour par des médias atteints de folie circulaire (et de syndrome obsessionnel), ont directement contribué aux États-Unis à l’élection du démocrate Joe Biden qui ne l’a emporté – malgré le raz-de-marée en faveur de son concurrent du Parti Républicain : dix millions de voix de plus par rapport à 2016 – que par le truchement des cent millions de votes par correspondances, si propices aux fraudes massives.
Comprenons bien qu’au fond, la miraculeuse grippe de Wuhan n’est qu’une des facettes, l’une de voies et moyens, de la grande réinitialisation mondiale, à savoir le passage à l’économie virtuelle avec la disparition programmée des liquidités, la monnaie fiduciaire, et le contrôle total de toute les échanges devenus intégralement taxables par l’État percepteur … Ce pourquoi l’élimination accélérée des classes moyennes – par la paupérisation, le chômage et leur dilution dans les vagues d’immigration – à l’occasion des confinement successifs, s’inscrit indiscutablement dans cette logique : avec la disparition des électrons libres de l’économie, indépendants et petits et micro-entrepreneurs de toutes sortes (mais collagène fondamental des sociétés normales), c’en sera fini du travail au noir, c’est-à-dire du contournement fiscal à la base. Le travail de l’argent sera seul magnifié, ce qui signifie que les producteurs en seront réduits – jusque dans leur fonction destructrice de richesses, celle de consommateur – au rang assujettis au Système et, plus encore, asservis (réduits au servage) par la dette contractée pendant la crise sanitaire, entre autres sous la forme d’aides publiques. Ce qui équivaudra au rétablissement sans violence apparente de l’esclavage à échelle du globe… Le projet de Lénine réalisé par la Silicon Valley et Wall Street, annexe de la Cité de Londres, avec le Vatican et le Dalaï-Lama comme tête de file du Mouvement d’animation spirituelle de la démocratie universelle…
Seule l’économie dématérialisée (financiarisation de la production et de toutes activités pouvant avoir un caractère lucratif, au premier rang desquels la santé évidemment et l’ensemble du secteur humanitarien subventionné par la multinationale nommée Union bruxelloise), soit la spéculation algorithmique, aura droit de cité et sera appelée à rester intouchée et intouchable, non taxable parce que socle immatériel du monde en devenir. Et puis, le Cloud et Big Data sont parvenus à de telles capacités d’acquisition, de conservation et de traitement des données personnelles, qu’il est maintenant possible de suivre, tracer, écouter, situer n’importe lequel d’entre les habitants bénéficiant des largesses et avantages de la 5G. Gare aux vaccins transgéniques et à leurs nanoparticules identifiables et décryptables par votre téléphone ou celui du voisin. Vous ne direz pas que vous ne saviez pas !
Méga fraude, hyper mensonge
Mais pour revenir à la grande fraude made in America, à l’historique élection volée dans cette super démocratie phare de l’humanité, comme déjà dit, celle-ci s’inscrit dans une longue lignée de trucages électoraux, lesquels, il faut bien l’admettre, ne sont pas accidentels ou contingents mais participent de l’essence même de la démocratie en Amérique. Laquelle, comme tout le monde Occidental, vit sous l’empire de la loi systémique du mensonge. Mais dans ce dernier cas, il ne s’est pas agi comme précédemment d’un épisode marginal, somme toute folklorique… Ainsi lorsqu’en 1960 Kennedy l’emporta en trichant sur Nixon, notamment à Chicago avec l’aide du syndicat du crime. Nulle exagération ici, tout cela est vérifiable, historiquement établi, aussi faut-il se rendre à l’évidence que l’État américain, qu’il soit profond ou non, est assurément un État mafieux en son essence. Et que nous autres franchouillards, avec nos combines minables, nos tripotages électoraux et nos magouilles partisanes, nous faisons en comparaison piètre figure. Dire que le temps n’est pas si lointain où la France, mère des arts, des armes et des lois, étaient encore la troisième puissance économique de la planète, c’était au temps du Concorde et de l’indépendance énergétique nucléaire. Ce temps-là est révolu et la centrale de Fessenheim a rendu l’âme…
Ouvrons grands nos yeux fermés
Ouvrons grands nos yeux collés et revenons à notre propos de départ… Qui nous conduit aujourd’hui par le bout du nez, nous peuple qui n’a pas encore franchi le pas de la désobéissance civile massive ? Nos indignes maîtres (ceux du soi-disant Conseil scientifique écran derrière se planque le Conseil dit de défense en parfait court-circuit de la représentation nationale, laquelle au demeurant ne représente plus rien en l’état actuel des choses) appartiennent à une engeance ayant fait carrière dans la médecine ou les labos à défaut d’avoir été épicier ou bureaucrate… Ce qu’ils sont dans l’âme pour la plupart. Grosso modo nous pourrions presque dire que le monde industrialisé comporte deux types d’humanités, l’une les covidés masqués (il ne s’agit pas des bovidés, ces nobles animaux, ni des bovinés, tels les attachants bœufs musqués), et l’autre composée de sceptiques quant à la dimension réellement tragique, mais réellement manipulatoire, de l’actuelle grippe de Wuhan, ni pire ni plus mortifère que toutes celles qui l’ont précédée ces dernières décennies.
Parce qu’à la veille d’un éventuel troisième confinement, ce n’est plus l’inquiétude quant au virus baladeur et ses mutants mutins qui doit nous étreindre, mais l’extravagant suivisme des foules majoritaires dont l’infernale passivité nous précipite tous à l’abîme. En l’occurrence vers la servitude déjà évoquée via la perte durable de nos libertés… que nous ne recouvrerons pas, c’est-à-dire jamais au train où vont les choses et le pli étant pris : obéir aux mortelles injonctions de pouvoirs incompétents ou pervers et vraisemblablement les deux. Parce que, qu’on le veuille ou non, les opportunes et répétitives mutations du Covid tendent à montrer que les confinements sont conçus dès le départ pour durer et devenir in fine la « nouvelle normalité ». Certes partis comme nous le sommes, les confinements ne finiront certainement pas en dépit de vaccinations aussi efficaces puissent-elles être (vaccine-t-on contre le rhume qui est également un coronavirus ?). On le pressent à travers les mutants successifs qui apparaissent, peut-être favorisé par des antiviraux mutagènes tel le remdésivir, cette miraculeuse panacée acquise malgré de violentes contre-indication, pour un montant de 900 millions d’euros par l’Union européenne.
Au final, souvenons-nous que le 24 septembre 2019, s’exprimant à la tribune des Nations unies, le président Trump lançait cette profession de foi qui pourra servir de viatique aux hommes de bon vouloir… « L’avenir n’appartient pas au mondialisme... L’avenir appartient aux patriotes ! ». De l’inédit et de l’inouï sur les lèvres d’un chef d’État qui plus est américain. Ne cherchons pas plus loin que ce propos les causes de la chute du grand Yankee, sachant qu’il nous indique le chemin à suivre… vers la victoire finale.